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L’ancien premier ministre sous Chadli, Abdelhamid Brahimi rentre d’exil (Vidéo)

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  • L’ancien premier ministre sous Chadli, Abdelhamid Brahimi rentre d’exil (Vidéo)

    L’ancien premier ministre sous le président Chadli Bendjedid est rentré, hier, en Algérie après un long exil.

    A son arrivée à l’aéroport international d’Alger à bord d’un vol de la Royal Air Maroc, son avocat était parmi les personnes qui l’attendaient.

    L’auteur des propos sur les « 26 milliards de dollars détournés » a eu droit à des facilités de la part des fonctionnaires de la police des frontières (PAF).

    Réfugié à Londres (Royaume Uni) de 1990 à 2005, Abdelhamid Brahimi, qui occupait le poste de premier ministre de Chadli Bendjedid de 1984 à 1988, était depuis 2005 libre de revenir en Algérie.
    Avant son départ à l’étranger, Brahimi, dit « Brahimi la science » avait créé la surprise en dénonçant le détournement par les membres de la nomenklatura de 26 milliards de dollars de fonds publics sans pour autant apporter la moindre preuve. Devant l’émoi suscité, l’ex premier ministre a tenté à plusieurs reprises d’atténuer ses propos en vain.
    L’ex premier ministre s’est dit très heureux et très ému de fouler le territoire national après tant d’années d’exil.

    Par Mourad Arbani
    ALGERIE 1
    dz(0000/1111)dz

  • #2
    un exil qu'il s'est infligé lui même ,rien ne l'empêchait de fouler le sol algérien,n'est pas Edward Snowden qui veut

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    • #3
      dz(0000/1111)dz

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      • #4
        Je me demande pourquoi il s'est exilé , je pense plutôt que c'est lui qui a détourné des milliards , faut faire une enquête sur lui .
        Il ne faut pas de tout pour faire un monde. Il faut du bonheur et rien d'autre.
        (Paul Eluard)

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        • #5
          mais bon à son corps défendant twahech el kesra ou l'chorba!

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          • #6
            un exil qu'il s'est infligé lui même ,rien ne l'empêchait de fouler le sol algérien,n'est pas Edward Snowden qui veut
            r

            dans des interviews de l'ancien ministre, en exil , il me semble que ce dernier se plaignait du refus des autorités de lui renouveler son passe port.

            le changement qui vient de se produire au sein des Services doit avoir contribué à faciliter le retour de l'exilé.

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            • #7
              mais bon à son corps défendant twahech el kesra ou l'chorba!
              à le voir se déplacer lentement , pleurer au cours de l'interview, la tête couverte d'une casquette , Si BRAHIMI ne doit pas être en bonne santé...

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              • #8
                Qui se rappel quand il ironisait sur le concept de "l industrie industrialisante"

                Principal architecte du démantèlement et de la désintégration du tissus industriel naissant que feu H. Boumédienne a mis des années pour jeter les bases , je ne lui voue aucune sympathie.
                أصبحنا أمة طاردة للعلماء مطبلة للزعماء

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                • #9
                  Qui se rappel quand il ironisait sur le concept de "l industrie industrialisante"

                  Principal architecte du démantèlement et de la désintégration du tissus industriel naissant que feu H. Boumédienne a mis des années pour jeter les bases , je ne lui voue aucune sympathie.
                  5/5

                  un abruti qui ne sait pas ce que veut dire 26 milliards de dollars en 1988 !!!

                  ps : à les entendre, en algérie pas un n'est viré, ils déposent tous leur démission.

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                  • #10
                    Abdelhamid Brahimi (arabe: عبد الحميد براهيمي) (né le 2 avril 1936 à Mila en Algérie) est un homme politique algérien. Il est Premier ministre de Chadli Bendjedid du 22 janvier 1984 au 5 novembre 1988. Il est le fils d'un imam Mebarek el Mili.

                    Il combat dans l'ALN pendant la guerre d'Algérie. De 1963 à 1965 il représente la province d'Annaba dans le gouvernement de Houari Boumédiène et occupe divers postes ministériels jusqu'en 1970. Il enseigne ensuite l'économie à l'Université d'Alger jusqu'en 1975. Il est nommé en 1979 ministre de l'aménagement du territoire jusqu'en 1983. Il est nommé premier ministre le 22 janvier 1984. Il doit affronter des manifestations populaires contre la pénurie alimentaire et le chômage. Les forces de l'ordre répriment violemment les manifestants. On dénombre plus de 200 morts. La situation restant incontrôlable, il démissionne de son poste le 5 novembre 1988.

                    voila en toute objectivité

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                    • #11
                      Brahimi persiste et signe et répond à Khaled Nezzar
                      Ma décision de créer la commission contre la corruption a irrité le régime
                      « De Gaulle a introduit des officiers de l’armée française pour piéger la révolution et légitimer leur pouvoir »


