L’échec et mat de Poutine
TSA Algérie
On le dit grand amateur de jeu d’échecs, très populaire en Russie où on y joue dans les squares à la belle saison. L’entrée de la Russie dans la vraie guerre pour aider l’État syrien à se débarrasser des islamistes barbares de l’EI, d’Anosra et de 172 (!!!) factions dites ou supposées rebelles mais qui sont pour la plupart des organisations terroristes fanatisées par les Saoudiens, les Talibans et autres racailles réactionnaires, féodales et psychopathes. Sans oublier les quelques nains de jardin, souvent « progressistes » et qui se prélassent dans les parcs des grands palaces du monde entier, au frais de l’Amérique perverse et des États du Golf wahhabites.
En trois mois, la Russie de Poutine a défait et contrefait ce que les impérialistes occidentaux et les monarchies islamistes (y compris Erdogan qui se rêve en Calife du Sultan Salim qui fut le dernier Turc à combattre les chrétiens et qui a commis le fameux massacre de Chio, une île grecque qu’il voulait islamiser – déjà !- à la fin du XIXe siècle), ont permis à l’armée nationale syrienne de renverser la vapeur et de permettre à l’État national syrien de commencer à reconquérir une bonne partie du territoire du pays.
La déclaration du président Poutine de retirer son aviation est la preuve que maintenant, la réaction islamo-fasciste a perdu. Comme cette même tendance politique a perdu, il y a une vingtaine d’années, en Algérie, face aux Algériens, aux résistants des GLD et à l’Armée nationale populaire dont on malmène, aujourd’hui, les grands cadres qui ont été à la tête de cette guerre atroce que le pays a subie pendant dix ans.
Poutine l’a fait en six mois, même si tout n’est pas réglé, tout n’est pas terminé, comme de bien entendu.
Obama ne l’a pas fait, lui qui traîne toujours ses guêtres en Afghanistan, en Irak et… dans les ghettos noirs des grandes villes américaines où 753 jeunes noirs ont été assassinés en 2015.
Car, c’est ça aussi l’Amérique.
Rachid Boudjedra
TSA Algérie
On le dit grand amateur de jeu d’échecs, très populaire en Russie où on y joue dans les squares à la belle saison. L’entrée de la Russie dans la vraie guerre pour aider l’État syrien à se débarrasser des islamistes barbares de l’EI, d’Anosra et de 172 (!!!) factions dites ou supposées rebelles mais qui sont pour la plupart des organisations terroristes fanatisées par les Saoudiens, les Talibans et autres racailles réactionnaires, féodales et psychopathes. Sans oublier les quelques nains de jardin, souvent « progressistes » et qui se prélassent dans les parcs des grands palaces du monde entier, au frais de l’Amérique perverse et des États du Golf wahhabites.
En trois mois, la Russie de Poutine a défait et contrefait ce que les impérialistes occidentaux et les monarchies islamistes (y compris Erdogan qui se rêve en Calife du Sultan Salim qui fut le dernier Turc à combattre les chrétiens et qui a commis le fameux massacre de Chio, une île grecque qu’il voulait islamiser – déjà !- à la fin du XIXe siècle), ont permis à l’armée nationale syrienne de renverser la vapeur et de permettre à l’État national syrien de commencer à reconquérir une bonne partie du territoire du pays.
La déclaration du président Poutine de retirer son aviation est la preuve que maintenant, la réaction islamo-fasciste a perdu. Comme cette même tendance politique a perdu, il y a une vingtaine d’années, en Algérie, face aux Algériens, aux résistants des GLD et à l’Armée nationale populaire dont on malmène, aujourd’hui, les grands cadres qui ont été à la tête de cette guerre atroce que le pays a subie pendant dix ans.
Poutine l’a fait en six mois, même si tout n’est pas réglé, tout n’est pas terminé, comme de bien entendu.
Obama ne l’a pas fait, lui qui traîne toujours ses guêtres en Afghanistan, en Irak et… dans les ghettos noirs des grandes villes américaines où 753 jeunes noirs ont été assassinés en 2015.
Car, c’est ça aussi l’Amérique.
Rachid Boudjedra
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