Écrit par Rachid Bouarroudj
L’ancien haut gradé de l’armée, Hassan Benhadid, entame depuis hier une grève de la faim et s’interdit de prendre ses médicaments, selon ses avocats. En détention au centre pénitentiaire d’El Harrach depuis octobre 2015, le général à la retraite a fait part à ses avocats de son souhait d’envoyer une missive à cinq destinataires que sont le procureur de la République près la cour d’Alger, le directeur de la prison d’El Harrach, le directeur général de l’administration pénitentiaire, le procureur général du Tribunal d’Alger et le juge d’instruction de la troisième cour du Tribunal de Abane Ramdane.
A en croire toujours ses avocats, il voudrait leur expliquer les motivations de son geste. Agé de 71 ans et souffrant de pathologies respiratoires et cardiaques, M. Benhadid a décidé d’arrêter de prendre ses médicaments, une action menée pour protester contre le refus du juge d’instruction de l’auditionner, 130 jours après son arrestation puis son incarcération. Hassan Benhadid devait répondre d’accusations d’entreprise de démoralisation de l’armée à travers des déclarations faites le 21 septembre sur Radio M. du site électronique Maghreb Emergent et de détention d’armes à feu et de munitions de guerre.
REPORTERS.DZ
L’ancien haut gradé de l’armée, Hassan Benhadid, entame depuis hier une grève de la faim et s’interdit de prendre ses médicaments, selon ses avocats. En détention au centre pénitentiaire d’El Harrach depuis octobre 2015, le général à la retraite a fait part à ses avocats de son souhait d’envoyer une missive à cinq destinataires que sont le procureur de la République près la cour d’Alger, le directeur de la prison d’El Harrach, le directeur général de l’administration pénitentiaire, le procureur général du Tribunal d’Alger et le juge d’instruction de la troisième cour du Tribunal de Abane Ramdane.
A en croire toujours ses avocats, il voudrait leur expliquer les motivations de son geste. Agé de 71 ans et souffrant de pathologies respiratoires et cardiaques, M. Benhadid a décidé d’arrêter de prendre ses médicaments, une action menée pour protester contre le refus du juge d’instruction de l’auditionner, 130 jours après son arrestation puis son incarcération. Hassan Benhadid devait répondre d’accusations d’entreprise de démoralisation de l’armée à travers des déclarations faites le 21 septembre sur Radio M. du site électronique Maghreb Emergent et de détention d’armes à feu et de munitions de guerre.
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