Une entreprise étrangère a fait paraître dans la presse nationale, aujourd’hui, un encart publicitaire proposant des travailleurs étrangers pour le marché algérien.
«Nous mettons à votre disposition des travailleurs étrangers compétents, formés ou non formés, et des techniciens du Vietnam, d’Inde, Pakistan, Bangladesh, Kenya et Ghana», lit-on dans cette annonce. Il faut croire que l’économie algérienne fait face à un problème de manque de main d’œuvre, sinon comment donner du sens à cette annonce?
Des responsables de l’ANEM (Agence nationale de l’emploi) signalent que de plus en plus d’offres d’emploi, dans certains domaines, ne trouvent pas preneurs auprès des jeunes algériens. Les raisons sont multiples, mais sont souvent liées à des considérations financières. D’où le fait que certaines sociétés algériennes souhaitent recourir à une main d’oeuvre étrangère. Les boites de placement de travailleurs veulent profiter de cette situation pour s’implanter dans le pays.
Si par le passé, les entreprises de placement de main d’œuvre, exerçant essentiellement comme intermédiaire pour les compagnies pétrolières, étaient algériennes, des sociétés étrangères souhaitent désormais investir dans ce créneau.
Elyas Nour
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«Nous mettons à votre disposition des travailleurs étrangers compétents, formés ou non formés, et des techniciens du Vietnam, d’Inde, Pakistan, Bangladesh, Kenya et Ghana», lit-on dans cette annonce. Il faut croire que l’économie algérienne fait face à un problème de manque de main d’œuvre, sinon comment donner du sens à cette annonce?
Des responsables de l’ANEM (Agence nationale de l’emploi) signalent que de plus en plus d’offres d’emploi, dans certains domaines, ne trouvent pas preneurs auprès des jeunes algériens. Les raisons sont multiples, mais sont souvent liées à des considérations financières. D’où le fait que certaines sociétés algériennes souhaitent recourir à une main d’oeuvre étrangère. Les boites de placement de travailleurs veulent profiter de cette situation pour s’implanter dans le pays.
Si par le passé, les entreprises de placement de main d’œuvre, exerçant essentiellement comme intermédiaire pour les compagnies pétrolières, étaient algériennes, des sociétés étrangères souhaitent désormais investir dans ce créneau.
Elyas Nour
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