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Les programmes de la 2e génération dès l’année prochaine

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  • Les programmes de la 2e génération dès l’année prochaine

    La ministre de l’Éducation nationale a insisté sur le fait que la vision classique des programmes, axés sur la transmission de contenus notionnels, devra être dépassée en faveur du développement intégral de l’apprenant en termes de connaissances, d’attitude, de valeurs et de compétences.


    La ministre de l’Éducation nationale, Nouria Benghabrit, s’est réunie, hier, au niveau de son département, à Alger, avec les différents partenaires sociaux pour discuter des programmes de la deuxième génération.
    Pour la première responsable du ministère de l’Éducation, il est important de prendre en compte des recommandations ayant résulté des évaluations d’étapes de la réforme pour une transportation qualitative de l’enseignement et de l’amélioration du rendement du système éducatif. “Ce choix est dicté par l’importance des programmes qui constituent l’axe primordial de la refonte pédagogique. En effet, c’est dans les programmes d’enseignement, d’abord, que se dessinent les modèles des citoyens et des sociétés auxquels une nation aspire”, a déclaré Mme Benghabrit. Tout en ajoutant que “c’est par les programmes que l’institution réalise une politique nationale d’éducation par laquelle notre pays s’inscrira dans une dynamique de progrès social, scientifique et économique”.
    Dans ce contexte, la ministre de l’Éducation nationale a insisté sur le fait que la vision classique des programmes, axés sur la transmission de contenus notionnels, devra être dépassée en faveur du développement intégral de l’apprenant en termes de connaissances, d’attitude, de valeurs et de compétences solides, pertinentes et durables à même de permettre au futur citoyen de relever les défis qui s’imposent à notre société. “Cet impératif nous a conduits à entamer graduellement la réécriture des programmes scolaires et qui aboutira, dès l’année prochaine, à l’application des programmes de deuxième génération pour la 1re année moyenne et pour les 1re et 2e années primaires”, a souligné M. Benghabrit. Elle a aussi précisé* que “cette réécriture des programmes ne saurait, en aucune façon, remettre en question les fondements et les principes qui régissent la politique éducative”. Selon la première responsable du secteur de l’éducation, cette réforme ambitionne d’enraciner chez les enfants le sentiment d’appartenance au peuple algérien, de les élever dans l’amour de l’Algérie et la fierté de lui appartenir, ainsi que dans l’attachement à l’unité nationale, à l’intégrité territoriale et aux symboles représentatifs de la nation. “Dans le cadre de la réécriture des programmes, nous nous attelons à valoriser le patrimoine national très peu représenté dans les manuels scolaires actuels, en repositionnant la production d’auteurs algériens pour mieux asseoir la dimension d’algérianeté, car les auteurs algériens ne représentent que 20% dans nos programmes scolaires”, a-t-elle précisé.
    Pour Mme Benghabrit, dans un contexte géopolitique des plus hostiles, l’enjeu pour notre pays est de former des jeunes équilibrés, en phase avec leur société, disposant d’atouts pour proposer, construire et réaliser leur projet personnel. “Il s’agit pour nous de faire acquérir aux futures générations des connaissances qui leur permettent d’être en phase avec leur identité, mais aussi compétitifs dans un monde où les standards de performance sont de plus en plus exigents”, a-t-elle martelé.


    Djazia Safta

  • #2
    la transmission de contenus notionnels, devra être dépassée en faveur du développement intégral de l’apprenant en termes de connaissances, d’attitude, de valeurs et de compétences.
    et BINGO !

    elle a touché du doigt et le mal qui nous plombe (inculquer des tas de notions à nos enfants dont il n'y voient aucun interet), et la solution pour nous en sortir !

    il faut d'abord commencer à découvrir et développer les aptitudes innées de nos enfants. Ces aptitudes sont peut être très basiques mais tellement puissantes :
    - leur curiosité
    - leur gout innée sur des choses et pas d'autres
    - leur sensibilité
    - la volonté d'être une personne autonome.
    - l'adaptation au changement
    - leur degré de sociabilité
    - leur appréhension
    - leurs préoccupations
    ...etc

    et c'est à partir de ce travail en amont avec ses élèves, que tout instituteur, tout enseignant et tout pédagoque qui se respecte, peut construire son cours. Ils se basera ainsi sur les aptitudes/préoccupations de ses élèves pour atteindre les objectifs qui lui sont assigné (des compétences comme : savoir rechercher l'info, analyser, décrire et exprimer une situation/un texte, résoudre un problème, ...etc).

