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Un vieil homme espagnol âgé de 107 ans, décédé il y a deux semaines, attribuait sa longévité à son amour pour le vin. En effet, il en buvait jusqu’à quatre bouteilles par jour ! A contrario, il ne consommait jamais (ou pratiquement jamais)… d’eau minérale.
Antonio Garcia DoCampo qui a passé l’arme (ou la bouteille) à gauche, dans la ville de Vigo, au nord-ouest de l’Espagne, ne s’abreuvait que de son vin fait maison. Un nectar de « rouge sang » bio, sans produit chimique.
« Il pouvait boire un litre et demi d’une traite » déclarait son fils à La Voz de Galicia. « Quand nous étions tous les deux à la maison, nous pouvions ingurgiter jusqu’à 200 litres de vin par mois. »
Mr. DoCampo avait monté son affaire en achetant du vignoble dans la ville de Ribavadia, après avoir combattu contre les Franquistes durant la guerre civile espagnole.
Son neveu, Jeronimo DoCampo, qui gère maintenant le business : « Il vendait la grande majorité du vin qu’il produisait, mais faisait toujours attention de conserver une quantité minimum de bouteilles pour sa propre consommation », une quantité « de survie » pourrait-on dire.
« Il produisait environ 60 000 litres par an et se gardait près de 3 000 litres rien que pour lui. Il a toujours dit que c’était son secret pour vivre aussi longtemps. » En quelque sorte sa potion magique, son fortifiant !
Bien que le cas de ce monsieur est exceptionnel, n'oubliez pas que l'abus d'alcool est dangereux pour la santé. À consommer avec modération.
Demotivateur
Un vieil homme espagnol âgé de 107 ans, décédé il y a deux semaines, attribuait sa longévité à son amour pour le vin. En effet, il en buvait jusqu’à quatre bouteilles par jour ! A contrario, il ne consommait jamais (ou pratiquement jamais)… d’eau minérale.
Antonio Garcia DoCampo qui a passé l’arme (ou la bouteille) à gauche, dans la ville de Vigo, au nord-ouest de l’Espagne, ne s’abreuvait que de son vin fait maison. Un nectar de « rouge sang » bio, sans produit chimique.
« Il pouvait boire un litre et demi d’une traite » déclarait son fils à La Voz de Galicia. « Quand nous étions tous les deux à la maison, nous pouvions ingurgiter jusqu’à 200 litres de vin par mois. »
Mr. DoCampo avait monté son affaire en achetant du vignoble dans la ville de Ribavadia, après avoir combattu contre les Franquistes durant la guerre civile espagnole.
Son neveu, Jeronimo DoCampo, qui gère maintenant le business : « Il vendait la grande majorité du vin qu’il produisait, mais faisait toujours attention de conserver une quantité minimum de bouteilles pour sa propre consommation », une quantité « de survie » pourrait-on dire.
« Il produisait environ 60 000 litres par an et se gardait près de 3 000 litres rien que pour lui. Il a toujours dit que c’était son secret pour vivre aussi longtemps. » En quelque sorte sa potion magique, son fortifiant !
Bien que le cas de ce monsieur est exceptionnel, n'oubliez pas que l'abus d'alcool est dangereux pour la santé. À consommer avec modération.
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