La société nucléaire nationale russe Rosatom est candidate à la construction de la première centrale nucléaire algérienne et la seconde en Afrique.
Ce choix entre dans le cadre de l’accord intergouvernemental de coopération dans le nucléaire civil signé en septembre 2014 à Alger entre l’ex-ministre de l’Energie Youcef Yousfi, et le directeur général de Rosatom, Sergueï Kirienko. L’accord en question prévoit, la construction de centrales nucléaires et de réacteurs de recherche en Algérie.
Suite à cette convention, Rosatom, a signalé dans un communiqué que « toutes les technologies, matériaux et équipements transférés en Algérie en vertu de l'accord seront utilisés exclusivement à des fins pacifiques». L'accord prévoit également la possibilité de l'utilisation des technologies nucléaires dans l'agriculture, la biologie, la science des sols, le dessalement d’eau de mer et de la médecine, y compris la production de radio-isotopes.
Rosatom, se chargera aussi de mener conjointement avec le ministère de l’Energie l'exploration et l'exploitation des gisements d'uranium. Pour rappel, en 2009, l’Agence nationale des activités minières avait lancé un avis d’appel d’offre pour l’exploration de l’uranium à Tamanrasset.
L’idée de la construction d’une centrale nucléaire a été lancée en février 2009, en prévoyant d’arriver à cet objectif vers 2020. En cas de concrétisation du projet, l’Algérie a prévu de construire une unité supplémentaire tous les cinq ans.
Ce projet entre dans le cadre de la préparation de la période post-pétrole, où la demande sur l’énergie ne cesse de croître. Pour précision, l’Algérie dispose de deux réacteurs de recherche depuis 1995, à Draria et Ain Ouessara et a créé un Institut de génie nucléaire pour former le personnel.
(c) L'éconews 03/03/2016
Ce choix entre dans le cadre de l’accord intergouvernemental de coopération dans le nucléaire civil signé en septembre 2014 à Alger entre l’ex-ministre de l’Energie Youcef Yousfi, et le directeur général de Rosatom, Sergueï Kirienko. L’accord en question prévoit, la construction de centrales nucléaires et de réacteurs de recherche en Algérie.
Suite à cette convention, Rosatom, a signalé dans un communiqué que « toutes les technologies, matériaux et équipements transférés en Algérie en vertu de l'accord seront utilisés exclusivement à des fins pacifiques». L'accord prévoit également la possibilité de l'utilisation des technologies nucléaires dans l'agriculture, la biologie, la science des sols, le dessalement d’eau de mer et de la médecine, y compris la production de radio-isotopes.
Rosatom, se chargera aussi de mener conjointement avec le ministère de l’Energie l'exploration et l'exploitation des gisements d'uranium. Pour rappel, en 2009, l’Agence nationale des activités minières avait lancé un avis d’appel d’offre pour l’exploration de l’uranium à Tamanrasset.
L’idée de la construction d’une centrale nucléaire a été lancée en février 2009, en prévoyant d’arriver à cet objectif vers 2020. En cas de concrétisation du projet, l’Algérie a prévu de construire une unité supplémentaire tous les cinq ans.
Ce projet entre dans le cadre de la préparation de la période post-pétrole, où la demande sur l’énergie ne cesse de croître. Pour précision, l’Algérie dispose de deux réacteurs de recherche depuis 1995, à Draria et Ain Ouessara et a créé un Institut de génie nucléaire pour former le personnel.
(c) L'éconews 03/03/2016
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