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Un drone iranien entrain d’espionner l'USS Harry Truman

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  • Un drone iranien entrain d’espionner l'USS Harry Truman

    Un drone et aussi un sous-marin iraniens entrain d’espionner l'USS Harry Truman:



  • #2
    Très fort ces iraniens, ils viennent de copier le S300 russes , ils viennent de réussir leur programme de fabrication local d'armement lance dans le début des 90 ils sont devenus totalement autonomes , preuve c est que l' embargo ne les a pas affecté .
    Faute de grives , nous mangeons des Merles

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    • #3
      Envoyé par rachid75
      Très fort ces iraniens, ils viennent de copier le S300 russes , ils viennent de réussir leur programme de fabrication local d'armement lance dans le début des 90 ils sont devenus totalement autonomes , preuve c est que l' embargo ne les a pas affecté .
      Ce que tu dis est faux, ils n'ont pas encore reçu, les S-300, comment pourrait-ils les copier sans l'aide des Russes ? Même les Etats-Unis, ne savent pas fabriquer de tels systèmes

      Par contre, ils ont copié le HQ-2B, copie chinoise du SA-2 soviétique, la première version iranienne se nommait Sayyad-1.

      Et ont modernisé Le MIM-23 Hawk, missile anti-aérien de moyenne portée qui a été développé aux États-Unis est entré en service en 1962,
      Dernière modification par zek, 31 janvier 2016, 09h02.
      Si vous ne trouvez pas une prière qui vous convienne, inventez-la.” Saint Augustin

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      • #4
        Viktor Litovkine.
        "La Chine avait acheté une batterie S-300 PMU”, a expliqué l’expert. “Les Chinois avaient démantelé le premier appareil jusqu’à la dernière vis et essayé de créer un système analogue. Ils s’étaient donné beaucoup de peine durant environ sept ans, mais leur résultat fut nul"
        .
        Dernière modification par zek, 31 janvier 2016, 09h24.
        Si vous ne trouvez pas une prière qui vous convienne, inventez-la.” Saint Augustin

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        • #5
          Inventaire des armements anti aeriens iraniens

          Missiles à moyenne et longue portée

          SA-5 Gammon (S-200) ou Almaz-200 Angara

          De 10 à 25 lanceurs SA-5 Gammon seraient opérationnels depuis plus de dix ans. Ils constituent l'ossature de la défense aérienne à longue portée iranienne. Téhéran aurait reçu initialement 35 missiles (25 en 1991 d'URSS, puis 10 en 1992/1993 d'Ukraine). L'Iran produirait maintenant ses propres missiles SA-5 appelés « Ghareh » et possèderait six batteries équipées de deux radars, qui sont chacune capable de détecter jusqu'à 200 intrusions, d'en suivre 40 et d'en détruire 32.

          Hawk

          Initialement, l'Iran possédait de 23 à 30 lanceurs de missiles Hawk. La configuration d'un site classique comporte habituellement six batteries. Les Iraniens ont développé des sites pour trois batteries (le plus souvent seulement deux emplacements sont armés). Israël avait fourni secrètement des missiles Hawk à l'Iran durant la guerre qui l'opposait à l'Irak. L'industrie militaire iranienne aurait produit des missiles pouvant être adaptés du lanceur Hawk.

          SM-1 Fajr

          Les Iraniens auraient développé un système de défense anti-aérien terrestre à partir de missiles habituellement mis en œuvre par la marine. Il s'agirait dune version terrestre de l'US Rim 66.

          SA-6 2K12 Kub Gainful

          L'Iran aurait reçu de la Syrie huit lanceurs SA-6 Gainful en 1995-1996. Au total, Téhéran en possèderait 25. D'une portée de 30 kilomètres, ils peuvent atteindre une cible à une altitude de 18 000 mètres.

          HQ-2J/23 et SA-2

          De 45 à 60 lanceurs de SA-2 et de HQ-2J/23 (l'équivalent chinois CSA-1 du SA-2 russe) seraient opérationnels. La version iranienne est appelée Sayyad-1.

