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Plus de visites pour les prédicateurs saoudiens qui excellent dans le radicalisme religieux. Selon des sources sûres, les hautes autorités du pays ont décidé de fermer la porte à ces extrémistes qui font dans la manipulation des masses populaires à des fins autres que de transmettre la bonne parole de Dieu. La décision aurait été prise sur la base de rapports d’enquêtes des services du ministère des Affaires religieuses. Une liste de prédicateurs qui infestent la toile a été établie pour qu’ils soient empêchés de fouler le territoire algérien.
Il faut dire que la mise en application de cette décision a déjà commencé avec le refus des autorités consulaires algériennes de délivrer un visa d’entrée sur le territoire national à l’extrémiste saoudien El Cheikh Mohamed El Arifi, connu pour ses prêches incendiaires et son encensement de ce qui se passe ne Syrie et dans d’autres pays arabes, confrontés aux groupes terroristes. « Notre ministère est habilité à dire que tel individu mérite d’être invité ou pas. Nous sommes en mesure de dire que nous pouvons sécuriser intellectuellement notre pays », a déclaré récemment le ministre des Affaires religieuses, Mohamed Aïssa, à propos des hommes de religion invités en Algérie. Il a expliqué que la demande ainsi que l’octroi du visa ont été refusés à ce prédicateur parce que les services de son département détenaient la preuve qu’il était « un acteur dans la subversion du système appelé Printemps arabe » et qu’il était aussi « un promoteur de propagande au profit du groupe radical de Jamaat el Nosra relevant d’El Qaida en Syrie ». Des gens comme lui n’auront donc aucune chance d’entrer légalement en Algérie. Mohamed Aïssa a assuré dans ce sillage que « l’Algérie ne sera jamais un terrain de combat des rites étrangers. Elle est une terre de l’Islam et une école de modération et de juste milieu ».
L’Arabie Saoudite a toujours œuvré pour propager son idéologique radicale wahhabite à travers la formation des « imams » et le financement des associations religieuses dans les pays arabes et musulmans. L’Algérie qui a vécu les affres du terrorisme connaît bien le mal généré par les prédicateurs extrémistes saoudiens. Elle jouit aujourd’hui d’une expérience en matière de lutte contre l’extrémisme et l’assèchement de ses sources, qui est sollicitée ailleurs, notamment en Europe où des caravanes de sensibilisation vont être organisées pour éclairer les jeunes sur l’Islam.
M.M.
impact 24 info
Il faut dire que la mise en application de cette décision a déjà commencé avec le refus des autorités consulaires algériennes de délivrer un visa d’entrée sur le territoire national à l’extrémiste saoudien El Cheikh Mohamed El Arifi, connu pour ses prêches incendiaires et son encensement de ce qui se passe ne Syrie et dans d’autres pays arabes, confrontés aux groupes terroristes. « Notre ministère est habilité à dire que tel individu mérite d’être invité ou pas. Nous sommes en mesure de dire que nous pouvons sécuriser intellectuellement notre pays », a déclaré récemment le ministre des Affaires religieuses, Mohamed Aïssa, à propos des hommes de religion invités en Algérie. Il a expliqué que la demande ainsi que l’octroi du visa ont été refusés à ce prédicateur parce que les services de son département détenaient la preuve qu’il était « un acteur dans la subversion du système appelé Printemps arabe » et qu’il était aussi « un promoteur de propagande au profit du groupe radical de Jamaat el Nosra relevant d’El Qaida en Syrie ». Des gens comme lui n’auront donc aucune chance d’entrer légalement en Algérie. Mohamed Aïssa a assuré dans ce sillage que « l’Algérie ne sera jamais un terrain de combat des rites étrangers. Elle est une terre de l’Islam et une école de modération et de juste milieu ».
L’Arabie Saoudite a toujours œuvré pour propager son idéologique radicale wahhabite à travers la formation des « imams » et le financement des associations religieuses dans les pays arabes et musulmans. L’Algérie qui a vécu les affres du terrorisme connaît bien le mal généré par les prédicateurs extrémistes saoudiens. Elle jouit aujourd’hui d’une expérience en matière de lutte contre l’extrémisme et l’assèchement de ses sources, qui est sollicitée ailleurs, notamment en Europe où des caravanes de sensibilisation vont être organisées pour éclairer les jeunes sur l’Islam.
M.M.
impact 24 info
dommage qu'ils aient attendu 2016 pour sevir..les saouds ont commence des 1980 a propager leur ideologie la plus retrograde..mais enfin ne dit-on pas vaut mieux tard que jamais
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