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Après un ralentissement conséquent en 2014, l’économie marocaine a renoué avec de meilleures performances. Le taux de croissance serait d’environ 4,8% en 2015, contre et 2,4% réalisé une année plutôt, indique la Direction du Trésor et des Finances Extérieurs (DTFE), relevant du ministère de l'Economie et des Finances, rapporte la MAP.
Les réalisations seraient donc allées au-delà des 4,4% initialement prévus dans la Loi de Finances. Une telle performance est attribuée à la bonne performance du secteur agricole marquée en 2015 par une récolte céréalière record (115 M.qx contre 69 M.qx en 2014), alors que la croissance des activités non agricoles reste modeste, bien qu’elle ait été quelque peu soutenue par les bons résultats des Métiers Mondiaux du Maroc (MMM).
Par ailleurs, les crédits à caractère financier sont restés à leur plus bas niveau historique, n’augmentant que de 2 milliards de dirhams, et ce, en dépit de la tendance baissière des taux débiteurs qui s’est poursuivie. Ces derniers sont en effet passés de 6% à 5,73%. L’apport des crédits bancaires à l’économie a, en revanche, marqué une accélération pour atteindre plus de 20,8 milliards de dirhams en 2015 contre plus de 16,4 milliards de dirhams en 2014.
Le secteur extérieur a, quant à lui, poursuivi son amélioration entamée en 2013 avec une nouvelle réduction de 3,7 points du PIB du déficit du compte courant de la balance des paiements à près de 2% du PIB en 2015. Une performance majoritairement due à l’allégement du déficit commercial résultant de la bonne performance à l’export des produits de l’Office Chérifien de Phosphates (OCP) et des MMM conjuguée à la réduction notable des factures énergétique et alimentaire.
Les réalisations seraient donc allées au-delà des 4,4% initialement prévus dans la Loi de Finances. Une telle performance est attribuée à la bonne performance du secteur agricole marquée en 2015 par une récolte céréalière record (115 M.qx contre 69 M.qx en 2014), alors que la croissance des activités non agricoles reste modeste, bien qu’elle ait été quelque peu soutenue par les bons résultats des Métiers Mondiaux du Maroc (MMM).
Par ailleurs, les crédits à caractère financier sont restés à leur plus bas niveau historique, n’augmentant que de 2 milliards de dirhams, et ce, en dépit de la tendance baissière des taux débiteurs qui s’est poursuivie. Ces derniers sont en effet passés de 6% à 5,73%. L’apport des crédits bancaires à l’économie a, en revanche, marqué une accélération pour atteindre plus de 20,8 milliards de dirhams en 2015 contre plus de 16,4 milliards de dirhams en 2014.
Le secteur extérieur a, quant à lui, poursuivi son amélioration entamée en 2013 avec une nouvelle réduction de 3,7 points du PIB du déficit du compte courant de la balance des paiements à près de 2% du PIB en 2015. Une performance majoritairement due à l’allégement du déficit commercial résultant de la bonne performance à l’export des produits de l’Office Chérifien de Phosphates (OCP) et des MMM conjuguée à la réduction notable des factures énergétique et alimentaire.
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