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Idées Reçues : L'Islam principal pourvoyeurs d'esclaves

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  • #16
    je viendrais plus tard inshaAllah faire un point sur ce qu'en dit l'Islam avec el kitab wa el sunna à l'appui... chaque chose en son temps
    si tu vient avec ta vision deformer des chose comme tu la fait ici ont va rigoler

    je met en avant la traite qui a causé le plus de dégâts
    tu focalise la traite desclave en la focalisant sur la traitre atlantique pour dire les sunnite et les chiite ont une par mince dans lesclavage mondial
    lol

    cest facile de dire cela quand ont focalise lesclavage dans des zone ou les sunnite et les chiite de lepoque netait pas tres actif
    il aurait ete honnete de prendre en compte la zone mediteraneene ,nord africaine et du moyen orient


    pour clore se nest pas les sunnite ou les chiite qui ont oeuvrer a larret de lesclavage dans le monde cest bien l'occident et ca tu pourra pas le refuter

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    • #17
      @Arbia,

      Désolé je croyais que tu faisais partie de l'opinion, frequente sur ce forum, du type "dans le monde musulman l'esclave est bien traité par son maitre, il a tout ses droits (sic)".

      Malheureusement l'islam n'a pas resolu le probleme de l'esclavagisme qui a perduré et meme pris une ampleur inegalée depuis l'apparition de cette religion.

      La traite transatlantique est une continuité de la traite arabo-musulmane laquelle a succédé aux pratiques esclavagistes de l'Egypte des pharaons et de la Rome et Grece antiques, etc.
      Dernière modification par BabaMerzoug, 10 février 2016, 22h25.

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      • #18
        Malheureusement l'islam n'a pas resolu le probleme de l'esclavagisme qui a perduré et meme pris une ampleur inegalée depuis son apparition.
        l'Islam justement est venu apporté une solution afin d'atténuer l'esclavagisme en recommandant de les affranchir plusieurs versets appuyés par les hadiths l'attestent.... d'ailleurs détenir un esclave était très répandu et même incrusté dans les sociétés qu'elles soient arabes ou grecs, romaines etc il était difficile à cette époque d'enrayer ce phénomène d'un seul coup...

        La traite transatlantique est une continuité de la traite arabo-musulmane laquelle a succédé aux pratiques esclavagistes de l'Egypte des pharaons et de la Rome et Grece antiques, etc.
        non elle n'est pas la continuité puisque les 2 traites sont différentes et incomparables, les occidentaux par leur flotte puissante ont tout bonnement profité de la découverte des amériques pour remplir leur bateaux d'esclaves... d'ailleurs je mettrais plus tard en exergue qui était justement les propriétaires de ces bateaux remplis d'esclaves

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        • #19
          franchement je m'attendait a de lhonneteter mais orienter lesclavage mondial en focalisant que sur la traite transatlantique pour dire que les sunnite et chiite ont une part mince c'est tres malhonete



          bon le fin du fin cest l'occident qui a arrter lesclavage mondial

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          • #20
            non après avoir mis fin à l'esclavagisme ils se sont mis à coloniser les pays dont ils exportaient les esclaves et à réduire les populations autochtones au statut d'indigénat ...

            sinon tu peux éviter stp d'écrire en rouge police 10, ce n'est pas convaincant, c'est pénible et tu parasites le fil plus que tu n'argumentes
            merci

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            • #21
              franchement si tu parle de colonialisme les sunnite et les chiite ne sont pas en reste dans leur passez
              ils sont venu de par leur conquete jusquen france

              mais bon tu vas nous dire que les conquete et la colonisation des sunnite et des chiite a ete subit par gaiter de coeur
              Dernière modification par momo84, 11 février 2016, 00h03.

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              • #22
                Erreur ...
                Dernière modification par Marzouq, 11 février 2016, 00h00.

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                • #23
                  mais bon tu vas nous dire que les conquete et la colonisation des sunnite et des chiite a ete subit par gaiter de coeur
                  C'est simple, lorsque un envahisseur vienne envahir un territoire avec des armes on l'appelle un envahisseur et colonisateur comme pour ce qui est de la France vis-à-vis l'Afrique du Nord, par contre lorsque une armée vienne envahir le même territoire avec des roses et du chocolat, on l'appelle cela un fat'h, t'as compris la leçon, good! Yak Moussa Ibn nosayr est venu avec du chocolat et des fleurs en Afrique du Nord, et puis nos ancêtres l'ont accueillit à bras ouvert en lui donnant leur territoire, oubliant leur langue et culture, adoptant celles du colonisateur, désolé les fatihine je veux dire et voila que tous s'est bien passé. Y a jamais eu de lutte contre cet envahisseur, y a jamais eu de morts, y a jamais eu de femmes veuves et prises comme malikat yamine , jamais eu d'enfants prises comme esclaves, y a jamais eu suppression et éradication de la culture, langue, us et coutumes locales, y a jamais eu de tous cela, à lire juste moukadimat ibn khaldoun et vous verrez qu'il n'y a eu rien de cela.
                  Dernière modification par veniziano, 11 février 2016, 06h28.

