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Pour réduire son déficit budgétaire évalué à 87milliards de dollars, l’Arabie Saoudite est contrainte d’emprunter de l’argent à l’étranger. La première tranche du crédit demandé est estimée à 5 milliards de dollars.
La chute erratique des prix du pétrole et des places boursières du Golf ont eu raison des tentatives de la monarchie Wahhabite pour stabiliser les prix de l’or noir sur le marché mondial.
En panne de solutions, Ryad s’est vu contraint de recourir à l’endettement extérieur et même de tailler dans les coûteuses subventions à la consommation d’électricité, d’eau et de carburants et de procéder à une hausse de 40% du prix de l’essence.
Et selon les économistes saoudiens, si les prix du pétrole ne se redressent pas, le déficit budgétaire du royaume pourrait atteindre 50% du PIB d'ici 2020.
Un scénario catastrophique pour l’économie du pays qui risque de faire faillite d’ici cinq ans, comme a été prédit par le Fonds monétaire international dans son dernier rapport.
De leur côté les analystes russes estime que la situation de l’Arabie saoudite est identique à celle de la Russie, à une différence près : la Russie a pris conscience de la gravité de la situation et a commencé à rechercher des moyens à l'intérieur du pays pour réduire le déficit, en réduisant les dépenses.
(c) L'éconews 04/02/2016
La chute erratique des prix du pétrole et des places boursières du Golf ont eu raison des tentatives de la monarchie Wahhabite pour stabiliser les prix de l’or noir sur le marché mondial.
En panne de solutions, Ryad s’est vu contraint de recourir à l’endettement extérieur et même de tailler dans les coûteuses subventions à la consommation d’électricité, d’eau et de carburants et de procéder à une hausse de 40% du prix de l’essence.
Et selon les économistes saoudiens, si les prix du pétrole ne se redressent pas, le déficit budgétaire du royaume pourrait atteindre 50% du PIB d'ici 2020.
Un scénario catastrophique pour l’économie du pays qui risque de faire faillite d’ici cinq ans, comme a été prédit par le Fonds monétaire international dans son dernier rapport.
De leur côté les analystes russes estime que la situation de l’Arabie saoudite est identique à celle de la Russie, à une différence près : la Russie a pris conscience de la gravité de la situation et a commencé à rechercher des moyens à l'intérieur du pays pour réduire le déficit, en réduisant les dépenses.
(c) L'éconews 04/02/2016