    et c'est tout le contraire d'une démarche qui consiste à suivre bêtement le programme écrit dans un livre, et/ou une préparation de cours qu'il a faite 20 années avant !

    malheureusement, la plupart de nos enseignants sont incapables de faire ce travail préparatoires (soit par incompétence, soit par manque de volonté)..:22: alors, ils ne se cassent pas trop la tête !
    Lorsque vous changez votre manière de voir les choses, les choses que vous voyez changent !

    Ne cédez donc plus à la tentation de victimisation, si vous voulez êtes l’acteur principal de votre vie.

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    • #3
      Cette réforme ambitionne d’enraciner chez les enfants le sentiment d’appartenance au peuple algérien, de les élever dans l’amour de l’Algérie et la fierté de lui appartenir, ainsi que dans l’attachement à l’unité nationale, à l’intégrité territoriale et aux symboles représentatifs de la nation.*




      C'est ce qui a retenu mon attention, la notion d'appartenir au peuple algérien est le socle qu'il faut toujours fortifier. Souhaitons réussite aux réformes de Mme Benghebrit qui a su réunir autour d'elle des compétences qui pensent à l'avenir.
      Dernière modification par Aggour, 22 mars 2016, 08h35.

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      • #4
        deja ceux qui font les prgramme n'ont jamis eté des entrepreneurs ni createur de richesse eux meme des assistés des ex exclus des lycées car en algerie celui qui a reussi c'est celui qui fait medecine donc d'apres cette regle tout le monde a échoué..comment voulez vous un echouer peut faire reussir un autre??
        COMMENT VOULEZ QU4UN ASSIST2 VIVANT DE LA RENTE DU GOUVERNEMENT PUISSE SAVOIR C4EST QUOI LA CREATION DE RICHESSE POUR L4INCULQUER AUX AUTRES DEJA DANS SA FAMILLE CHEZ LUI OU CHEZ ELLE il ou elle a des enfants au chomage et qui attend une connaissance de le placer comme rentier derrière un bureau..comment voulez vous un parents qui a échouer de
        faire ces propres enfants des createurs de richesse puisse le faire pour d'autre enfants..
        deja la plateforme sur laquelle etait batie l'algerie en 62 est anormal et antinaturel..
        dans la periode ou l'lagerie etait naturel avant 62 lorsque le pere entend par sa femme que son enfant est a l'ecole il va hors de lui a l'ecole fonce la porte et retire son enfant..''tu es entrain de bourer les enfnats par des sotises va faire autre chose garder les moutons ou etaler ta petite amcrahndise volé du coin dans un marché et laisse mon enfant c'est moi qui le forme''
        vous donnez vos enfants a des begris et vous rouez vos enfants par des coup en les traitants d'anes..le grand ane c'est le directeur et les mulet sont les maitres d'ecoles

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        • #5
          Le Conseil national autonome du personnel enseignant du secteur ternaire de l'Education (Cnapest) a appelé, hier, dans un communiqué de presse, le ministère de tutelle à reporter l'application des programmes pédagogiques de deuxième génération, à l'année scolaire 2017/2018, tout en dénonçant l'exclusion des organisations syndicales autonomes, dans l'élaboration des nouveaux programmes.*

          Le Cnapest a estimé que le ministère mène son projet de révision des programmes scolaires, en toute opacité, prenant ainsi en otage, l'avenir de millions d'élèves, des trois cycles. Le syndicat qui a dressé un réquisitoire d'une rare virulence à l'encontre de la tutelle, accuse le ministère d'«improvisation» et de «précipitation», dans le lancement de cette énième réforme du système éducatif. Le Cnapest prône une «révision douce» des programmes scolaires, avec l'implication de tous les intervenants, dans le système scolaire. Le syndicat défend l'option d'une «réforme progressive», avec la révision des programmes, au fur et à mesure, dans les premières années du cycle primaire. Cette riposte du Cnapest intervient, trois jours seulement, après les déclarations de la ministre du secteur qui a lancé une campagne d'explicitation des programmes scolaires de 2ème génération des réformes.*

