La cour suprême du Bangladesh a commencé à étudier les arguments des intellectuels, d’anciens juges et des militants de la société civile qui contestent la constitutionnalité de l’Islam en tant que religion de l’Etat.
Selon le Daily Mail, C’est Sheik Hasina, 68 ans, Premier ministre du pays, qui a lancé ce pari contre les islamistes, elle est à la tête de la ligue Awami, parti laïc de centre-gauche, et elle n’a jamais caché son intransigeance vis-à-vis des islamistes, qui ont tenté de l’assassiner en 2004. Elle est aussi la fille du Sheikh Mujibur Rahman, le père de l’indépendance du Bangladesh, tué, avec presque toute sa famille, par les militaires en 1975.
Il s’agit, selon le point, de tenter de mettre un frein à la violence islamiste qui endeuille depuis quelques mois l’ancien Bengale. Des organisations terroristes, dont certaines se revendiquent de Daech, s’en prennent aux minorités religieuses, hindouistes, chrétiens, mais aussi à d’autres représentants de l’islam, notamment les soufis, les chiites, et à la minorité Ahmadiyya. Les intellectuels, les athées, et les étrangers ne sont pas épargnés non plus. Depuis l’assassinat d’un ressortissant japonais, et l’attaque par balle d’un prêtre italien, il est impérativement conseillé aux étrangers de ne plus sortir le soir. Des policiers armés surveillent les halls des hôtels fréquentés par les touristes.
Selon le Daily Mail, C’est Sheik Hasina, 68 ans, Premier ministre du pays, qui a lancé ce pari contre les islamistes, elle est à la tête de la ligue Awami, parti laïc de centre-gauche, et elle n’a jamais caché son intransigeance vis-à-vis des islamistes, qui ont tenté de l’assassiner en 2004. Elle est aussi la fille du Sheikh Mujibur Rahman, le père de l’indépendance du Bangladesh, tué, avec presque toute sa famille, par les militaires en 1975.
Il s’agit, selon le point, de tenter de mettre un frein à la violence islamiste qui endeuille depuis quelques mois l’ancien Bengale. Des organisations terroristes, dont certaines se revendiquent de Daech, s’en prennent aux minorités religieuses, hindouistes, chrétiens, mais aussi à d’autres représentants de l’islam, notamment les soufis, les chiites, et à la minorité Ahmadiyya. Les intellectuels, les athées, et les étrangers ne sont pas épargnés non plus. Depuis l’assassinat d’un ressortissant japonais, et l’attaque par balle d’un prêtre italien, il est impérativement conseillé aux étrangers de ne plus sortir le soir. Des policiers armés surveillent les halls des hôtels fréquentés par les touristes.
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