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Dans une déclaration effectuée hier suite au conseil du gouvernement, Abedelilah Benkirane a affirmé que le Maroc était « attaché à son Sahara et à son intégrité territoriale » et que c’était « une question de vie de mort ».
« Nous n’entretenons aucune animosité à l’égard de M. Ban Ki-moon ou des Nations Unies, mais en même temps nous réaffirmons notre attachement à notre Sahara et notre droit naturel sur cette terre, ainsi que notre droit à protéger nos fils dans cette région et à rapatrier nos fils se trouvant sous l’emprise algérienne », a affirmé Benkirane revenant sur les propos du Secrétaire général des Nations-Unies et les manifestations organisées au Maroc.
« Il paraît que Ban Ki-Moon n’a pas apprécié la sortie des Marocains en nombre et de cette façon. Mais les propos proférés par Ban Ki-moon volontairement ou par imprudence, ont suscité la colère d’un peuple tout entier, lui qui dirige une organisation rassemblant des peuples et des Nations », a poursuivi le Chef du gouvernement demandant à Ban Ki-moon de « ne pas mette en colère les peuples de cette manière et de reconnaître leur droit à s’exprimer ».
Pour Benkirane, c’est l’Algérie qui a causé du « tort à ses à ses propres citoyens avant de les causer aux autres (…). Nos frères algériens doivent revenir à la raison », a-t-il ajouté.
ALM
« Nous n’entretenons aucune animosité à l’égard de M. Ban Ki-moon ou des Nations Unies, mais en même temps nous réaffirmons notre attachement à notre Sahara et notre droit naturel sur cette terre, ainsi que notre droit à protéger nos fils dans cette région et à rapatrier nos fils se trouvant sous l’emprise algérienne », a affirmé Benkirane revenant sur les propos du Secrétaire général des Nations-Unies et les manifestations organisées au Maroc.
« Il paraît que Ban Ki-Moon n’a pas apprécié la sortie des Marocains en nombre et de cette façon. Mais les propos proférés par Ban Ki-moon volontairement ou par imprudence, ont suscité la colère d’un peuple tout entier, lui qui dirige une organisation rassemblant des peuples et des Nations », a poursuivi le Chef du gouvernement demandant à Ban Ki-moon de « ne pas mette en colère les peuples de cette manière et de reconnaître leur droit à s’exprimer ».
Pour Benkirane, c’est l’Algérie qui a causé du « tort à ses à ses propres citoyens avant de les causer aux autres (…). Nos frères algériens doivent revenir à la raison », a-t-il ajouté.
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