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Qu’est ce que le wahabisme ?

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  • Qu’est ce que le wahabisme ?

    Le wahhabisme est une doctrine qui a été fondé dans la péninsule Arabique, au XVIIIe siècle, par Muhammad ibn Abd al-Wahhab.

    Il représente un courant traditionnel qui se distingue par une lecture littérale de l’islam et par son aspect rigoriste et puritain. Il condamne en particulier toute innovation par rapport à l’enseignement de l’islam et combat tous les musulmans qui ne s’y soumettent pas en les considérants apostats.

    Ce littéralisme, impliquant une lecture primaire et primitive du Coran, conduit ses adeptes à la négation des principes mêmes de l’islam.

    Ainsi, cette doctrine réduit le Coran à une lecture juridique restrictive à l’extrême et manipulée en fonction des besoins politiques et de consolidation d’un pouvoir temporel, celui de la famille régnante d’Arabie Saoudite.

    En effet, Abd al-Wahhab seul n’aurait jamais pu élever sa doctrine au-delà d’une secte éphémère sans l’aide de la tribu des Saoud avec qui il fit alliance pour conquérir l’Arabie, devenue à présent la propriété personnelle des Saoud et le berceau du wahhabisme.

    Historiquement les Britanniques ont instrumentalisé le wahhabisme pour lutter contre l’Empire ottoman et vont à partir de 1916, utiliser cette doctrine afin d’asseoir durablement et solidement leur contrôle sur la Péninsule arabique et avoir la complète maîtrise géographique du Golfe arabo-persique

    Le wahhabisme n’aurait pas non plus connu son essor actuel sans l’aide des États-Unis qui, en 1945, ont passé un pacte maléfique avec les Saoud : « Le pétrole contre une protection armée ».

    Cet or noir, pompé par les majors anglo-américains, a financé l’expansion du wahhabisme à travers le monde.

    parti anti sioniste


  • #2
    Nous voyons au grand jour l'alliance franche entre le wahabisme et le sionisme contre l'Islam, les musulmans, les chrétiens, les juifs et contre toutes les nationalités ou ethnies du Moyen-Orient !!

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    • #3
      Qu’est ce que le wahabisme ?
      Une autre invention

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      • #4
        Une autre invention
        Oui ....ibn Abdelwaheb est le seul homme à avoir sa photo avant l'invention de l'appareil photo

        c'est l'invention du parti anti sioniste

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        • #5
          La liste est longue, le titre générique c'est "perdu dans le désert"...
          A l'origine, il y avait le dieu soleil...
          Puis les animistes...
          Arrivèrent les monothéistes...
          Les découvreurs de religion s'appellent les chrétiens...
          Les juifs...
          Les musulmans dont les wahabites...
          Bouddha, Vishnou et les autres philosophies hindoues...
          Les évangélistes et autres sectes...
          Un beau merdier ou Dieu ne retrouverait pas les siens...

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          • #6
            Enfin, les peuples du monde entier commencent à comprendre la nature véritable du wahabisme; les médias sociaux d'Internet : facebook, twitter et autres sites nous montrent les faits contrenatures de ces wahabites à travers leurs daechs, leurs attentats suicides, leurs mutilations, leurs crimes en criant "Allah Akbar!" et leurs pourvoyeurs en armes etc... ces sionistes. Leurs alliances franches et leurs rencontres devenues officielles entre les dirigeants saoudites et sionistes. Les faits sont têtus. La réalité est là pour indiquer la fausseté du prétendu "islam" sioniste des Saouds et la barbarie wahabite des sionistes contre arabes chrétiens et musulmans palestiniens en Palestine et dans tout le Moyen-Orient. Le wahabisme et le sionisme sont les deux faces d'une même médaille. Ce qu explique aussi leur peur de l'Islam et des autres religions divines qu'ils essayent, en vain, de dénaturer.
            Dernière modification par Elghifari, 21 mars 2016, 03h16.

