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A Genève, l'envoyé de l'ONU pour la Syrie se veut optimiste sur les pourparlers de paix inter-syriens

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  • A Genève, l'envoyé de l'ONU pour la Syrie se veut optimiste sur les pourparlers de paix inter-syriens

    Voila un drame qui doit concerner la communaute international afin que la paix s'etablissent en Syrie





    15 mars 2016 – Suite à l'annonce de la reprise des pourparlers de paix inter-syriens, le 14 mars à Genève, l'Envoyé spécial du Secrétaire général de l'ONU pour la Syrie, Staffan de Mistura, a déclaré mardi s'attendre à ce que l'annonce du retrait de l'armée russe de Syrie ait un impact positif sur les négociations en cours.
    Lors d'une conférence de presse dans la ville suisse, dans la foulée d'une réunion avec le Haut comité des négociations, M. de Mistura a déclaré que la réunion a commencé par une minute de silence en l'honneur des victimes du conflit, qui entrait officiellement aujourd'hui dans sa sixième année.
    « Nous aurions dû garder le silence pendant 300.000 minutes », a-t-il déclaré.
    L'Envoyé spécial a indiqué que les discussions se sont ensuite focalisées sur la question du sort des détenus.
    « Jusqu'à présent, comme vous le savez, nous avons abordé la question de l'aide humanitaire et de la diminution de la violence, mais sur le problème des détenus, nous n'avons rien eu en termes de résultats », a-t-il dit, précisant qu'il s'agit d'une question dont pourrait se saisir le groupe de travail humanitaire dans le cadre du processus de négociation.
    M. de Mistura a indiqué que la question de l'accès de l'aide humanitaire, qui n'a toujours pas été obtenu dans certaines zones spécifiques, notamment à Daraya, a également été soulevée. Là encore, l'Envoyé spécial a précisé que le groupe de travail humanitaire pourrait se saisir de cet aspect.
    Concernant le retrait de l'armée russe de Syrie, annoncé la veille par le Président russe Vladimir Poutine, M. de Mistura a dit s'attendre à ce que cette décision importante ait un impact positif sur les pourparlers de paix.
    « Ce n'est pas une coïncidence, ou du moins il ne faut pas y voir une coïncidence, si cette décision a eu lieu au tout début des pourparlers inter-syriens », a-t-il ajouté.



    Source:Nations Unis
    Le traité de Fès, nommé traité conclu entre la France et le Maroc le 30 mars 1912, pour l'organisation du protectorat français dans l'Empire chérifien,
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