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                  • #24
                    En reponse au livre de tidiane ndiaye

                    Comment on réécrit l’histoire de l’esclavage.

                    Après le 11 Septembre, un vaste programme s’est progressivement mis en place pour présenter le monde arabo-musulman comme l’ennemi de tous. Il fallait d’abord enraciner cette idée dans le monde occidental en présentant l’Islam comme générateur d’obscurantisme, de destruction et de barbarie, en instrumentalisant quelques-uns de ses adeptes de manière à obtenir une vision globalement négative des arabes.

                    Vers la fin de la première décennie de ce siècle, les promoteurs de ce projet se sont attelés à étendre cette vision dans le monde noir. Comment y parvenir ? En refaisant l’histoire autour du seul point de contact entre les arabes et l’Afrique Noire, le commerce et l’esclavage à travers les siècles.

                    En forçant les traits et en exagérant les chiffres, il était possible de coller aux arabo-musulmans l’image des pires négriers de l’Histoire. Dans le contexte de repentance qui régnait alors, cela permettait d’exonérer les européens du poids historique de la traite des noirs. C’était également une manière de dire à ceux qui avaient osé réclamer une égalité de traitement des mémoires : « allez voir chez les arabes, ici la seule repentance qui vaille c’est celle vis-à-vis de l’holocauste ».


                    Pour bien alourdir le tableau, des chiffres défiant l’imagination sont avancés, chiffres que l’on tente de valider en citant quelques noms d’explorateurs célèbres comme Stanley ou Brazza, ou en se référant à quelques grandes figures du monde arabe comme Ibn Khaldoun dont le racisme notoire (pas plus que celui de Victor Hugo) est mis en avant.



                    Pour donner encore plus de crédibilité au narratif on va jusqu’à invoquer la Bible en citant l’esclavage des hébreux en Egypte, que la tradition chiffre aussi par millions. Le but étant de nous présenter le pire crime de toute l’Histoire de l’Humanité, les chiffres se devaient d’être bien supérieurs à tous ceux connus jusqu’ici. A côté des 11 à 12 millions d’esclaves transatlantiques, le chiffre de 17 millions de noirs déportés par les arabes, soit un tiers de plus, pouvait faire bonne mesure. Cela représente tout de même, sur un millénaire de trafic, 17 000 esclaves par an, ou environ 1 500 esclaves par mois dans un va-et-vient transsaharien incessant qui pourrait nous rappeler les grands départs en vacances actuels.

                    11 millions d’esclaves transportés par bateaux entiers, vers les côtes américaines et des caraïbes, ça se voit forcément. La déportation de tant de personnes nécessite un minimum d’organisation et d’infrastructure. Nous en voyons encore des traces à l’Ile de Gorée, au Bénin et ailleurs.



                    A l’autre bout de l’Atlantique, les descendants des déportés sont toujours là, bien visibles. N’étant d’abord que des marchandises dans un commerce florissant, à leur départ d’Afrique et à leur arrivée aux Amériques, les esclaves deviennent ensuite des outils de production générant des fortunes.

                    L’esclavage a boosté la prospérité de l’Occident et a eu des conséquences majeures sur les luttes pour le pouvoir grâce au renforcement de certaines castes ou familles ou en en créant d’autres. De manière directe ou indirecte, les effets de l’esclavage sont toujours là, sous nos yeux.


                    Comment se fait-il alors qu’avec 17 millions d’esclaves il n’y ait aucune trace de genre ? Sachant que durant la période concernée par ce commerce, la population mondiale totale n’était que de 500 millions d’habitants (moins de 200 millions au début de l’ère musulmane et un peu plus de 600 millions à la fin du 18ème siècle), le chiffre de 17 millions d’esclaves importés dans des zones relativement désertiques est énorme. La réponse est tout aussi énorme. Un plan génocidaire, genre solution finale, les attendait. Dès leur arrivée, tous les mâles se faisaient castrer. Vu leur nombre, le métier de castrateur devait être recherché. Des castrateurs, il y en avait. Il y avait même des villes dédiées comme Prague et Verdun, mais ces centres de castration, pourvoyeurs du monde musulman car l’Islam interdit cet acte à ses adeptes, s’occupaient surtout d’esclaves européens comme les saxons, les européens de l’est et surtout les slaves.



