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Les ventes à l’étranger de l’Empire du milieu sont en chute libre. La spectaculaire baisse des exportations en février, est la pire chute en près de 7 ans. Elle contraste avec les fortes ambitions de Pékin.
Les turbulences se poursuivent, en Chine. Les exportations sont restées décevantes le mois dernier, avec un recul de 25,4% (en dollars) par rapport à février 2015, tandis les importations baissaient de 13,8%.
Ces chiffres sont bien pires que prévu. Les économistes interrogés par Reuters tablaient en effet en moyenne sur des baisses de 12,5% pour les exportations et de 10% pour les importations.
“Les exportations de produits manufacturiers à forte intensité de main d'œuvre, dont les appareils électriques et produits mécaniques, ont chuté”, ont expliqué des officiels, cités par l’AFP. Outre le fléchissement de la demande extérieure, sur fond de morosité économique chez nombre de partenaires commerciaux, la Chine pâtit d'un renchérissement des coûts du travail, qui érode sa compétitivité.
Les mauvais chiffres du commerce extérieur chinois, qui contrastent avec les grandes ambitions de Pékin à horizon 2020 , s’ajoutent à une longue liste d’indicateurs décevants, notamment la décrue des indices des directeurs d’achats dans les services et l’industrie, dévoilée ce mois-ci.
capital
Les turbulences se poursuivent, en Chine. Les exportations sont restées décevantes le mois dernier, avec un recul de 25,4% (en dollars) par rapport à février 2015, tandis les importations baissaient de 13,8%.
Ces chiffres sont bien pires que prévu. Les économistes interrogés par Reuters tablaient en effet en moyenne sur des baisses de 12,5% pour les exportations et de 10% pour les importations.
“Les exportations de produits manufacturiers à forte intensité de main d'œuvre, dont les appareils électriques et produits mécaniques, ont chuté”, ont expliqué des officiels, cités par l’AFP. Outre le fléchissement de la demande extérieure, sur fond de morosité économique chez nombre de partenaires commerciaux, la Chine pâtit d'un renchérissement des coûts du travail, qui érode sa compétitivité.
Les mauvais chiffres du commerce extérieur chinois, qui contrastent avec les grandes ambitions de Pékin à horizon 2020 , s’ajoutent à une longue liste d’indicateurs décevants, notamment la décrue des indices des directeurs d’achats dans les services et l’industrie, dévoilée ce mois-ci.
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