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FFS : «Le pouvoir en place est un danger pour l’Algérie»

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  • FFS : «Le pouvoir en place est un danger pour l’Algérie»

    «Nous ne sommes pas demandeurs d’emploi. Nous sommes porteurs d’un projet démocratique visant la construction d’un Etat de droit.» Cette mise au point émane du premier secrétaire du FFS, Mohamed Nebbou.


    Devant les cadres du parti, des députés et des militants de la wilaya d’Alger, et à l’occasion de la cérémonie de réouverture du siège de la fédération d’Alger, Nebbou est revenu sur l’initiative du FFS et sur la situation politique qui prévaut dans le pays. Il a expliqué que le changement demeure possible en Algérie. Le plus vieux parti de l’opposition est favorable à une alternative démocratique et ne s’inscrit nullement dans une alternative clanique. Nebbou invite, dans ce sens, tous les acteurs politiques, les personnalités nationales et la société civile, qui s’inscrivent dans un projet patriotique et démocratique, d’adhérer au projet du FFS. Le parti fondé par feu Hocine Aït Ahmed maintient le cap à propos de son action portant sur la reconstruction d’un consensus national.

    «Notre projet pour la reconstruction d’un consensus national est de mise, nous sommes en train de peaufiner notre feuille de route et la priorité sera donnée à la société civile. Nous allons redynamiser nos activités politiques en animant des conférences-débats et en privilégiant le travail de proximité. Un plan d’action sera élaboré et rendu public dans les prochains jours», a affirmé hier Nebbou qui dresse un tableau noir de la situation qui prévaut dans le pays, et ce, dans tous les domaines et surtout les plans économique, social et politique.

    Il y a, selon Nebbou, péril en la demeure. «Si le pouvoir persiste dans sa logique, nous allons droit dans le mur. La situation politique de l’Algérie n’augure rien de bon», tranche le premier responsable du parti. Pour le FFS, le danger qui guette l’Algérie ne vient pas de l’extérieur, mais beaucoup plus de l’intérieur. Ce danger c’est le pouvoir. Un pouvoir qui tourne le dos, précise Nebbou, aux propositions de sortie de crise formulées par le FFS qui est politiquement la première force dans le pays.


    Nabila Amir-el watan-
    Il ne faut pas de tout pour faire un monde. Il faut du bonheur et rien d'autre.
    (Paul Eluard)

  • #2
    quelles sont les propositions de sortie de crise émises par le FFS.
    Il ne faut pas de tout pour faire un monde. Il faut du bonheur et rien d'autre.
    (Paul Eluard)

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    • #3
      quelles sont les propositions de sortie de crise émises par le FFS.
      laisser le peuple choisir ses dirigeants , ......et cela depuis 62.
      Dernière modification par zemfir, 28 février 2016, 16h25.
      "sauvons la liberté , la liberté sauve le reste"

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      • #4
        laissé le peuple choisir ses dirigeants , ......et cela depuis 62.
        zemfir

        Le peuple ne vote même pas ... la jeunesse ne croit pas a leur charabia
        ils ont prouve plusieurs fois que se sont des menteurs .
        22 880 678 Inscrits 11 600 984 Votants ( 2014 ).... je suis sur que les no inscrits sont plus nombreux que les votants .
        donc il y a un échec dans la politique ... sois le peuple n est pas soucieux de son pays ... sois il boycott pour montrer sont ras le bol de leur connerie !
        hélas les dictatures ne pensent qu a leur bien être ... sans se soucier des dégâts qu ils causent ....
        tant il y a quelque mouton pour légitime leur présence .... ils continueront

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        • #5
          Le peuple ne vote même pas ...
          car, il sait que son choix est truqués. .......... avec des ""urnes magiques"".
          quand il pourras choisir librement ses dirigeant la confiance reprendras le dessus .
          "sauvons la liberté , la liberté sauve le reste"

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