                    Les récits historiques qui décrivent les somptueux palais byzantins ou ottomans, grands consommateurs d’esclaves, n’omettent pas de parler des serviteurs et des eunuques. Si quelques-uns d’entre eux sont noirs, l’immense majorité est de race blanche, et ils n’étaient pas tous castrés. Pourquoi seuls les quelques noirs parmi la masse des esclaves l’étaient-ils systématiquement ? Pur sadisme, peur du noir ?


                    Cette version, outre le fait qu’elle prétend expliquer la rareté actuelle des noirs au Moyen-Orient, a l’avantage de pouvoir être immédiatement gobée car elle fait appel à notre imaginaire de l’arabe avec ses harems aux milliers de femmes voilées gardées par des eunuques grassouillets, un cimeterre leur barrant la poitrine et éventant le calife assoupi.


                    A en croire cette version il y aurait donc eu 17 millions d’eunuques noirs auxquels il faut évidemment rajouter les autres eunuques capturés dans les champs de bataille européens et asiatiques, et tous ceux qui avaient vocation à l’être, étant donné la puissance politique que leur condition a fini par leur octroyer.

                    Combien y a-t-il donc eu d’émirs, de sultans, de califes pour consommer tant d’eunuques ? Ou alors, chaque arabe aurait-il eu son propre harem, son palais luxueux nécessitant une armée d’esclaves ?



                    Si tous ces émasculés n’étaient pas tous des eunuques de harems, cela voudrait dire que le surplus était utilisé à des travaux divers, dans les villes ou dans les champs. Il devrait y en avoir aussi dans les armées puisque les guerres étaient perpétuelles entre voisins. Mais là aussi aucun témoignage ne parle d’armées du Moyen-Orient comportant une quantité importante de noirs. Y aurait-il eu une entente tacite entre les belligérants arabes pour ne pas embaucher des noirs dans les armées ? Ce serait bien le seul point d’entente entre les arabo-musulmans en dehors de la religion. Et si c’était le cas, ce serait sur ordre de qui ? Du Calife de Damas, de Bagdad, du calife fatimide du Caire ou de celui de l’empire ottoman à Istanbul ? Il n’y a pas eu non plus de témoignages de Croisés qui ont tout de même eu une certaine présence sur les terres arabes pendant les deux à trois premiers siècles du second millénaire. Etaient-ils dans la confidence, eux aussi ?


                    Ce narratif suppose d’abord que l’arabe est un idiot très riche, comme la caricature nous le représente aujourd’hui. Il dépense beaucoup d’argent pour acquérir un bien, qu’il se dépêche aussitôt de détruire, quitte à être obligé d’en racheter d’autres. Tel qu’il est représenté, l’arabe n’a aucune notion d’investissement et ne possède des esclaves que pour le plaisir d’en posséder. Ce ne sont pour lui que des objets que l’on remplace en cas de décès ou d’invalidité.




                    Avec 11 millions de noirs on a réussi à transformer des terres hostiles et en friche, en terres riches et prospères d’où des dizaines de millions d’américains et d’européens tiraient leurs ressources.

                    Mais avec 17 millions de noirs chez les arabo-musulmans les terres, qui étaient pourtant déjà riches, en sont restées au stade où elles étaient au temps d’Assourbanipal.

                    L’arabo-musulman, qui a inventé l’agriculture, l’élevage et bien d’autres choses encore, se retrouve incapable de réfléchir dès qu’il se trouve en face d’un esclave noir qu’il vient d’acheter.

                    Il ne pense qu’à une chose, le castrer
                    . Peut-être pour avoir l’honneur de participer à un génocide programmé. Ordonné par qui ? Pourquoi ? Puisque la castration était destinée à limiter le nombre d’esclaves, pourquoi alors aller en chercher d’autres à prix d’or ? Pourquoi l’aïeul de Pouchkine a évité la castration ? Des questions auxquelles des réponses seraient bienvenues.

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                    • #25
                      suite

                      Génocide oui, mais en secret. Ce secret n’a, bien entendu, pu être gardé que grâce à la volonté des autorités, non seulement arabes, mais également africaines actuelles. Pour narrer cette histoire, on a choisi un écrivain noir, anthropologue et économiste.



