Stephanie Kurlow, une ado australienne, pratique la danse classique depuis toujours. Convertie à l'Islam à l'âge de 8 ans, elle a longtemps pensé que sa religion l'empêcherait de devenir ballerine. Aujourd'hui, elle fait tout pour réaliser son rêve.
Passionnée de danse classique depuis l'âge de ses deux ans, Stephanie Kurlow a bien cru qu'elle devrait abandonner ses rêves lorsqu'en 2010, sa famille s'est convertie à l'Islam. En effet, peu d'écoles de ballet acceptent une étudiante portant le voile.
Mais Stephanie ne s'est pas laissée abattre et aujourd'hui pour projet d'intégrer une école qui l'acceptera avec son voile et sa religion. Seul hic, les frais de scolarité s'élèvent à 10 000 dollars. Une bagatelle. La jeune fille a alors lancé une cagnotte sur un site de crowfunding pour récolter la somme nécessaire à réaliser son rêve.
"Je sais ce que je fais"
Dans une interview accordée au journal australien "Sydney Morning Herald", Stephane explique que le regard des autres l'a beaucoup blessée lors de sa conversion à l'Islam: "Il y a d'abord eu des regards, puis des murmures, des gens qui disaient que je ne pourrais pas y arriver. Et puis même dans le milieu du ballet, on ne me regardait plus que pour les vêtements que je portais ou la pratique de ma religion".
En plus de ces regards, Stephanie a dû essuyer les critiques de certains musulmans très pratiquants, qui voient la danse comme une pratique "interdite". "Je pense que c'est pour cette raison que certains musulmans ont arrêté de poursuivre la carrière de leur rêve. Mais je sais que ce que je fais est juste et je vais continuer à le faire", raconte-t-elle.
Si elle arrive à réunir la somme nécessaire, Stephanie pourra donc intégrer l'école de ses rêves mais aussi prendre en charge l'achat de tout le matériel nécessaire à sa passion et devenir ainsi la première ballerine voilée au monde.
7sur7 .be
Passionnée de danse classique depuis l'âge de ses deux ans, Stephanie Kurlow a bien cru qu'elle devrait abandonner ses rêves lorsqu'en 2010, sa famille s'est convertie à l'Islam. En effet, peu d'écoles de ballet acceptent une étudiante portant le voile.
Mais Stephanie ne s'est pas laissée abattre et aujourd'hui pour projet d'intégrer une école qui l'acceptera avec son voile et sa religion. Seul hic, les frais de scolarité s'élèvent à 10 000 dollars. Une bagatelle. La jeune fille a alors lancé une cagnotte sur un site de crowfunding pour récolter la somme nécessaire à réaliser son rêve.
"Je sais ce que je fais"
Dans une interview accordée au journal australien "Sydney Morning Herald", Stephane explique que le regard des autres l'a beaucoup blessée lors de sa conversion à l'Islam: "Il y a d'abord eu des regards, puis des murmures, des gens qui disaient que je ne pourrais pas y arriver. Et puis même dans le milieu du ballet, on ne me regardait plus que pour les vêtements que je portais ou la pratique de ma religion".
En plus de ces regards, Stephanie a dû essuyer les critiques de certains musulmans très pratiquants, qui voient la danse comme une pratique "interdite". "Je pense que c'est pour cette raison que certains musulmans ont arrêté de poursuivre la carrière de leur rêve. Mais je sais que ce que je fais est juste et je vais continuer à le faire", raconte-t-elle.
Si elle arrive à réunir la somme nécessaire, Stephanie pourra donc intégrer l'école de ses rêves mais aussi prendre en charge l'achat de tout le matériel nécessaire à sa passion et devenir ainsi la première ballerine voilée au monde.
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