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Louisa Hanoune fait dans le stakhanovisme médiatique en enchaînant quotidiennement des rendez-vous avec la presse. Il est vrai que pour la premières fois, elle sent son fauteuil vaciller, en raison de la dissidence interne menée par le député d’Alger Salim Labatcha. Ce dernier, dans un récent entretien avec Algérie1 affichait sa détermination et celle de ses camarades « à restituer le PT à ses militants ».
Chose que Mme Hanoune n’entend pas de cette oreille en accusant les dissidents d’être à la solde du FLN. Et surtout qu’ils n’ont aucun poids au sein des structures du parti. Ce dimanche, elle a encore réitéré ces accusation, affirmant que le député Labatcha est « chargé de faire la sale besogne ». Tout en affirmant que l’action des dissidents « a renforcé la cohésion interne dans le parti qui enregistre un élan de solidarité » , elle considère que le « manœuvre est néanmoins dangereuse, car elle vise à mettre au pas l’action politique indépendante ».
Louisa Hanoune qualifie les dissidents de « cercle mafieux » agissant avec « la complicité » de hauts responsables de l’Etat. Elle cite entre autres Ali Haddad, le chef du FCE, le ministre de la santé, le ministre de l’industrie, qui faut-il le rappeler, ont à un moment ou à un autre été la cible de ses attaques.
Mais, pour le coup, la SG du PT est montée d’un cran dans ses accusations en interpellant carrément le général Tartag à qui elle demande de se démarquer des personnes qui la cible, affirmant que ces personnes se revendiquent aussi du soutien du général Tartag. Louisa Hanoune veut donc des réponses de la part de ces responsables.
elle s’en est également prise à la télévison Ennahar, la qualifiant de « média mercenaire au service de la mafia ». En revanche, elle confesse garder de « bonnes relations » avec le premier ministre Abdelmalek Sellal, tout en reconnaissant que « le contexte et difficile ».
Louisa Hanoune fait le lien entre le ciblage de son parti et les attaques dont sont l’objet des figures de la révolution, notamment Zohra Drif, signataire avec elle de la lettre des « 19-4 » et de Yacef Saâdi. A ce propos, Louisa Hanoune interpelle le président Bouteflika, en tant que Moudjahid lui demandant d’intervenir pour « mettre fin à ces dérives ». Car pour elle, les attaques contre des figures de l’histoire « est de nature à nourrir le doute chez les jeunes quant à la grandeur de la révolution ».
Algérie 1
Chose que Mme Hanoune n’entend pas de cette oreille en accusant les dissidents d’être à la solde du FLN. Et surtout qu’ils n’ont aucun poids au sein des structures du parti. Ce dimanche, elle a encore réitéré ces accusation, affirmant que le député Labatcha est « chargé de faire la sale besogne ». Tout en affirmant que l’action des dissidents « a renforcé la cohésion interne dans le parti qui enregistre un élan de solidarité » , elle considère que le « manœuvre est néanmoins dangereuse, car elle vise à mettre au pas l’action politique indépendante ».
Louisa Hanoune qualifie les dissidents de « cercle mafieux » agissant avec « la complicité » de hauts responsables de l’Etat. Elle cite entre autres Ali Haddad, le chef du FCE, le ministre de la santé, le ministre de l’industrie, qui faut-il le rappeler, ont à un moment ou à un autre été la cible de ses attaques.
Mais, pour le coup, la SG du PT est montée d’un cran dans ses accusations en interpellant carrément le général Tartag à qui elle demande de se démarquer des personnes qui la cible, affirmant que ces personnes se revendiquent aussi du soutien du général Tartag. Louisa Hanoune veut donc des réponses de la part de ces responsables.
elle s’en est également prise à la télévison Ennahar, la qualifiant de « média mercenaire au service de la mafia ». En revanche, elle confesse garder de « bonnes relations » avec le premier ministre Abdelmalek Sellal, tout en reconnaissant que « le contexte et difficile ».
Louisa Hanoune fait le lien entre le ciblage de son parti et les attaques dont sont l’objet des figures de la révolution, notamment Zohra Drif, signataire avec elle de la lettre des « 19-4 » et de Yacef Saâdi. A ce propos, Louisa Hanoune interpelle le président Bouteflika, en tant que Moudjahid lui demandant d’intervenir pour « mettre fin à ces dérives ». Car pour elle, les attaques contre des figures de l’histoire « est de nature à nourrir le doute chez les jeunes quant à la grandeur de la révolution ».
Algérie 1
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