                      D’autres travaux avaient déjà été effectués par le passé. Les chiffres issus de ces travaux se situent dans une large fourchette de 4.5 millions à 17 millions, ce qui montre toute la difficulté de faire ne serait-ce qu’une estimation approximative de l’ampleur du trafic qui, disons-le tout de suite, a bien existé.

                      Contrairement à la traite négrière transatlantique pour laquelle nous disposons de chiffres, même falsifiés, de registres, de traces de transaction, il n’existe aucun document de ce type concernant l’esclavage des noirs par les arabo-musulmans. Mais malgré le manque flagrant de données, notre économiste choisit le chiffre le plus élevé pour construire son histoire de génocide programmé.

                      Il aurait pu en rester là, car les candidats à gober cette histoire sans se poser la moindre question sont légions. Il y a tous ceux qui ont besoin de justifier leur haine de l’arabe ainsi que tous ceux qui en ont assez d’endosser toutes les exactions des générations précédentes et qui trouvent que les indemnisations des victimes de l’holocauste sont bien assez suffisantes sans, en plus, qu’on leur rajoute la guerre d’Algérie, la traite des noirs et la colonisation.



                      Mais il fallait qu’en plus cette histoire arrive à banaliser la traite transatlantique en la présentant comme un épiphénomène à côté du grand génocide arabo-musulman, et qu’elle puisse également supprimer toute responsabilité de l’Europe en montrant que la traite négrière transatlantique est le fait des noirs eux-mêmes. En clair, cela veut dire que si les noirs d’Amérique et des Caraïbes sont là où ils sont aujourd’hui, c’est parce que leurs ancêtres ont été vendus par leurs frères (mais pas ceux qui sont dans les terres arabo-musulmane dont les aïeux ont miraculeusement échappé à la castration ?).



                      Les négriers vivant du commerce triangulaire, sans être vraiment des humanitaires, ne sont en fin de compte que de paisibles commerçants ayant trouvé là une opportunité. Et ça marche. Aujourd’hui presque personne n’ose parler de la traite négrière autrement que de manière superficielle sous peine de voir fuser l’argument choc : les esclavagistes, ce sont les noirs eux-mêmes.


                      Avec des demi-vérités, on arrive à prouver tout et son contraire. Il y avait des africains esclavagistes et certains le sont encore aujourd’hui, c’est un fait. Cela ne gomme en rien ce qui se passait pendant les traversées et, plus tard, dans les champs de coton ou de canne à sucre.



                      Il y avait également des esclavagistes arabes et on en trouve encore aujourd’hui aux confins du Sahara. Cela ne suffit pas pour construire une histoire dont les buts sont, pour le moins, douteux. Pire, cette histoire dessert la cause de ceux qui luttent pour éradiquer l’esclavage dans les endroits où il sévit encore en Afrique.

                      Ceux qui le pratiquent encore sont prompts à nier toute similitude entre ce qu’ils font et les travaux forcés des esclaves d’Amérique ou la castration supposée de ceux des pays arabo-musulmans. Et effectivement, les formes d’esclavage sont complètement différentes, principalement parce que leur finalité n’est pas la même. Il n’en reste pas moins qu’il s’agit d’êtres humains appartenant à d’autres êtres humains. Si, chez les noirs l’esclavage tend à perdre son sens parce que la notion de possession tend à disparaître, il détermine néanmoins, dans certains endroits, les relations sociales.


                      Plus au nord, en revanche, dans la partie saharienne de l’Afrique, l’esclavage, bien que clandestin, sévit encore et toujours dans sa forme la plus ancestrale. Les rapts d’enfants du sud du Sahara par les arabo-berbères du nord ont perduré jusqu’au milieu du siècle dernier, et les esclaves d’aujourd’hui sont les descendants de générations d’enfants kidnappés sur les bords des fleuves Sénégal et du Niger.



                      Les maîtres traitent leurs esclaves selon la logique de tout esclavagiste, c’est-à-dire comme ils traiteraient leurs chameaux ou leurs moutons. Nous sommes loin des fanatiques génocidaires que nous décrit notre économiste. Malgré les lois, faiblement répressives il est vrai, l’esclavage continue à exister dans les zones de nomadisme, rarement accessibles par les forces de police ou de gendarmerie.



