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Kiosque360. Après une traversée du désert, le port de Tanger retrouve son dynamisme et séduit les paquebots de croisières. 121.000 croisiéristes ont ainsi fait escale, en 2015, dans la ville du Détroit qui ambitionne de multiplier ce volume par six à l'horizon 2020.
Devenu le plus grand port de la région en matière de croisières, Tanger commence à gagner des parts de marché, nous annonce L’Economiste dans son édition du 2 mars. Le quotidien rappelle que Tanger-Ville dispose d’équipements de taille, avec un quai de 360 mètres de long dédié à l’activité et capable d’accueillir les plus grands bateaux de croisières.
Conséquence: en 2015, Tanger a accueilli 121.000 croisiéristes, enregistrant une progression de 21% par rapport à l’année précédente. Et le meilleur reste à venir. En 2016, le port offrira deux quais supplémentaires pour son activité de croisière, ce qui lui permettra de renforcer sa position dans cette niche. La société d’aménagement du périmètre portuaire de Tanger-Ville (SAPT) a d’ailleurs l’ambition d’attirer 750.000 croisiéristes par an (six fois le volume actuel) à l'horizon 2020.
Les conditions pour atteindre un tel objectif semblent réunies. Tanger est en effet située dans l’une des zones les plus actives en matière de croisières: la Méditerranée occidentale est un marché qui progresse à une moyenne de 16% par an. Et, depuis quelques mois, les plus grands paquebots de croisières ont commencé à faire un détour par la ville du Détroit. Pour exemple, le «Norwegian Epic», un géant des mers de 310 mètres de long qui accueille à son bord plus de 4000 croisiéristes, a commencé, dès décembre dernier, ses escales sur Tanger-Ville. De plus, une demi-douzaine d’opérateurs, dont Costa, ont choisi Tanger comme port d’escale.
Aussi, la SAPT redouble d’efforts. Elle a commandité une étude pour comprendre au mieux les attentes de ce type de touristes qui, pour le moment, ne passent pas plus de 8 heures à Tanger. Et un des points négatifs qui ressort de cette étude auprès des compagnies maritimes est le harcèlement des croisiéristes par les vendeurs ambulants. Des actions sont ainsi menées pour lutter contre ce phénomène.
LE360
Devenu le plus grand port de la région en matière de croisières, Tanger commence à gagner des parts de marché, nous annonce L’Economiste dans son édition du 2 mars. Le quotidien rappelle que Tanger-Ville dispose d’équipements de taille, avec un quai de 360 mètres de long dédié à l’activité et capable d’accueillir les plus grands bateaux de croisières.
Conséquence: en 2015, Tanger a accueilli 121.000 croisiéristes, enregistrant une progression de 21% par rapport à l’année précédente. Et le meilleur reste à venir. En 2016, le port offrira deux quais supplémentaires pour son activité de croisière, ce qui lui permettra de renforcer sa position dans cette niche. La société d’aménagement du périmètre portuaire de Tanger-Ville (SAPT) a d’ailleurs l’ambition d’attirer 750.000 croisiéristes par an (six fois le volume actuel) à l'horizon 2020.
Les conditions pour atteindre un tel objectif semblent réunies. Tanger est en effet située dans l’une des zones les plus actives en matière de croisières: la Méditerranée occidentale est un marché qui progresse à une moyenne de 16% par an. Et, depuis quelques mois, les plus grands paquebots de croisières ont commencé à faire un détour par la ville du Détroit. Pour exemple, le «Norwegian Epic», un géant des mers de 310 mètres de long qui accueille à son bord plus de 4000 croisiéristes, a commencé, dès décembre dernier, ses escales sur Tanger-Ville. De plus, une demi-douzaine d’opérateurs, dont Costa, ont choisi Tanger comme port d’escale.
Aussi, la SAPT redouble d’efforts. Elle a commandité une étude pour comprendre au mieux les attentes de ce type de touristes qui, pour le moment, ne passent pas plus de 8 heures à Tanger. Et un des points négatifs qui ressort de cette étude auprès des compagnies maritimes est le harcèlement des croisiéristes par les vendeurs ambulants. Des actions sont ainsi menées pour lutter contre ce phénomène.
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