          SA-10 Grumble (S-300)

          Début 2009, Téhéran négociait encore l'acquisition de sept batteries à quatre lanceurs de SA-10 (S-300) auprès de Moscou. Certaines sources prétendent que Téhéran en possèderait déjà deux exemplaires, vraisemblablement destinés à la formation des servants. Si Moscou donne son aval à cette vente qui devrait intervenir en juin 2009, ces armements modernes pourraient rapidement devenir opérationnels. Encore faut-il que des techniciens russes aident à la formation des personnels.

          Missiles et armements anti-aériens à courte portée

          9K331 TOR M-1 (SA-15 Gauntlet)

          Téhéran a acheté 29 systèmes d'armes mobiles TOR M-1 (7 batteries de quatre lanceurs plus un pour l'instruction) en décembre 2005 (réceptionnés en 2006/2007). Ces armes modernes sont efficaces à moyenne et haute altitude contre les avions et les missiles adverses. Chaque système est doté de huit missiles 9M331. Le TOR M-1 peut repérer 48 cibles simultanément et en engager deux à une distance de 12 kilomètres, jusqu'à une altitude de 6 000 mètres. Les radars d'alerte 9K332 peuvent détecter l'intrusion d'aéronefs ou de missiles adverses à une distance de 20 kilomètres

          Pantsyr

          La Russie aurait livré 12 batteries de systèmes anti-aériens Pantsyr (vraisemblablement via la Syrie). Ce système d'arme comporte 12 missiles d'une portée de 12 kilomètres couplés à des canons de 30 mm.

          FM-80 (copie chinoise du Crotale)

          Si les observateurs doutent du caractère opérationnel de certains armements présentés lors des défilés militaires ayant régulièrement lieu à Téhéran, ce n'est pas le cas pour les copies chinoises du Crotale baptisées FM-80 (HQ-7). Le problème réside dans le fait que nul ne sait vraiment combien les Iraniens en possèdent !

          Rapier

          L'Iran serait doté d'une trentaine de postes de tir Rapier. Certaines sources prétendent qu'ils ne sont plus réellement opérationnels.

          SA-8 Gecko 9K33 Osa-AKM

          Ces missiles peuvent porter à 12 kilomètres et à une altitude de 5 000 mètres. Destinés à accompagner les forces terrestres, ils pourraient être rattachés à la nouvelle armée de défense anti-aérienne.

          Tigercat

          L'Iran serait doté de 15 batteries de Tigercat (la version terrestre du Seacat). Selon certaines sources, ces matériels ne seraient plus en service.

          Missiles portables (Manpads)

          SA-7, SA-14 Gremlin et SA-16 Gimlet

          L'Iran serait armé de 300 à 1 000 Manpads. Ils représentent une menace réelle pour les aéronefs évoluant à basse altitude. L'Iran a déclaré fabriquer ses propres Manpads. Etant donnée la qualification de l'industrie militaire iranienne, cette hypothèse est loin d'être irréaliste. Leur nombre pourrait donc connaître un sensible accroissement dans l'avenir. Ils peuvent être mis en oeuvre à dos d'homme ou montés sur des véhicules. Cette mobilité leur permet d'être déployés en n'importe quel point du territoire, et plus particulièrement, dans les zones habitées.

          RBS-70

          Téhéran possèderait quelques 50 missiles RBS-70

          Feimeng 80 (FM 80) Misagh-2

          Il n'est pas évident de savoir si Téhéran a importé des Manpads chinois FM-80 ou les a fabriqué localement. Une version améliorée baptisée FM-90 pourrait être d'actualité. Sa portée serait de 2,5 kilomètres (contre les 1,8 kilomètre pour le FM-80) et une vitesse de 900 m/s (contre 750 m/s pour le FM-80).

          Les canons anti-aériens

          L'Iran possède de nombreuses pièces d'artillerie anti-aérienne. Leur efficacité est faible face à des aéronefs modernes. Seuls les systèmes Skyguard semblent pouvoir tirer leur épingle du jeu. Cependant, les sites de missiles bénéficient généralement d'une protection rapprochée composée de ce type d'armements. Ils peuvent alors poser des problèmes à des aéronefs évoluant à très basse altitude et à vitesse réduite.