                      Parmi les esclaves, certains cherchent et arrivent à s’échapper, mais il en existe d’autres qui préfèrent la sécurité alimentaire à la liberté, ce qui rend d’autant plus difficile le travail des associations des anciens esclaves et des autorités qui se contentent, sous la pression, de mettre en place des lois sans chercher à se doter de moyens pour les appliquer.


                      La lutte contre cet esclavage archaïque et contre l’esclavage moderne, voilà qui mériterait d’attirer l’attention d’un anthropologue. Une telle lutte n’ouvre peut-être pas les portes pour les grands postes universitaires, ni celles des grandes maisons d’édition, mais, avec ou sans résultats, elle est honnête, et certainement plus gratifiante du point de vue anthropologique.



                      C’est une lutte qui s’inscrit au sein d’une lutte beaucoup plus large, la recherche de la vérité. Vouloir dévoiler des choses cachées avec des intentions cachées n’est pas la recherche de la vérité. Il n’est pas besoin d’inventer des scénarios imaginaires pour dire que l’esclavage a causé des ravages sans nom en Afrique, qu’il a été pratiqué par les noirs et, à grande échelle, par les arabes et les européens, tout comme il fut pratiqué à grande échelle en Europe et en Asie.

                      Tenter d’en attribuer les causes à certains groupes humains en mettant en avant leur race, leur religion ou quelque autre particularité, c’est nier ce qui est pourtant évident, que c’est l’Homme lui-même qui est esclavagiste.

                      Pour pratiquer l’esclavage (quelle qu’en soit la forme), cela ne dépend que de ses capacités à le faire. Le puissant a toujours cherché à asservir le plus faible et ça ne s’est jamais démenti, ni hier, ni aujourd’hui. Seule une prise de conscience de cet état de fait, loin des narratifs plus ou moins arrangés, pourrait permettre de gérer ce fléau humain qu’est la volonté de domination du faible, assortie de l’acceptation d’être dominé par le plus fort.


                      Par Avic



                      Réseau International

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                      • #26
                        Principal? non surement pas...l'esclavage existait bien avant l'islam, considérer cette religion comme principale pourvoyeur est une bêtise à mon avis.

                        Si l'évangélisme l’accuse, pourquoi donc? esprit de compétition je dirais, je me trompe?
                        Imaginez vous un monde parfait? essayons juste de rendre celui ci meilleur...

                        Affiner sa pensée, sa réflexion est nettement plus bénéfique que d'avoir raison.

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                        • #27
                          En Tunisie, la situation des noirs descendants d'esclaves.

                          Commentaire


                          • #28
                            Envoyé par Smir
                            Si l'évangélisme l’accuse, pourquoi donc? esprit de compétition je dirais, je me trompe?
                            Bonne question


                            en fait, je pense que la communauté noire qu'elle soit en Europe, Amérique (ou bien en Afrique aussi) est de plus en plus séduite par la religion musulmane, nombreuses célébrités noires qu'elles soient connues ou moins connues embrassent la religion musulmane et en font la promotion...

                            je pense qu'ils (évangélistes, chrétiens ou groupes obscurs) utilisent cette propagande de "l'Islam principal pourvoyeur d'esclaves" afin d'enrayer ce phénomène de reconversion au sein de cette communauté noire bizarrement c'est l'effet inverse qui se produit...

                            pour ce qui est de l'évangélisme ou du christianisme ils sont déjà décridibiliser auprès des noirs avec l'épisode de la malédiction de châm dans la bible, c'est me semble t il, ce récit qui a légitimé la traite des noirs auprès des occidentaux...

                            Commentaire


                            • #29
                              je pense qu'ils (évangélistes, chrétiens ou groupes obscurs) utilisent cette propagande de "l'Islam principal pourvoyeur d'esclaves" afin d'enrayer ce phénomène de reconversion au sein de cette communauté noire bizarrement c'est l'effet inverse qui se produit...
                              Moi je pense tout le contraire, l'islam n'a pas vraiment la cote par les temps qui courent.

                              Commentaire


                              • #30
                                mais babamerzoug ça c'est ton point de vue, apparemment mon précédent poste t'a tellement choqué que tu es allé ouvrir des sujets pour te rassurer t'inquiète pas tu t'en remettras lol

                                de plus, je parlais de la communauté noire en général qui se sent plus proche religieusement parlant de l'Islam que du christianisme mais c'est tout bonnement normal car en Islam ce qui compte ce n'est ni la couleur, ni la caste et encore moins l'ascendance mais le degrés de piété... et c'est ce qui séduit en général toutes les communautés confondues

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