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Deux jours après un puissant séisme de magnitude 7,1 qui a rompu des câbles au large de la pointe sud de Taïwan privant de connexions des millions d’internautes, les communications téléphoniques et par l'internet restent toujours aléatoires.
Ces perturbations ont eu un fort impact à Taïwan, en Corée du Sud, au Japon, en Chine et par ricochet en Australie et aux Etats-Unis et malgré les efforts déployés pour rétablir les flux, un retour à la normale pourrait prendre plusieurs semaines, selon les opérateurs.
Dépendance à l’égard des Etats-Unis
Les spécialistes s’inquiètent. Ross Veitch, ancien responsable de la mise en place du moteur de recherche Yahoo pour l’Asie du Sud-Est déclare : «Concrètement, un si gros trafic passe par un faible nombre de câbles optiques sous-marins. C’est beaucoup plus fragile que les gens ne l’imaginent». Et d’ajouter «C'est d'assez mauvais augure si, plus de vingt-quatre heures après l'incident, ils ne sont toujours pas en mesure de détourner le trafic».
Pour pallier cette dépendance, des transmissions satellitaires seraient une alternative possible même si une telle option pose l’épineuse question du financement de l’équipement.
source : Le Figaro
Ces perturbations ont eu un fort impact à Taïwan, en Corée du Sud, au Japon, en Chine et par ricochet en Australie et aux Etats-Unis et malgré les efforts déployés pour rétablir les flux, un retour à la normale pourrait prendre plusieurs semaines, selon les opérateurs.
Dépendance à l’égard des Etats-Unis
Les spécialistes s’inquiètent. Ross Veitch, ancien responsable de la mise en place du moteur de recherche Yahoo pour l’Asie du Sud-Est déclare : «Concrètement, un si gros trafic passe par un faible nombre de câbles optiques sous-marins. C’est beaucoup plus fragile que les gens ne l’imaginent». Et d’ajouter «C'est d'assez mauvais augure si, plus de vingt-quatre heures après l'incident, ils ne sont toujours pas en mesure de détourner le trafic».
Pour pallier cette dépendance, des transmissions satellitaires seraient une alternative possible même si une telle option pose l’épineuse question du financement de l’équipement.
source : Le Figaro