par Christine Talos - Un ingénieur américain a utilisé un logiciel d'analyse pour passer au crible les deux textes sacrés. Les résultats sont étonnants.
Depuis la montée du terrorisme islamiste, le Coran est régulièrement accusé d'encourager davantage que les autres textes religieux les actes brutaux via des versets à l'idéologie meurtrière. Du coup, Tom Anderson, un ingénieur en informatique de New York, a voulu vérifier ces croyances en analysant la Bible et le Coran de manière totalement objective. Conclusion: le texte chrétien comporte bien plus d'allusions violentes que son homologue musulman.
Comment est-il arrivé à ces résultats? Il a conçu un logiciel d'analyses, OdinText, qui scanne froidement les documents et est capable de révéler des tendances dans le vocabulaire utilisé en relevant des mots-clés choisis et leurs synonymes. Ont ainsi été passées au crible les huit émotions humaines principales, soit la joie, l'attente, la colère, le dégoût, la tristesse, la surprise, la peur/anxiété et la confiance. En tout, quelque 886'000 mots ont été
analysés en tout.
http://www.20min.ch/images/content/1...70929/12/1.jpg
Et la palme revient à...
Résultat de l'étude: la Bible (les deux Testaments) utilise bien plus la notion de colère que le Coran. Et ce dernier fait plus de place à la joie et la confiance, ainsi qu'à la peur et l'anxiété. La surprise et le dégoût se retrouvent pareillement dans les deux textes sacrés. Quant à l'amour, il est deux fois plus présent dans le Nouveau Testament que dans le texte sacré musulman.
Au niveau de la violence proprement dite, les mots «meurtre» et «destruction» se retrouvent à 2,8% dans le Nouveau Testament et 5,3% dans l'Ancien, contre seulement 2,1% dans le Coran. L'Ancien Testament détient aussi la palme en ce qui concerne la mention d'ennemis, selon le logiciel. Mais pour le pardon, c'est le Coran qui sort vainqueur.
L'ingénieur Tom Anderson admet toutefois qu'il ne s'agit pas d'une recherche scientifique irréprochable et qu'il n'a fait que gratter en surface. Mais il estime que cette analyse permet toutefois de tordre le cou à certains préjugés discriminatoires envers les musulmans.
(nxp)
Depuis la montée du terrorisme islamiste, le Coran est régulièrement accusé d'encourager davantage que les autres textes religieux les actes brutaux via des versets à l'idéologie meurtrière. Du coup, Tom Anderson, un ingénieur en informatique de New York, a voulu vérifier ces croyances en analysant la Bible et le Coran de manière totalement objective. Conclusion: le texte chrétien comporte bien plus d'allusions violentes que son homologue musulman.
Comment est-il arrivé à ces résultats? Il a conçu un logiciel d'analyses, OdinText, qui scanne froidement les documents et est capable de révéler des tendances dans le vocabulaire utilisé en relevant des mots-clés choisis et leurs synonymes. Ont ainsi été passées au crible les huit émotions humaines principales, soit la joie, l'attente, la colère, le dégoût, la tristesse, la surprise, la peur/anxiété et la confiance. En tout, quelque 886'000 mots ont été
analysés en tout.
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Et la palme revient à...
Résultat de l'étude: la Bible (les deux Testaments) utilise bien plus la notion de colère que le Coran. Et ce dernier fait plus de place à la joie et la confiance, ainsi qu'à la peur et l'anxiété. La surprise et le dégoût se retrouvent pareillement dans les deux textes sacrés. Quant à l'amour, il est deux fois plus présent dans le Nouveau Testament que dans le texte sacré musulman.
Au niveau de la violence proprement dite, les mots «meurtre» et «destruction» se retrouvent à 2,8% dans le Nouveau Testament et 5,3% dans l'Ancien, contre seulement 2,1% dans le Coran. L'Ancien Testament détient aussi la palme en ce qui concerne la mention d'ennemis, selon le logiciel. Mais pour le pardon, c'est le Coran qui sort vainqueur.
L'ingénieur Tom Anderson admet toutefois qu'il ne s'agit pas d'une recherche scientifique irréprochable et qu'il n'a fait que gratter en surface. Mais il estime que cette analyse permet toutefois de tordre le cou à certains préjugés discriminatoires envers les musulmans.
(nxp)
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