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Pour l’année 2016, l’Algérie espère économiser entre 6 et 7 milliards de dollars grâce à l’introduction des licences d’importation. Un « gain » qui viendrait s’ajouter aux 7 milliards économisés en 2015, a expliqué, ce mardi 26 janvier, Lyes Ferroukhi, DG du commerce extérieur au ministère du Commerce, sur la Radio nationale.
« Le déficit va être réduit, c’est certain. L’ensemble des licences pourrait nous permettre une réduction de 6 à 7 milliards de dollars à la fin de l’année 2016. L’année écoulée, les différentes mesures du gouvernement ont permis d’économiser également environs 7 milliards de dollars. Cette économie n’est pas uniquement le fruit des restrictions prises par le ministère du Commerce, c’est un ensemble de facteurs qui a concouru à cette réduction y compris la dévaluation du dinar », a-t-il détaillé.
Un comité interministériel
Un comité interministériel sera installé pour gérer la répartition des contingents soumis à la licence d’importation. « Cette répartition en principe doit s’effectuer sur la base des courants d’échanges traditionnels, c’est-à-dire voir pour chaque demandeur, ses importations des trois années précédentes, mais aussi on prend le contingent et on essaye de le répartir sur l’ensemble des demandes », a expliqué M. Ferroukhi
Le contingent des véhicules a été fixé à 152 000 unités pour cette année, a rappelé M. Ferroukhi. « Les importations destinées à la revente des véhicules en état, effectuées par les concessionnaires sont limitées à 152 000 unités, il s’agit des véhicules de tourisme, des véhicules de transports de personnes et des véhicules de transports de marchandises. Toujours est-il que des opérateurs installés ici en Algérie et évoluant sur le marché algérien ont le droit d’importer des véhicules pour leurs propres usages et ne sont pas soumis à la licence », a-t-il détaillé.
Pour le rond à béton, le contingent est fixé à 2 millions de tonnes, en baisse de par rapport à l’année dernière. En 2015, l’Algérie a importé trois millions de tonnes de produit. Pourquoi une telle baisse ? Des productions nationales vont entrer en exploitation prochainement, ce qui permettra de compenser ce million manquant par rapport à l’année dernière, a expliqué le responsable du ministère.
Le contingent du ciment a été fixé à 1,5 million de tonnes. Un quota qui « pourrait être, en cours d’année, augmenté par l’ouverture d’un deuxième contingent d’un volume moindre », a souligné M. Ferroukhi.
TSA
« Le déficit va être réduit, c’est certain. L’ensemble des licences pourrait nous permettre une réduction de 6 à 7 milliards de dollars à la fin de l’année 2016. L’année écoulée, les différentes mesures du gouvernement ont permis d’économiser également environs 7 milliards de dollars. Cette économie n’est pas uniquement le fruit des restrictions prises par le ministère du Commerce, c’est un ensemble de facteurs qui a concouru à cette réduction y compris la dévaluation du dinar », a-t-il détaillé.
Un comité interministériel
Un comité interministériel sera installé pour gérer la répartition des contingents soumis à la licence d’importation. « Cette répartition en principe doit s’effectuer sur la base des courants d’échanges traditionnels, c’est-à-dire voir pour chaque demandeur, ses importations des trois années précédentes, mais aussi on prend le contingent et on essaye de le répartir sur l’ensemble des demandes », a expliqué M. Ferroukhi
Le contingent des véhicules a été fixé à 152 000 unités pour cette année, a rappelé M. Ferroukhi. « Les importations destinées à la revente des véhicules en état, effectuées par les concessionnaires sont limitées à 152 000 unités, il s’agit des véhicules de tourisme, des véhicules de transports de personnes et des véhicules de transports de marchandises. Toujours est-il que des opérateurs installés ici en Algérie et évoluant sur le marché algérien ont le droit d’importer des véhicules pour leurs propres usages et ne sont pas soumis à la licence », a-t-il détaillé.
Pour le rond à béton, le contingent est fixé à 2 millions de tonnes, en baisse de par rapport à l’année dernière. En 2015, l’Algérie a importé trois millions de tonnes de produit. Pourquoi une telle baisse ? Des productions nationales vont entrer en exploitation prochainement, ce qui permettra de compenser ce million manquant par rapport à l’année dernière, a expliqué le responsable du ministère.
Le contingent du ciment a été fixé à 1,5 million de tonnes. Un quota qui « pourrait être, en cours d’année, augmenté par l’ouverture d’un deuxième contingent d’un volume moindre », a souligné M. Ferroukhi.
TSA