          «Nous entamons, à partir de cette semaine, une explicitation auprès des partenaires sociaux, sur les grandes lignes de ces programmes de 2ème génération des réformes dont l'essentiel relève de la problématique des valeurs», a déclaré la ministre, sur les ondes de la Radio nationale.*

          Elle a expliqué que le ministère «est en train de rendre public un travail qui est mené par la Commission nationale des programmes, qui en 2009, a édité le référentiel des programmes et de méthodologie», expliquant que «ce programme est en lien direct, avec la loi sur l'orientation de 2008». La Commission des programmes était composée de quelque 200 experts, ayant travaillé, dans 23 groupes spécialisés dans diverses disciplines. La ministre a défendu une «capitalisation de l'expérience, depuis 2003, en matière de conception et d'élaboration des programmes».*

          Il est à noter que selon le ministère, les nouveaux programmes favorisent l'implication de l'élève dans l'opération éducative, à travers sa participation, en classe, et l'acquisition d'un bon profil comportemental, par les cours d'éducation islamique et d'éducation civique. Pour le ministère, le profil de sortie de l'élève de la première et de la deuxième année primaire passe par l'acquisition de «la lecture, de l'écriture et du calcul».*

          Les réformes de 2ème génération devraient recadrer, avec précision, le domaine d'apprentissage appelé dans les programmes précédents «unité», tout comme elles redéfinissent la formation cognitive exigée de l'élève.*

          L'élève devra avoir un autre rôle, en classe, en participant à la recherche de solutions aux problèmes posés alors que l'enseignant continuera d'assurer la guidance scolaire par des méthodes modernes d'enseignement.*

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          • #6
            Bravo Madame Benghabrit ! vous appliquez le Talmud à la lettre :
            « Le monde ne se maintient en vie que par les souffles des enfants qui étudient ». Talmud de Jérusalem, Chabbat 119, A.

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            • #7
              Selon la première responsable du secteur de l’éducation, cette réforme ambitionne d’enraciner chez les enfants le sentiment d’appartenance au peuple algérien, de les élever dans l’amour de l’Algérie et la fierté de lui appartenir, ainsi que dans l’attachement à l’unité nationale, à l’intégrité territoriale et aux symboles représentatifs de la nation.
              on appelle ça une tentative d'endoctrinement..
              jamais plus jamais dans l'histoire de l'homme un lieu ne lui procure attchement (amour) que si il ya la propriété privé..
              elle dit aimer l'algerie?? Mais on aime pas l'algerie pour son mot
              les americians aiment 1000 mille fois l'lagerie parceque ya du gaz..l'attachant c'est le gaz les plantes aromatique les plantes medicinale le poisson etc..c'est cel a essah le vrai

              donc notre madame doit reformuler cette diatribe en réecrivants
              ''cette reforme ambitionne d'enraciner chez les enfants le sentiment que le sol algerien lui appartient qu'il n'a pas aller a acheter son propre sol chez un autre algerien ou etranger, son attachement a ces biens du sol et du sous sol est une necessité de survis''

              voila maintenant les choses sont un peu claire
              on aime l'interet pas des mots creux qui ne disent rien..
              ya pas le nationalisme ya pas l'amour
              il ya l'attachement a un objet
              donc si l'lagerien n'a aucun attchement c'est normal il va immigre
              que reste t'il faire dans ce bled ou l'administration vend les lots de terrain si elle reçoit les ordres de mettre en vente..c'est pire que l'adminsitration coloniale..avant l'lagerien va chez le amire français lui demander un permis de construire dans les 48 heures il le recevera..car l'algerie avant 62 appartenait bel et bien au colons et aux algeriens..
              Dernière modification par trinita2, 25 mars 2016, 22h05.

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              • #8
                ALGER-* Les programmes pédagogiques de deuxième génération, reposent sur le développement des capacités cognitives et l'esprit d'analyse et de déduction de l'élève contrairement aux programmes précédents axés sur l'apprentissage par mémorisation, se sont accordés à dire des* pédagogues, mardi à Alger.