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            • #7
              Wahhabisme : Terme utilisé par les adversaires du mouvement de réforme de Mohammed Ibn Abdelwahhab en Arabie (1703 – 1792) et surtout par les soufis et les chiites afin d’insulter les sunnites qui soutenaient sa réforme religieuse ou partageaient ses attitudes hostiles envers le culte des saints et des marabouts, des croyances et rituels soufis ou chiites considérés comme égarés de l’Islam et du credo du monothéisme musulman (Attawhid). Ce terme est souvent utilisé pour désigner les salafites, mais est souvent utilisé pour désigner tous les sunnites qui condamnent le culte des saints et les rituels soufis et chiites.

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              • #8
                Qu’est ce que le wahabisme ?
                Une autre forme d'endoctrinement , une option nouvelle de l’idéologie islamique endormante comme la prédécesseur d'il y a plus de 14 siècles ...

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                • #9
                  Une autre forme d'endoctrinement , une option nouvelle de l’idéologie islamique endormante comme la prédécesseur d'il y a plus de 14 siècles ..
                  il n'a rien contre le kabyle qui n'adore pas les arbres ou les grottes

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                  • #10
                    Le wahabisme, une branche dissidente de l'islam, on y découvre un islam radical...
                    L'essence même de l'islam est la violence, la supériorité de l'homme sur la femme, le prosélytisme, l'omniscience des musulmans sur toutes autres croyances ou non-croyances...

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                    • #11
                      Dans ce deuxième volet de son étude intitulée «Le dromadaire de Najd», l’écrivain Ridha Ben Slama, se penche sur l’histoire de la première tentative historique de propager le wahhabisme en Tunisie.
                      C’était en 1810, bien avant l'occupation française à 1881.

                      Vers 1810, le Bey Hammouda Pacha reçut une lettre menaçante d’Ibn Saoud et de Mohamed Ibn Abdelwahab appelant soit à rejoindre le mouvement sectaire Wahhabite ou se préparer à combattre. Saoud, un seigneur de guerre et l’ancêtre de ceux qui règnent actuellement sur l’Arabie Saoudite, scella avec Ibn Abd al-Wahhab une alliance le fameux « Pacte de Nadj ». Ibn Abdelwahab reprenait les thèses d’Ibn Taymiyya donnant naissance au salafisme wahhabite. Même son père et son frère, eux-mêmes jurisconsultes, rejetèrent ses idées les jugeant extrémistes et dangereuses. Cette hérésie avait été refusée par le Bey qui chargea les autorités religieuses de la mosquée Zitouna et notamment le Cheikh Ibrahim Riahi de se prononcer sur la question wahhabite. Ahmed Ibn Abi Dhiaf, historiographe de la famille beylicale, fait référence dans « Athaf Ahl Ezzaman Bi Akhbari moulouki Tounes wa Ahd el Aman » au document écrit par Brahim Riahi qui a servi de source pour répondre passant en revue les incohérences des prescriptions wahhabites et leur contradiction. Plusieurs répliques cinglantes ont été envoyées dont celles de Chaykou l-'Islam à Tunis, Isma’il At-Tamimi Al-Maliki, de Ibrahim Ibn ‘Abdi l-Qadir At-Taraboulousi Ar-Riyahi At-Tounousi Al-Malikide et de ‘Oumar Al-Mahjoub.

                      dromadaires-wahhabismeHamadi Redissi raconte dans son livre Le pacte de Nadjd qu’au tout début du XIXe siècle, les wahhabites prennent La Mecque. Ils détruisent les dômes érigés dans l’enceinte sacrée, les tombeaux de Khadîdja, la première épouse du Prophète, de son oncle Abu Taleb, de Hassan et Hussein ainsi que les tombes et les mausolées du cimetière de Ma’ala à La Mecque. A Médine, ils profanèrent le sanctuaire renfermant le tombeau du Prophète, pillèrent les trésors qui y étaient déposés par les pèlerins et s’emparèrent des pierres précieuses, des bracelets, des colliers. Il fallut soixante dromadaires pour transporter ces rapines. Cette hérésie entame l'image de l'Islam et pose des questions sur sa contemporanéité, en découvrant une idéologie de la violence et de l'intolérance là où on est censé trouver une croyance de l'épanouissement de l'humain et de la tolérance.

