Tweet
Moins connu que Bombardier Aéronautique, Bombardier Transport s’est installé au Maroc en 2011. Après avoir décroché deux gros contrats dans le royaume -la réhabilitation du train entre Casablanca et Rabat et la signalisation sur le tronçon du TGV entre Tanger et Kénitra- Bombardier Transport Maroc s’intéresse désormais au renouvellement du parc de l’ONCF, à en croire son président Taoufiq Boussaid, qui a accordé une interview au magazine «Usine Nouvelle».
«Nous nous intéressons aux projets de l’ONCF de rénovation de l’ensemble de son parc. Nous disposons notamment dans notre offre de train Omnéo modulaire et configurable qui peut aller, selon le modèle, de 160 à 200 km/h. Il s’adapte aussi bien à l’interurbain qu’au périurbain. C’est un train moderne qui vient de sortir et que Bombardier Transport a déjà vendu aux régions françaises. Il aurait toute sa place au Maroc», selon Taoufiq Boussaid.
À la question de savoir comment convaincre l’ONCF et le ministère du Transport, le président de Bombardier Transport Maroc déclare: «il est possible de passer à une politique de production locale marocaine, avec des embauches et des effets sur la valeur ajoutée du secteur. Selon moi, il serait envisageable même dans un troisième temps de passer peu à peu au développement d'une capacité industrielle d'exportation». Et de préciser: «à la condition bien sûr d’être compétitif et performant au Maroc».
Toutefois, dans cette entreprise, Bombardier Transport Maroc a un sérieux concurrent, déjà bien installé au Maroc. Il s’agit du français Alstom, qui gère les grands projets ferroviaires dans le royaume.
les éco
«Nous nous intéressons aux projets de l’ONCF de rénovation de l’ensemble de son parc. Nous disposons notamment dans notre offre de train Omnéo modulaire et configurable qui peut aller, selon le modèle, de 160 à 200 km/h. Il s’adapte aussi bien à l’interurbain qu’au périurbain. C’est un train moderne qui vient de sortir et que Bombardier Transport a déjà vendu aux régions françaises. Il aurait toute sa place au Maroc», selon Taoufiq Boussaid.
À la question de savoir comment convaincre l’ONCF et le ministère du Transport, le président de Bombardier Transport Maroc déclare: «il est possible de passer à une politique de production locale marocaine, avec des embauches et des effets sur la valeur ajoutée du secteur. Selon moi, il serait envisageable même dans un troisième temps de passer peu à peu au développement d'une capacité industrielle d'exportation». Et de préciser: «à la condition bien sûr d’être compétitif et performant au Maroc».
Toutefois, dans cette entreprise, Bombardier Transport Maroc a un sérieux concurrent, déjà bien installé au Maroc. Il s’agit du français Alstom, qui gère les grands projets ferroviaires dans le royaume.
les éco
Commentaire