                      L’ancien premier ministre, Abdelhamid Brahimi, a renouvelé ses attaques à l’adresse de ceux qu’il appelle « hizb frança » (parti de la France) faisant référence à certains membres de l’actuel gouvernement. Mr Brahimi a déclaré, répondant à Khaled Nezzar : « de gaulle a envoyé des officiers français pour fausser l’issue de la guerre et pour obtenir en même temps une légitimité révolutionnaire »
                      L’ancien premier ministre, à l’origine de l’éclatement au grand jour de l’affaire des 26 milliards de dollars à la fin des années 80, continue de nourrir la polémique sur ce qu’il appelle « hizb frança», déclarant dans son intervention , hier, sur la chaîne « El Djazeera »: « le problème prend sa source du discours de De Gaulle à Alger en 1958… je n’ai pas affirmé pas que c’est à ce moment-là que les officiers algériens dans l’armée française avaient pris part à la guerre, n’étant pas envoyés pour combattre les français, mais en Tunisie et dans le gouvernement provisoire, dans le cadre de la politique de De Gaulle »
                      Ajoutant depuis Londres ou l’émission a été enregistrée, après ses premières déclarations faites au Maroc que : « la politique de gaulle était de torpiller la guerre de l’intérieur…alors que ces officiers visait à obtenir une certaine légitimité en qualité de Moudjahid ». Questionné à propos de son mutisme sur cette affaire alors qu’il était premier ministre, il a répondu qu’il n’avait les pleins pouvoirs pour ce faire.
                      Ajoutant « j’ai essayé mais vous connaissez bien la constitution algérienne, l’armée est la seule à pouvoir intervenir dans les dossiers sécuritaire et autres affaires sensibles », Poursuivant : « notre rôle se limitait à trouver des solutions aux problèmes économiques et sociaux». Il a, par ailleurs, prétendu qu’il y a vingt ans, certaines factions du régime l’avaient « combattu » lorsqu’il avait annoncé son intention de lutter contre la corruption, faisant référence à l’affaire des 26 milliards de dollars détournés, et déclarant : « j’ai combattu la corruption en créant une commission chargé de d’enquêter sur des affaires de corruption, mais j’ai dû faire face à une farouche résistance au sein même du régime »
                      Mr Brahimi a, en outre, proposé une comparaison économique de la situation sociale des algériens avant, pendant et après sa prise de fonction déclarant : « le salaire annuel de l’algérien était de 370 dollars dans les années 70, de 800 dollars en 1980, il a ensuite augmenté à 2500 dollars dans les années 80 pour ensuite dégringolé à 1200 dollars dans les années 90. Ajoutant sur le chapitre du développement économique que le secteur de l’industrie avait accaparé, dans les années 70, toute l’attention, aux dépends de l’agriculture et de l’habitat, alors que selon lui, dans les années 80, ce dernier avait été enrichi de 120 000 nouvelles unités, pour ensuite connaître une baisse sensible dans les 90 »
                      Me Brahimi avait, pour rappel, fait l’objet de vives critiques de la part de l’ancien ministre de la défense, Mr Khaled Nezzar, ainsi que de la part de l’ancien premier ministre, Sid Ahmed Ghezali, suite à ces propos jugés « violents » en ce qu’ils endossaient la responsabilité d’événements politiques qu’avait connu le pays, à certains généraux.

                      http://www.algerie-dz.com/forums/sho...d.php?t=146912

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                      • #12
                        Voila les véritables raisons de la cabale menée par la presse obéissant aux ordres des tenants du pouvoir des années 90, contre l'ex 1er ministre Abdelhamid Brahimi, suite à sa divulgation du scandale des 26 Mds détournés, lorsqu'il était en exil forcé (car s'il n'était pas parti, il aurait fini dans un "trou" et compté comme étant l'une des 200.000 victimes du terrorisme).




                        LETTRE des DAF
                        «Nous, ex-officiers de l’armée française et vous, officiers de l'Armée de Libération Nationale sortis des académies militaires arabes et autres, sommes les mieux placés et les mieux préparés pour nous imposer et disposer du commandement de l’armée algérienne après l’indépendance, compte tenu de notre professionnalisme, notre expérience et notre compétence. Nous devons nous entendre dès à présent sur la répartition des rôles et des tâches pour accéder au commandement de la future armée.»
                        signée Lieutenant Slimane Hoffman (pour les DAF)


                        REPONSE rédigée par le Capitaine de l'ALN Abdelhamid Brahimi
                        au noms des Officiers et Djounoud de l'ALN

                        Nous n'avons rien de commun avec vous, parce que nous, nous avons rejoint le FLN et L'ALN par conviction politique et par militantisme pour contribuer, aux cotés de notre peuple, à la lutte armée pour la libération de notre pays du joug colonial. Compte tenu de notre mission au sein de L'ALN, nous ne sommes d'ailleurs pas sûrs d'être en vie le jour de l'indépendance, et nous n'avons pas l'intention de faire carrière dans l'armée, après l'indépendance. Nous ne sommes pas des militariste. Quant à vous, vous venez de l'armée française bien tardivement après avoir d'ailleurs combattu en lndochine, puis en Algérie contre les partisans de la liberté et de l'indépendance. Les propos que vous venez de tenir montrent bien que vous êtes en service commandè. A peine débarqués et sans avoir aucune affectation ni aucune responsabilité au sein des structures de L'ALN, vous songez dèja à mettre la main sur l'armée algérienne après l'indépendance. Il est clair que cette démarche s'insrit dans le cadre d'un plan pré-etabli et élaboré à Paris.
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                        • #13
                          DOUBLON à enlever svp
                          Dernière modification par KHORE, 07 mai 2017, 10h18.

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                          • #14
                            DOUBLON à enlever svp
                            Dernière modification par KHORE, 07 mai 2017, 10h18.

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                            • #15
                              el mouradia tant bien que mal a casser et semer la pagaille et la déroute en se hizb maléfique

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