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La conférence sur l’énergie nucléaire qui se tiendra en Algérie les 9 et 10 janvier prochains sous le thème "des utilisations pacifiques de l’énergie nucléaire en Afrique", sera supervisée par Mohamed Elbaradei de l’AIEA.
mercredi 27 décembre 2006.
Le Secrétaire Générale de l'Agence Internationale de l'Energie Atomique, AIEA, Mohamed Elbaradei, sera présent en Algérie. (JPEG) Cette conférence régionale qui sera présidée par le Président de la République, Abdelaziz Bouteflika, se tient pour la première fois dans la zone sud, sachant que ces pays n’étaient pas, jusqu’à un avenir très proche, concernées par le développement de toutes les formes d’utilisations de l’énergie nucléaire. L’Algérie travaille pour montrer à la communauté internationale que son développement de l’énergie nucléaire est purement pacifique, visant par exemple au développement de la production d’électricité et les utilisations en rapport avec le dessalement d’eaux de mer, en plus d’autres domaines économiques.
Des sources diplomatiques concordantes ont révélé à El Khabar que l’Algérie attendait de cette conférence qu’elle « joue un rôle de médiation pour résoudre certains conflits dus à l’énergie nucléaire, comme le dossier nucléaire Iranien, l’Algérie est un médiateur important sur lequel l’AIEA compte énormément ». Plus de 30 pays vont prendre part à cette conférence, la majorité vient d’Afrique. L’Algérie est le deuxième pays producteurs d’énergie nucléaire sur le plan Africain après l’Afrique du Sud.
Cependant le projet de production de l’énergie nucléaire à des fins pacifiques reste vague, en dépit de la création du Commissariat à l’Energie Nucléaire, COMINA, qui est chargé du dossier nucléaire Algérien, selon nos sources. L’Algérie a fait part de son intention d’abandonner la réalisation de recherches autour de l’arme nucléaire, à l’instar d’autres pays comme la Libye, l’Afrique du Sud, le Kazakhstan, l’Ukraine et le Brésil.
mercredi 27 décembre 2006.
Le Secrétaire Générale de l'Agence Internationale de l'Energie Atomique, AIEA, Mohamed Elbaradei, sera présent en Algérie. (JPEG) Cette conférence régionale qui sera présidée par le Président de la République, Abdelaziz Bouteflika, se tient pour la première fois dans la zone sud, sachant que ces pays n’étaient pas, jusqu’à un avenir très proche, concernées par le développement de toutes les formes d’utilisations de l’énergie nucléaire. L’Algérie travaille pour montrer à la communauté internationale que son développement de l’énergie nucléaire est purement pacifique, visant par exemple au développement de la production d’électricité et les utilisations en rapport avec le dessalement d’eaux de mer, en plus d’autres domaines économiques.
Des sources diplomatiques concordantes ont révélé à El Khabar que l’Algérie attendait de cette conférence qu’elle « joue un rôle de médiation pour résoudre certains conflits dus à l’énergie nucléaire, comme le dossier nucléaire Iranien, l’Algérie est un médiateur important sur lequel l’AIEA compte énormément ». Plus de 30 pays vont prendre part à cette conférence, la majorité vient d’Afrique. L’Algérie est le deuxième pays producteurs d’énergie nucléaire sur le plan Africain après l’Afrique du Sud.
Cependant le projet de production de l’énergie nucléaire à des fins pacifiques reste vague, en dépit de la création du Commissariat à l’Energie Nucléaire, COMINA, qui est chargé du dossier nucléaire Algérien, selon nos sources. L’Algérie a fait part de son intention d’abandonner la réalisation de recherches autour de l’arme nucléaire, à l’instar d’autres pays comme la Libye, l’Afrique du Sud, le Kazakhstan, l’Ukraine et le Brésil.
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