Tweet
Buteur prolifique (10 buts) en Jupiler League avec son club du FC Malines , Sofiane Hanni a su convaincre le sélectionneur Christian Gourcuff de le convoquer pour le prochain regroupement des Verts, en mars prochain. El Watan est allé rencontrer cet affable Franco-Algérien de 25 ans, qui commence à se faire un nom en Europe.
Etes-vous surpris par votre très bon début de saison avec ces dix buts marqués, soit autant que sur l’exercice passé ?
Pas du tout ! Je travaille tous les jours pour arriver à faire ce que je réalise aujourd’hui. J’ai confiance en moi et en mes qualités. Il y a des matches où je suis moins chanceux en réussite. Je ne baisse pas les bras pour autant.
Pour le public algérien qui commence à vous découvrir, quel type de joueur êtes-vous ? Quelle est votre position préférentielle sur le rectangle vert ?
J’aime bien jouer en numéro 10 derrière l’attaquant de pointe. C’est là où je me sens le mieux, puisque j’y évolue depuis mon enfance. Je suis technique. J’aime faire jouer mon équipe. Le plus important est de gagner. Quand je rentre sur le terrain, je n’ai pas comme obsession de marquer un but. J’essaie aussi d’être décisif quand cela est possible.
Le président de la FAF a annoncé lors d’une conférence de presse que vous seriez du futur regroupement de mars. Comment l’avez-vous pris et appris ?
Je n’étais pas au courant. Ce sont des Algériens sur les réseaux sociaux qui sont venus me féliciter. Je sais que Yazid Mansouri, l’adjoint de Christian Gourcuff, est venu me voir quelquefois ces derniers mois. Je n’ai jamais eu avant de contact avec le coach ou la Fédération. J’ai eu Yazid pour des analyses d’après-match. Il ne s’est jamais positionné par rapport à cela.
Quel type de debriefing avez-vous eu avec Yazid Mansouri ?
Une analyse courte de ce qu’il pensait sur le match. Ce qui a été bien fait ou moins bien fait. Et ce que souhaite le sélectionneur. Par rapport à mon poste, de ne pas hésiter à demander les ballons et à jouer entre les lignes.
Contrairement à Benzia et à Ounas qui restent indécis, il est acquis que vous répondrez favorablement à une sélection. Comprenez-vous que des joueurs, fussent-ils jeunes, puissent encore hésiter ?
C’est quelque chose de très personnel. Je ne demanderais à personne de commenter mon choix. Une fois qu’on a dit oui, il faut tout donner.
Si l’on a annoncé leur arrivée sans qu’ils aient clairement donné leur accord, on peut alors comprendre qu’ils freinent des quatre fers…
Je ne connais pas la nature de leur relation avec la Fédération et le sélectionneur.
Moi, je n’avais pas eu de contact, mais tout le monde avait compris que je n’attendais que cela. Mon choix est fait. Il n’y a aucun souci de ce côté-là.
Par Nasser Mabrouk
ELWatan
Etes-vous surpris par votre très bon début de saison avec ces dix buts marqués, soit autant que sur l’exercice passé ?
Pas du tout ! Je travaille tous les jours pour arriver à faire ce que je réalise aujourd’hui. J’ai confiance en moi et en mes qualités. Il y a des matches où je suis moins chanceux en réussite. Je ne baisse pas les bras pour autant.
Pour le public algérien qui commence à vous découvrir, quel type de joueur êtes-vous ? Quelle est votre position préférentielle sur le rectangle vert ?
J’aime bien jouer en numéro 10 derrière l’attaquant de pointe. C’est là où je me sens le mieux, puisque j’y évolue depuis mon enfance. Je suis technique. J’aime faire jouer mon équipe. Le plus important est de gagner. Quand je rentre sur le terrain, je n’ai pas comme obsession de marquer un but. J’essaie aussi d’être décisif quand cela est possible.
Le président de la FAF a annoncé lors d’une conférence de presse que vous seriez du futur regroupement de mars. Comment l’avez-vous pris et appris ?
Je n’étais pas au courant. Ce sont des Algériens sur les réseaux sociaux qui sont venus me féliciter. Je sais que Yazid Mansouri, l’adjoint de Christian Gourcuff, est venu me voir quelquefois ces derniers mois. Je n’ai jamais eu avant de contact avec le coach ou la Fédération. J’ai eu Yazid pour des analyses d’après-match. Il ne s’est jamais positionné par rapport à cela.
Quel type de debriefing avez-vous eu avec Yazid Mansouri ?
Une analyse courte de ce qu’il pensait sur le match. Ce qui a été bien fait ou moins bien fait. Et ce que souhaite le sélectionneur. Par rapport à mon poste, de ne pas hésiter à demander les ballons et à jouer entre les lignes.
Contrairement à Benzia et à Ounas qui restent indécis, il est acquis que vous répondrez favorablement à une sélection. Comprenez-vous que des joueurs, fussent-ils jeunes, puissent encore hésiter ?
C’est quelque chose de très personnel. Je ne demanderais à personne de commenter mon choix. Une fois qu’on a dit oui, il faut tout donner.
Si l’on a annoncé leur arrivée sans qu’ils aient clairement donné leur accord, on peut alors comprendre qu’ils freinent des quatre fers…
Je ne connais pas la nature de leur relation avec la Fédération et le sélectionneur.
Moi, je n’avais pas eu de contact, mais tout le monde avait compris que je n’attendais que cela. Mon choix est fait. Il n’y a aucun souci de ce côté-là.
Par Nasser Mabrouk
ELWatan
Commentaire