                      Les Tunisiens avaient rejeté le wahhabisme au début du 19ème siècle, ce n'est pas au 21ème siècle qu'ils vont l'accepter et après une révolution sans aucun référent religieux. Le dromadaire de Najd, déposé par ruse parmi nous et à l'intérieur duquel se cache un groupe de wahhabites clonés est repéré.

                      L'enseignement à tirer de ce rapide coup d'œil historique est un rappel des traits les plus saillants de la personnalité tunisienne, fruit d'une histoire aussi marquante, à savoir une nature accueillante et modérée des Tunisiens et un rejet évident de tout extrémisme politique ou religieux. Et c'est ce montage fâcheux entre le politique et le religieux qui a été à chaque fois la source de crises et de désordres.

                      Ridha Ben Slama

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                      • #12
                        Ibn Abdelwahab reprenait les thèses d’Ibn Taymiyya donnant naissance au salafisme wahhabite.
                        On confond fréquemment aujourd’hui la pensée de Mouhammed Ibn Abd al-Wahab avec ce qu’on dit être la manifestation concrète de son école depuis l’instauration du règne des Sa’ud, en Arabie. L’injustice est pourtant de taille. Certes, il ne faut pas nier que son intervention réalisée en Arabie fut souvent le fait d’une entreprise guerrière durant laquelle il s’est attaqué, parfois violemment, à tous ceux qui refusaient de le suivre et en particulier à ceux qui développaient le culte des saints ; mais il n’en demeure pas moins que les motivations de son entreprise étaient nourries, à l’image de l’enseignement d’Ibn Taymiyya, par une volonté de renouveau et de libération.
                        A ne retenir de son engagement que sa volonté de retour au Coran et à la tradition du Prophète ( salla Allahou aaleyhi wa sallem), on pourrait aboutir à une conclusion qui ne circonscrirait pas tout à fait à la teneur de ses revendications. Influencé par l’enseignement d’Ibn Taymiyya, il cherche à reformuler le patrimoine islamique autour de son axe fondamental qui tient en l’expression de l’unité de Dieu (at-tawhid) dont les conséquences doivent être une réelle libération :
                        Son Kitab at-tawhid se présente clairement comme une réflexion persuadée que le retour à la foi purifiée de tous types de polythéisme permettra un réveil des musulmans. De la même façon, sa volonté de revenir – par une lecture sans médiation exégétique—au Coran et à la Sunna, si elle peut paraître relever d’un vieux réflexe frileux et fondamentaliste exprimant la volonté de s’enfermer dans la lettre, manifeste pourtant une attitude exactement inverse : refusant le taqlid, la lecture juridique traditionnelle fondée sur les quatre écoles sunnites reconnues, Ibn Abd al-Wahhab a lutté pour que l’on dépasse les disputes sur les gloses et les commentaires des commentaires, pour qu’on ne sanctifie pas les décisions des fuqaha (juristes) et que, enfin, par une lecture neuve des sources, on s’engage à réactiver l’exercice de l’ijtihad.
                        Dans son ouvrage Zu’ama al-islah fil asr al-hadith ( Les chefs de file de la pensée réformiste à l’époque contemporaine), le penseur Ahmad Amin apporte l’éclairage suivant en traduisant la pensée d’Ibn Abd al-Wahab :
                        << C’est Dieu seul qui spécifie le cadre de la foi, c’est Lui seul qui dit le licite et l’illicte ; de fait, en matière religieuse, aucun propos ne fait office de preuve si ce n’est le propos de Dieu et du Maître des envoyés (salla Allahou aaleyhi wa sallem). Et Dieu dit dans le Coran : « Ont-ils donc des associés qui légifèrent à propos de leur religion au sujet de sur quoi Dieu n’y a pas d’autorisation ? » Ainsi les propos des philosophes sur les sujets ayant trait à la foi, les propos des juristes sur le licite et l’illicite ne sont pas des preuves suffisantes à nos yeux. Nos guides ( nos références) sont le Livre et la Sunna et chaque homme maîtrisant les outils de l’ijtihad a le droit de pratiquer l’ijtihad. Non seulement il en a le droit, mais c’est un devoir pour lui d‘extraire des sources les règles de législation—à la mesure de sa compréhension des textes coraniques et de la Sunna authentique— auxquelles l’a mené son ijtihad.>>

