Les avocats du général à la retraite Hocine Benhadid ont tenu, ce vendredi 19 février, une conférence de presse pour dénoncer la situation dans laquelle se trouve leur client qui n’a pas été interrogé par le juge d’instruction depuis le 1er octobre dernier. « Il a beaucoup de maladies. Sa santé est très fragile. (…) Le général (en grève de la faim) risque de mourir parce qu’il a osé citer quelques noms », a lancé Me Khaled Bourayou avant de menacer : « Si tous les moyens sont épuisés au niveau national, on pourrait s’adresser à l’opinion internationale ».
Le général à la retraite a eu recourt à la grève de la faim pour deux raisons, selon Me Mostefa Bouchachi. « Tous les gens réprimés recourent à la grève (de la faim) pour dénoncer cette répression. Le général Benhadid considère qu’il n’a pas commis un crime qui nécessite une poursuite et il demande d’être transféré à l’hôpital. C’est quelqu’un qui avait des contrôles périodiques », explique l’avocat. Ce dernier estime qu’il s’agit d’une injustice pas seulement pour Hocine Benhadid, mais pour toute l’Algérie. « C’est triste et désolant pour l’Algérie »,ajoute-t-il.
Pour les avocats, il s’agit d’une affaire politique. « C’est une chose insupportable au moment où intervient le projet de révision de la Constitution. L’acte de procédure est devenu un privilège pour lui (le général Benhadid », dénonce Khaled Bourayou
Le général à la retraite a eu recourt à la grève de la faim pour deux raisons, selon Me Mostefa Bouchachi. « Tous les gens réprimés recourent à la grève (de la faim) pour dénoncer cette répression. Le général Benhadid considère qu’il n’a pas commis un crime qui nécessite une poursuite et il demande d’être transféré à l’hôpital. C’est quelqu’un qui avait des contrôles périodiques », explique l’avocat. Ce dernier estime qu’il s’agit d’une injustice pas seulement pour Hocine Benhadid, mais pour toute l’Algérie. « C’est triste et désolant pour l’Algérie »,ajoute-t-il.
Pour les avocats, il s’agit d’une affaire politique. « C’est une chose insupportable au moment où intervient le projet de révision de la Constitution. L’acte de procédure est devenu un privilège pour lui (le général Benhadid », dénonce Khaled Bourayou
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