          Canons de 57 mm

          Les canons anti-aériens de 57 mm datent de l'ère soviétique. L'armée de terre possède 100 ZSU 57X2 SP qui étaient destinés à accompagner les forces blindées. Il est probable qu'elles resteront sous cette tutelle. Les 50 S 60 de 57 mm tractés semblent bien obsolètes.

          Canons de 40 mm

          Les vieux canons anti-aériens de 40 mm sont toujours opérationnels en Iran qui en possèderait 95 de type L-70 et 20 de type 40 M1.

          Skyguard

          L'Iran aurait 24 postes de tir Skyguard de 35 mm. Il comprend un radar d'acquisition et des canons Oerlikon de 35 mm GDF1/3. L'Iran aurait 100 canons de ce type. Il semble que ce soient les seuls armements de ce type qui représentent une réelle menace pour des aéronefs modernes volant à très basse altitude.

          ZSU 23-4

          Téhéran met encore en œuvre 75 ZSU 23-4. Ces matériels étaient surtout destinés à accompagner les unités blindées. Il est probable que ces engins ne rejoindront pas la nouvelle armée de défense aérienne mais resteront à disposition de l'armée de Terre.

          ZSU 23-2

          Téhéran possède plus de 500 ZSU 23-2 montés sur affûts ou sur véhicules.

          Mitrailleuses de 12,7 mm

          Les mitrailleuses de 12,7 mm datent de la Seconde Guerre mondiale. Leur efficacité est extrêmement limitée contre les aéronefs modernes. Généralement, elles font plus de bruit que de mal.


          ANNEXE 2
          SITES DE MISSILES SOL-AIR

          Sites de missiles HQ-2B (version chinoise du SA-2)

          33 53' 10.86'' N 51 35' 15.42'' E

          27 10' 17.75'' N 56 10' 23.09'' E

          35 42' 21.53'' N 51 04' 42.97'' E

          35 35' 56.19'' N 51 14' 12.97'' E

          35 41' 22.10'' N 51 16' 08.29'' E

          35 30' 54.72'' N 51 22' 29.90'' E

          33 47' 13.71'' N 51 42' 02.42'' E

          32 45' 52.38'' N 51 49' 14.90'' E

          32 25' 15.76'' N 48 28' 13.56'' E

          29 15' 12.54'' N 50 18' 19.51'' E

          28 56' 29.45'' N 50 48' 42.66'' E

          28 54' 10.12'' N 50 49' 56.48'' E

          36 13' 19.77'' N 59 39' 46.71'' E

          Sites de missiles SA-5 Gammon

          35 18' 20.10'' N 51 08' 28.91'' E

          35 23' 06.05'' N 53 44' 22.29'' E

          32 47' 13.06'' N 51 49' 23.00'' E

          28 57' 03.27'' N 50 49' 13.63'' E

          27 15' 03.44'' N 56 23' 27.27'' E

          35 12' 03.67'' N 48 39' 16.69'' E

          Sites inoccupés mais pouvant être armés à tout moment

          Par des missiles HQ-2 (ou SA-2)

          35 26' 34.93'' N 51 23' 00.52'' E

          37 58' 04.83'' N 46 10' 40.42'' E

          37 56' 36.66'' N 46 11' 47.59'' E

          35 30' 24.55'' N 51 05' 47.20'' E

          31 21' 56.98'' N 48 35' 24.41'' E

          29 35' 11.25'' N 52 18' 47.83'' E

          29 33' 03.87'' N 52.25' 07.64'' E

          28 52' 12.20'' N 50 51' 37.87'' E

          28 52' 04.26'' N 50 51' 25.16'' E

          Par des missiles Hawk

          34 58' 12.30'' N 50 48' 03.10'' E

          32 44' 34.85'' N 51 36' 51.47'' E

          31 17' 07.87'' N 47 56' 09.14'' E

          28 50' 05.88'' N 50 55' 41.81'' E

          26 48' 20.11'' N 53 16' 37.84'' E

          25 52' 21.47'' N 55 02' 33.59'' E

          27 13' 36.39'' N 56 19' 53.54'' E

          25 27' 15.68'' N 60 27' 28.66'' E

          38 02' 45.30'' N 46 12' 31.55'' E

          35 34' 07.59'' N 51 32' 41.90'' E


          ANNEXE 3
          LA PROTECTION ANTI-AERIENNE
          DES PRINCIPAUX SITES STRATEGIQUES IRANIENS

          Téhéran

          5 batteries de SA-5 et 5 batteries Hawk (les Iraniens ne déploient généralement que 3 postes de tir par batterie).

