Mirou
Des unités d'élite de l'Armée Nationale populaire, de la gendarmerie et de la Douane sont venues renforcer les effectifs le long de la bande frontalière ouest pour contrer les Hallaba, les narcotrafiquants, mais, surtout les candidats au Djihad voulant joindre, clandestinement, via l'Algérie, les territoires d'hostilité en Libye. Il y a lieu de noter que plusieurs dizaines de ressortissants marocains qui avaient transité par l'Algérie ont été empêchés par l'Armée algérienne de joindre la Libye où se déroulent des combats féroces pour la prise du pouvoir depuis la chute de Kedafi.
Les autorités marocaines semblent peu soucieuses du flux peu ordinaire de leurs ressortissants et ne ménagent le moindre effort pour mettre un frein à cette nouvelle forme d'émigration qui pourrait constituer, à moyen terme, une nouvelle menace pour la stabilité du Maroc.
A force de jouer avec le feu, le Makhzen finira, tôt ou tard, par se bruler les mains
Des unités d'élite de l'Armée Nationale populaire, de la gendarmerie et de la Douane sont venues renforcer les effectifs le long de la bande frontalière ouest pour contrer les Hallaba, les narcotrafiquants, mais, surtout les candidats au Djihad voulant joindre, clandestinement, via l'Algérie, les territoires d'hostilité en Libye. Il y a lieu de noter que plusieurs dizaines de ressortissants marocains qui avaient transité par l'Algérie ont été empêchés par l'Armée algérienne de joindre la Libye où se déroulent des combats féroces pour la prise du pouvoir depuis la chute de Kedafi.
Les autorités marocaines semblent peu soucieuses du flux peu ordinaire de leurs ressortissants et ne ménagent le moindre effort pour mettre un frein à cette nouvelle forme d'émigration qui pourrait constituer, à moyen terme, une nouvelle menace pour la stabilité du Maroc.
A force de jouer avec le feu, le Makhzen finira, tôt ou tard, par se bruler les mains
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