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Maghreb: l'Algérie seule démocratie?

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  • Maghreb: l'Algérie seule démocratie?

    Selon un adage résulté de la révolution française: le critère d'une démocratie aboutie se mesure à sa population d'incarcérés.

    Prenant acte de ce bréviaire, donc sur ce critère, faudrait-il admettre que l'Algérie est la moins pire dictature du Maghreb?

    Mais faut-il s'en enorgueillir lorsque la comparaison est faite envers les infâmes dictatures que sont le Maroc et la Tunisie? Loin de bomber le torse à mon avis!:22:

    __________________________

    L’Algérie détient le taux de population carcérale le moins élevé au Maghreb avec 0,16% de la population totale. Un taux inférieur à celui de la Tunisie (0,21) et du Maroc (0,22) . Ces chiffres ont été publiés le 2 février 2016 dans une étude de l’université de Londres.


    Le nombre de prisonniers en Algérie s’élève à 60 220 per
    sonnes (chiffres fin 2013), contre 23 686 en Tunisie et 76 000 au Maroc. Ces chiffres incluent les condamnés suite à un procès tout comme les détenus provisoires, selon cette nouvelle édition du World Prison Population List, un rapport établi par ICPR (Institute for Criminal Policy Research), un institut de l’université britannique.


    Source: huffpostmaghreb

  • #2
    L algerie n est pas une démocratie.

    C est un bazar d expression libre sans retenue.

    Il lui manque un projet de société ou tous les citoyens se sentent impliqués.

    Pour l instant c est chacun pour soi et tout le monde est presque servi.
    Dernière modification par bledard_for_ever, 11 février 2016, 19h56.
    « Great minds discuss ideas; average minds, events; small minds, people. » Eleanor ROOSEVELT

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    • #3
      Le nombre de prisonniers en Algérie s’élève à 60 220 per
      *
      Et le nombre de disparus???
      Coucher du soleil à Agadir

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      • #4
        Hors sujet keazy
        « Great minds discuss ideas; average minds, events; small minds, people. » Eleanor ROOSEVELT

        Commentaire


        • #5
          " Et le nombre de disparus???" keazy

          Le nombre de disparus algériens suite à la guerre civile est recensé
          à 34' 000.


          C'est-à-dire proche à celui du Maroc (30' 000) lors de la dictature de Hitler II- en alias Hassan II- (Cf. " Notre ami le roi" de Gilles Perrault, bréviaire absolu sur le royaume chérifien).

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          • #6
            Le nombre de disparus algériens suite à la guerre civile est recensé
            à 34' 000.
            et le nombre de têtes coupées?

            C'est-à-dire proche à celui du Maroc (30' 000)

            tu mens rago comme d'habitude le nombre de disparus au maroc ne depasse pas les 1000. 30000 tu t'es cru ou?

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            • #7
              " tu mens rago comme d'habitude" Mayor

              Je réitère à nouvelle reprise pas être Marocain et donc "inapte" de cette capacité!

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              • #8
                Il est fort possible que tous les hors la loi n'entrent pas en prison, corruption des juges plus systématique, enfin des choses comme ca. Ou bien, il est aussi fort possible que les algériens sont plus honnêtes que les autres peuples.

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                • #9
                  " Il est fort possible que tous les hors la loi n'entrent pas en prison, corruption des juges plus systématique, enfin des choses comme ca. Ou bien, il est aussi fort possible que les algériens sont plus honnêtes que les autres peuples." BTP50

                  Pourtant, votre théorie n'explique pas l'incroyable essor du Maroc quant à sa population carcérale alors que le premier condamné devrait être le maffieux et funambule M6... le Noriega marocain!
                  __________________________


                  Noriega s’apprête à comparaître une nouvelle fois devant un tribunal. Itinéraire d’un agent double à la chute vertigineuse
                  (...).

                  A commencé alors un long numéro de funambule. Manuel Noriega s’est retrouvé au service de deux maîtres rivaux: la CIA, le fer de lance des intérêts nord-américains dans le monde, et un officier nationaliste décidé à tenir la dragée haute à Washington, en rendant notamment à son pays la souveraineté sur le canal.

                  L’agent Manuel Noriega présentait à l’époque un autre inconvénient: il participait activement au commerce de la drogue. Il en faisait déjà assez au début des années 1970 pour avoir été repéré par l’ancêtre de la DEA.

                  La décennie suivante, il a franchi une nouvelle étape en se liant à l’une des principales organisations criminelles de Colombie, le cartel de Medellin, auquel il a offert diverses facilités au Panama. Les preuves de cette activité avaient beau s’accumuler au fil des ans, le personnage est longtemps resté intouchable à Washington en raison de ses rapports privilégiés avec les milieux du renseignement.

                  Source: Le Temps.ch

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