          4 sites de missiles HQ-2B/Sayyad-1.

          Natanz

          4 sites de Skyguard comportant 2 bitubes de 35 mm et un radar

          12 sites de canons de 35 mm

          25 sites de canons de 23 mm

          2 batteries de Hawk (une à 7 km au nord et une à 17 km à l'ouest)

          une batterie de HQ-2 (21 km au nord-ouest)

          2 sites pouvant contenir des RBS-70 SAM.

          Ispahan

          13 sites de SkyGuard équipés de deux bitubes de 35 mm et d'un radar dont 8 inoccupés

          6 sites de canons de 35 mm

          13 sites de canons de 23 mm.

          Bushehr

          1 site de Hawk inoccupé

          3 sites de SkyGuard dont un seul est armé de 2 bitubes de 35 mm et d'un radar

          13 sites de canons de 35 mm

          6 sites de canons de 23 mm

          2 sites inoccupés.

          Arak

          2 sites de Skyguard dont l'un est inoccupé

          7 sites de canons de 35 mm

          23 sites de 23 mm

          3 positions de radars


          Alain Rodier.
          Centre Français de Recherche sur le Renseignement
          Si vous ne trouvez pas une prière qui vous convienne, inventez-la.” Saint Augustin

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          • #6


            Ce que tu dis est faux, ils n'ont pas encore reçu, les S-300, comment pourrait-ils les copier sans l'aide des Russes ? Même les Etats-Unis, ne savent pas fabriquer de tels systèmes




            Grande surprise au défilé militaire iranien : un S300 !

            Dépêches :: dimanche, 18 avril 2010 :: Agences ::
            Grande surprise de la journée de l’armée, célébrée ce dimanche en République islamique d’Iran : un système de défense anti missile aérien, similaire au fameux S300 russe a été présenté lors du défilé militaire organisé à cette occasion, a rapporté l’agence de presse iranienne Mehr News.

            Interrogé par l’agence, un porte-parole de l’armée iranienne a précisé que le système qui, a fait l’objet d’un contrat non honoré par Moscou a été entièrement conçu par des experts iraniens. A plusieurs reprises, des dirigeants iraniens avaient mis en garde que si la Russie ne le livrait pas, les Iraniens allaient le fabriquer.

            Selon des experts du quotidien israélien Maariv, le système ressemble au HQ9 chinois, très similaire à son homologue russe. Il est capable d’intercepter un appareil à 145 Km.

            Un expert militaire israélien, Tel Anbar, a qualifié l’évènement de « grande surprise iranienne » et de « dramatique », car « il va permettre aux Iraniens de défendre leurs sites sensibles, dont les installations nucléaires ».

            Par ailleurs, et selon l’agence de presse Fars News, le défilé militaire de cette année a mis en valeur les trois générations de missiles balistiques iraniens : le Shéhab 3 qui est le premier missile balistique qui fonctionne au carburant liquide et peut atteindre des cibles situées à 1800 Km, sa copie perfectionné, Qadr 1 d’une longueur de 16 mètres et d’une portée de 2.000 Km, et enfin Sijjile, fabriqué par les cadres de l’armée iranienne pour fonctionner au carburant solide. Des missiles Fateh, Raed et Nasr 1 sont également été présentés.

            Au défilé auquel le président iranien Mahmoud Ahmadinejad a participé, figuraient également des cortèges des unités d’élite des gardiens de la révolution et du corps des volontaires des Bassidjs.

            Cette année, le défilé a pris pour mot d’ordre : « Nous pouvons rester debout jusqu’au bout ». Et pour arrière fond, le défi lancé par le fondateur de la république islamique, l’Imam Khomeiny: « les États-Unis ne peuvent plus commettre aucune
            Faute de grives , nous mangeons des Merles

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            • #7
              L’Iran a trouvé le moyen de se passer de missiles russes

              Grande surprise au défilé militaire iranien : un S300 !
              Une surprise en carton.

