Mars 05, 2016 in International Canaltogo
"Faire avancer la situation au Sahara occidental est important", a fait valoir vendredi M. Ban à Nouakchott.
"Les réfugiés sahraouis méritent que le monde s'intéresse de nouveau à eux".
"Je me trouve actuellement dans la région pour m'entretenir de la situation au Sahara occidental". C'est la première fois qu'un secrétaire général de l'Onu foule un territoire contrôlé par le Front Polisario. "Nous sommes un peuple pacifique, nous avons accompagné les Nations unies en acceptant notamment le cessez-le feu et nous nous sommes conformés avec la légalité internationale".
C'est à Bir Lahlou, au Sahara occidental, derrière le mur de défense érigé par le Maroc, qu'il rencontrera les membres de la Mission des Nations-unies pour le référendum au Sahara Occidental (Minurso) déployée en 1991.
Le Maroc a présenté un plan d'autonomie, alors que la position du Front Polisario est que le statut final du territoire doit être décidé lors d'un référendum sur l'autodétermination qui comprend l'indépendance comme option. Ban Ki-moon est arrivé ce samedi 5 mars 2016 dans un camp de réfugiés sahraouis en Algérie avec l'espoir de faire avancer la situation au Sahara Occidental que se disputent le Maroc et les indépendantistes du Front Polisario, soutenus par l'Algérie. "Nous aurons une occasion supplémentaire de mobiliser la communauté internationale au Sommet humanitaire mondial en mai à Istanbul", a-t-il ajouté.
La nouvelle loi, citée par Ban Ki-moon, abroge et remplace celle de 2007. Les Sahraouis misent sur cette visite qui, à leurs yeux, constitue un message fort à l'adresse de l'occupant marocain qui entrave le processus de résolution du conflit, martelant que l'ONU doit agir pour obliger le Maroc à assumer ses responsabilités.
Le secrétaire général de l'ONU a été salué à son départ par M. Moktar Ould Diay, ministre de l'économie et des finances, ministre des affaires étrangères et de la coopération par intérim entouré de plusieurs responsables du département ainsi que par M. Mario Samaja, représentant résident du PNUD, coordinateur du Système des Nations Unies en Mauritanie. "Mon premier objectif en visitant la région est de procéder à ma propre évaluation et d'apporter ma propre contribution à la recherche d'un règlement" au conflit, a-t-il lors d'un point de presse. Il visitera également l'unité onusienne de déminage.
"Faire avancer la situation au Sahara occidental est important", a fait valoir vendredi M. Ban à Nouakchott.
"Les réfugiés sahraouis méritent que le monde s'intéresse de nouveau à eux".
"Je me trouve actuellement dans la région pour m'entretenir de la situation au Sahara occidental". C'est la première fois qu'un secrétaire général de l'Onu foule un territoire contrôlé par le Front Polisario. "Nous sommes un peuple pacifique, nous avons accompagné les Nations unies en acceptant notamment le cessez-le feu et nous nous sommes conformés avec la légalité internationale".
C'est à Bir Lahlou, au Sahara occidental, derrière le mur de défense érigé par le Maroc, qu'il rencontrera les membres de la Mission des Nations-unies pour le référendum au Sahara Occidental (Minurso) déployée en 1991.
Le Maroc a présenté un plan d'autonomie, alors que la position du Front Polisario est que le statut final du territoire doit être décidé lors d'un référendum sur l'autodétermination qui comprend l'indépendance comme option. Ban Ki-moon est arrivé ce samedi 5 mars 2016 dans un camp de réfugiés sahraouis en Algérie avec l'espoir de faire avancer la situation au Sahara Occidental que se disputent le Maroc et les indépendantistes du Front Polisario, soutenus par l'Algérie. "Nous aurons une occasion supplémentaire de mobiliser la communauté internationale au Sommet humanitaire mondial en mai à Istanbul", a-t-il ajouté.
La nouvelle loi, citée par Ban Ki-moon, abroge et remplace celle de 2007. Les Sahraouis misent sur cette visite qui, à leurs yeux, constitue un message fort à l'adresse de l'occupant marocain qui entrave le processus de résolution du conflit, martelant que l'ONU doit agir pour obliger le Maroc à assumer ses responsabilités.
Le secrétaire général de l'ONU a été salué à son départ par M. Moktar Ould Diay, ministre de l'économie et des finances, ministre des affaires étrangères et de la coopération par intérim entouré de plusieurs responsables du département ainsi que par M. Mario Samaja, représentant résident du PNUD, coordinateur du Système des Nations Unies en Mauritanie. "Mon premier objectif en visitant la région est de procéder à ma propre évaluation et d'apporter ma propre contribution à la recherche d'un règlement" au conflit, a-t-il lors d'un point de presse. Il visitera également l'unité onusienne de déminage.
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