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Qualité, disponibilité et accès à l’électricité : l’Algérie très mauvais élève
L’Algérie s’est classée 32e en 2016 dans le Choiseul Energy Index, le baromètre mondial de la compétitivité énergétique des États. Ce classement hiérarchise 146
pays selon trois grands critères :
- qualité du bouquet énergétique
- qualité, la disponibilité et l’accès à l’électricité
- l’empreinte environnementale.
Le classement est établi par l’Institut Choiseul, centre de recherche indépendant, en collaboration avec le bureau d’audit KPMG.
Avec sa 32e position, l’Algérie est le premier pays africain du classement. Sa position la situe dans la catégorie des « pays performants », et est en hausse par rapport à l’année 2015 lorsqu’elle était classée 40e.
L’Algérie partage sa 32e place avec l’Arabie Saoudite, l’Argentine, Bahreïn et la Chine.
Dans le classement par critères, l’Algérie se place même à la 9éme position du classement des pays par qualité du bouquet énergétique (i.e. la répartition des différentes sources d’énergies primaires consommées pour la production des différents types d’énergies). Par contre, l’Algérie se classe 82e en termes de qualité, disponibilité et accès à l’électricité. Enfin, l’Algérie occupe la 49e place du classement des pays par empreinte environnementale.
Dans le classement global, la 32ème position de l’Algérie la place loin devant :
- La Libye (60e° catégorie des pays intermédiaires)
- La Tunisie (70e),
-Très, très loin devant le Maroc (122e, catégorie des pays déficients).
L’Algérie se place aussi devant plusieurs pays européens tels que les Pays-Bas (37e), la Belgique (38e) ou encore l’Italie (61e).
Le podium du classement est occupé par les pays scandinaves, avec la Norvège, la Suède et l’Islande trustant respectivement les trois premières places. Le Burkina Faso, le Bénin et enfin Haïti occupent quant à eux les dernières places du classement.
L’index est établi à partir des données officielles issues des principales bases
statistiques internationales tels que la Banque mondiale, l’Agence
internationale de l’énergie ou encore l’OCDE.
© TSA 17/02/2016
pays selon trois grands critères :
- qualité du bouquet énergétique
- qualité, la disponibilité et l’accès à l’électricité
- l’empreinte environnementale.
Le classement est établi par l’Institut Choiseul, centre de recherche indépendant, en collaboration avec le bureau d’audit KPMG.
Avec sa 32e position, l’Algérie est le premier pays africain du classement. Sa position la situe dans la catégorie des « pays performants », et est en hausse par rapport à l’année 2015 lorsqu’elle était classée 40e.
L’Algérie partage sa 32e place avec l’Arabie Saoudite, l’Argentine, Bahreïn et la Chine.
Dans le classement par critères, l’Algérie se place même à la 9éme position du classement des pays par qualité du bouquet énergétique (i.e. la répartition des différentes sources d’énergies primaires consommées pour la production des différents types d’énergies). Par contre, l’Algérie se classe 82e en termes de qualité, disponibilité et accès à l’électricité. Enfin, l’Algérie occupe la 49e place du classement des pays par empreinte environnementale.
Dans le classement global, la 32ème position de l’Algérie la place loin devant :
- La Libye (60e° catégorie des pays intermédiaires)
- La Tunisie (70e),
-Très, très loin devant le Maroc (122e, catégorie des pays déficients).
L’Algérie se place aussi devant plusieurs pays européens tels que les Pays-Bas (37e), la Belgique (38e) ou encore l’Italie (61e).
Le podium du classement est occupé par les pays scandinaves, avec la Norvège, la Suède et l’Islande trustant respectivement les trois premières places. Le Burkina Faso, le Bénin et enfin Haïti occupent quant à eux les dernières places du classement.
L’index est établi à partir des données officielles issues des principales bases
statistiques internationales tels que la Banque mondiale, l’Agence
internationale de l’énergie ou encore l’OCDE.
© TSA 17/02/2016
vivement qu'ils recrutent des vrais journalistes à TSA .
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