              Un HQ-9 chinois, impossible à cause des sanctions onusiennes contre l'Iran, peut être un S-200 maquillé extérieurement où peut être même une maquette.

              Mais ce n'est pas le vrai S-300.

              La République islamique a présenté au monde son propre système de défense anti-aérienne pour remplacer les missiles sol-air S-300 qui ne lui sont toujours pas parvenus de Russie, lit-on mardi dans le quotidien GZT.RU.

              Les experts sont certains de l’incapacité des Iraniens de créer eux-mêmes un système sol-air analogue, mais ils ont pu copier le missile HQ9 vendu par la Chine à l’Iran.

              De nouveaux types d’armements ont été présentés au défilé militaire de dimanche dernier à Téhéran. Un nouveau système de défense anti-aérienne ressemblant au missile sol-air S-300 a retenu l’attention des experts militaires. Mais, sauf la ressemblance extérieure, les systèmes iranien et russe n’ont rien de commun l’un avec l’autre, affirment les spécialistes.

              “Je ne sais pas quel système a été présenté à Téhéran, mais je peux affirmer que les Iraniens ne pouvaient pas créer eux-mêmes une batterie de missile analogue au S-300”, a déclaré au quotidien GZT.RU Viktor Litovkine, rédacteur en chef adjoint de l’hebdomadaire “Chronique militaire indépendante”. Même les Etats-Unis, assure-t-il, ne savent pas fabriquer de tels systèmes : “Les Américains ont de bons systèmes, mais ils n’arrivent pas à créer le nôtre”. “Ils pouvaient présenter au défilé un moulage en contre-plaqué ou une copie pneumatique du S-300 qui sont utilisés en vue de tromper l’aviation, ou bien ils ont effectivement présenté un nouveau système sol-air iranien, mais n’ayant rien à voir avec le S-300, sauf la ressemblance extérieure”, a ajouté Viktor Litovkine. “La Chine avait acheté une batterie S-300 PMU”, a expliqué l’expert. “Les Chinois avaient démantelé le premier appareil jusqu’à la dernière vis et essayé de créer un système analogue. Ils s’étaient donné beaucoup de peine durant environ sept ans, mais leur résultat fut nul”.

              “Les Iraniens ne pouvaient pas créer eux-mêmes un système analogue au S-300”, affirme pour sa part le colonel Anatoli Tsyganok, directeur du Centre de prévisions militaires. Comme Viktor Litovkine, il estime que la Chine avait effectivement pu vendre un lot de missiles HQ9 à l’Iran, mais ce matériel ne correspond pas au niveau technique du prototype russe. “Pour comprendre les potentialités du nouveau système de DCA iranien, il faudrait que Téhéran effectue des essais auxquels seraient admis des étrangers”, estime Anatoli Tsyganok.

              Fedor Loukianov, le rédacteur en chef de la revue Rossia v globalnoï politike (La Russie dans la politique globale), admet aussi que Pékin avait vendu un lot de ses missiles sol-air à Téhéran : “Pourquoi pas ? Pour les Chinois, le commerce avec l’Iran, c’est du business dépourvu de toute idéologie”.

              Cependant, le politologue doute que cette transaction puisse entraîner des conséquences sérieuses pour la Chine dans l’arène internationale. “En ce moment, tout le monde est en train de persuader Pékin d’approuver de nouvelles sanctions contre l’Iran. Par conséquent, personne ne prêtera aucune attention aux systèmes de missiles sol-air vendus. D’ailleurs, il faut d’abord préciser ce qui a été montré au défilé.

              Il peut s’agir d’un moulage”, a résumé Fedor Loukianov.

              Ria Novosti
              Si vous ne trouvez pas une prière qui vous convienne, inventez-la.” Saint Augustin

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              • #8
                Je ne donnerai pas cher de la peau de la téhoudite si jamais il y a un réel face à face.

                Même ici, les Iraniens que je connais sont très en avance sur les ressortissants du monde arabe.

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                • #9
                  La perse a toujours été plus avancé, de meme que les turks, l'autre puissance au moyen orient

                  Sinon, j'ai envie de pleurer sur nos pays du Maghreb, surtout l'Algerie

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