                        L’affirmation du tawhid est comprise par Ibn al-Wahhab comme la seule issue qui permettra aux musulmans de retrouver l’énergie qui fut celle des premiers fidèles ( as-salaf) ; elle seule, à la source d’une lecture neuve et exigeante du Coran et des paroles du Prophète (salla Allahou aaleyhi wa sallem), sera libératrice du joug étranger, de la corruption, de la décadence. Ce qui permit le succès des premiers doit permettre celui des suivants : la foi en un monothéisme pur et l’engagement dans la voie de la justice qu’il implique. Ahmed Amin résume cette pensée en quelques mots :
                        << Mouhammed Ibn Abd al-Wahab et ceux qui sont allés dans son sens considéraient que la faiblesse des musulmans d’aujourd’hui et leur crise de confiance n’avaient pour autre cause que la foi. En ses premiers temps, la foi islamique était pure, évidée de tout type d’association. « Il n’est de dieu qu’Allah » voulait alors dire l’élévation de la personne au-delà de l’adoration des pierres et des idoles, au-delà de la servitude des grands de ce monde, ou encore l’absence de la peur de la mort dans la lutte pour la vérité.>>


                        ......................
                        Dernière modification par Marzouq, 29 mars 2016, 23h03.

                        Commentaire


                        • #13
                          << Mouhammed Ibn Abd al-Wahab et ceux qui sont allés dans son sens considéraient que la faiblesse des musulmans d’aujourd’hui et leur crise de confiance n’avaient pour autre cause que la foi. En ses premiers temps, la foi islamique était pure, évidée de tout type d’association. « Il n’est de dieu qu’Allah » voulait alors dire l’élévation de la personne au-delà de l’adoration des pierres et des idoles, au-delà de la servitude des grands de ce monde, ou encore l’absence de la peur de la mort dans la lutte pour la vérité.>>

                          C'est clair et il faut se rendre à l'évidence, il n'y a d'autre voie que celle d'Allah, tout autre chemin conduit en enfer...

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                          • #14
                            Ils détruisent les dômes érigés dans l’enceinte sacrée, les tombeaux de Khadîdja, la première épouse du Prophète, de son oncle Abu Taleb, de Hassan et Hussein ainsi que les tombes et les mausolées du cimetière de Ma’ala à La Mecque.

                            Le chérif de la Mecque, Awn al-Rafiq (1841/1905), descendant du Prophète Salla Allahou aleyhi wa Sallem, avait entrepris la destruction des coupoles au dessus des tombes; il n'avait épargné que celles de Sayyeda Khadija (radiya Allahou a'anha) et de l'oncle du Prophète, de crainte d'être demis de ses fonctions par le Sultan Abdelhamid

                            A Médine, ils profanèrent le sanctuaire renfermant le tombeau du Prophète,
                            les salauds ....et l'empêcher de sortir pour saluer les touristes !

                            pillèrent les trésors qui y étaient déposés par les pèlerins et s’emparèrent des pierres précieuses, des bracelets, des colliers.
                            en lançant ma pièce j'ai raté la fontaine de Trévi ....mais je suis quand même retourné à Rome et au m^me endroit

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                            • #15
                              C'est clair et il faut se rendre à l'évidence, il n'y a d'autre voie que celle d'Allah, tout autre chemin conduit en enfer
                              Je ne connais que cette voie pour en parler ...et tu dois connaitre les autres pour en parler

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