                Le président de la commission nationale des programmes au ministère de l'Education nationale, Farid Adel, a indiqué dans une déclaration à l'APS que les programmes de deuxième génération, qui seront appliqués dés la prochaine rentrée (2016-2017), "visent le développement des capacités cognitives et de l'esprit d'analyse et de déduction de l'apprenant contrairement aux programmes précédents qui, eux, étaient axés sur l'apprentissage par mémorisation".

                L'objectif* escompté de ces programmes est de créer une activité interactive en classe, à travers le travail de groupes, pour favoriser le développement des aptitudes et compétences de l'élève", a-t-il ajouté.

                Dans cette équation, l'enseignant assumera le rôle d'organisateur, d'animateur et de facilitateur du processus didactique".

                Il s'agira surtout, a-t-il soutenu, de cerner les facultés de l'élève afin de déterminer son profil par anticipation et a travers une évaluation périodique à chaque fin de palier (primaire, moyen et secondaire), le but d'une telle démarche étant d’appréhender son avenir professionnel.

                Selon lui, les programmes de deuxième génération sont fondés sur le principe de "l'approche globale" qui permet d'évoquer le même sujet à travers différentes matières, scientifiques et littéraire, en fonction des spécificités de chacune.

                Afin de concrétiser cette approche sur le terrain, un travail commun doit être fait par les enseignants dans le cadre d'un "conseil de classe" au sein des établissements scolaires pour préparer les leçons et trouver des solutions aux problématiques qui peuvent être posées.

                Dans ce nouveau concept, l'évaluation n'est plus un outil de sanction mais un moyen de comprendre les défaillances que l'élève présente.

                Farid Benramdane, conseiller pédagogue au ministère de l'Education nationale a indiqué que les réformes de 2e génération apportent "des améliorations" aux programmes actuels sans toucher à la structure des matières ni à leur volume horaire.

                Il a précisé que ces changements cibleront "les contenus et les méthodes d'enseignement en focalisant notamment sur la transmission des valeurs de l'identité algérienne et la compréhension des cours".

                Ces nouvelles méthodes permettront à l'élève de développer ses capacités cognitives et d'apprendre à raisonner par la logique, a-t-il ajouté.

                Abdelaziz Berrah, membre de la commission nationale des programmes a indiqué de son côté, que les réformes de deuxième génération constituent "une avancée" du fait que les nouveaux programmes favorisent l'implication de l'élève dans l'opération éducative à travers sa participation en classe et l'acquisition d'un bon profil comportemental par les cours d'éducation islamique et d'éducation civique.

                Il a ajouté que le profil de sortie de l'élève de la première et de la deuxième année primaire passe par l'acquisition de "la lecture, de l'écriture et du calcul".

                M. Seddik Mihoubi, inspecteur formateur en enseignement primaire à Msila a affirmé pour sa part que les réformes de 2e génération recadrent avec précision le domaine d'apprentissage appelé dans les programmes précédents "unité", tout comme elles redéfinissent la formation cognitive exigée de l'élève.

                Il a souligné dans ce contexte que l'élève aura désormais un autre rôle en classe en participant à la recherche de solutions aux problèmes posés alors que l'enseignant continuera d'assurer la guidance scolaire par des méthodes modernes d'enseignement.

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                • #9
                  Un bon coup de balai dans ces écuries d'Augias de programmes scolaires s'impose en effet! programmes scolaires inspirés et infestés par tant d'années d' idéologie religieuse rétrograde. On en voit le résultat sur la génération d'aujourd'hui. Une génération de parkingueur inculte et oisive.
                  .
                  Mais en avançant les dates du Bac au mois de Mai..!! pour cause de Ramadhan, avec pour conséquences décalage des dates d'examens et fin d'année plutôt que prévu..!! notre ministre fait tout le contraire de ce qu'elle souhaiterait faire (reformer l'école et l'éloigner du prosélytisme religieux...).

                  En tout cas, les fondamentalistes religieux et autres syndicats parasites qui squattent l'école depuis des années ont encore une fois gagné!
                  Dernière modification par Mounir2008, 26 mars 2016, 14h17.
                  Pensez faux, s'il vous plaît, mais pensez par vous-même. (DORIS LESSING)

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                  • #10
                    Bravo Madame Benghabrit ! vous appliquez le Talmud à la lettre :
                    « Le monde ne se maintient en vie que par les souffles des enfants qui étudient ». Talmud de Jérusalem, Chabbat 119, A.

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