L’organisation de défense des droits humains «EuroMed Droits» s’est indignée, dans un communiqué, du comportement répressif et outrancier dont ont fait preuve les forces de l’ordre algériennes à l’égard des participants à un colloque qui aurait du se tenir, samedi 6 février, à Alger, par le Syndicat national des personnels de l’administration publique (SNAPAP).
L’organisation euro-méditerranéenne a relevé une «violation manifeste de la loi sur la liberté de réunion». La démarche des autorités ne fait, selon elle, qu’affirmer les entreprises de harcèlement menées par les forces de sécurité et les autorités judiciaires à l’encontre des militants des droits humains et les syndicalistes autonomes en Algérie».
EuroMed avait interpellé, début février, les instances européennes à propos de ces pratiques répressives tendant à devenir le seul canal d’échanges entre le gouvernement et la société civile en Algérie. Elle a affirmé à ce sujet que «ces pratiques répressives contribuent à l’affaiblissement de l’État de droit».
L’organisation est intervenue dans un cadre marqué par «un recul des libertés individuelles et fondamentales, suite à la publication de l’avant-projet de révision de la constitution le 5 janvier dernier» qui s’inscrit, selon elle, en défaveur de l’émergence d’une société civile forte.
La situation des droits de l’Homme et des libertés syndicales a fait couler beaucoup d’encre ces dernières années. Les instances et les ONG spécialisées ont noté une dégradation continuelle des droits de l’homme dans notre pays. L’acte de militer est de plus en plus criminalisé et la société civile fait l’objet de harcèlement. Nombre de ses activistes croupissent aujourd’hui dans les prisons pour soi-disant avoir attenté à l’ordre public.
Source: algerie focus
L’organisation euro-méditerranéenne a relevé une «violation manifeste de la loi sur la liberté de réunion». La démarche des autorités ne fait, selon elle, qu’affirmer les entreprises de harcèlement menées par les forces de sécurité et les autorités judiciaires à l’encontre des militants des droits humains et les syndicalistes autonomes en Algérie».
EuroMed avait interpellé, début février, les instances européennes à propos de ces pratiques répressives tendant à devenir le seul canal d’échanges entre le gouvernement et la société civile en Algérie. Elle a affirmé à ce sujet que «ces pratiques répressives contribuent à l’affaiblissement de l’État de droit».
L’organisation est intervenue dans un cadre marqué par «un recul des libertés individuelles et fondamentales, suite à la publication de l’avant-projet de révision de la constitution le 5 janvier dernier» qui s’inscrit, selon elle, en défaveur de l’émergence d’une société civile forte.
La situation des droits de l’Homme et des libertés syndicales a fait couler beaucoup d’encre ces dernières années. Les instances et les ONG spécialisées ont noté une dégradation continuelle des droits de l’homme dans notre pays. L’acte de militer est de plus en plus criminalisé et la société civile fait l’objet de harcèlement. Nombre de ses activistes croupissent aujourd’hui dans les prisons pour soi-disant avoir attenté à l’ordre public.
Source: algerie focus
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