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Trois chercheurs algériens lauréats du Prix Sanofi Algérie

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  • Trois chercheurs algériens lauréats du Prix Sanofi Algérie

    Trois chercheurs algériens lauréats du Prix Sanofi Algérie



    Le prix Sanofi Algérie de la Recherche en Santé a été remis à trois chercheurs algériens pour leurs contributions au développement de la recherche scientifique dans le domaine de la santé.

    La cérémonie de remise du prix s'est déroulée jeudi soir à Alger en présence de cadres des ministères de l'Enseignement supérieur et de la Recherche scientifique, de la Santé, de la Population et de la Réforme hospitalière ainsi que de professeurs et chercheurs dans le domaine de la santé.

    Le Prix Sanofi Algérie de la Recherche en Santé a connu un réel engouement avec 31 candidatures.
    Le premier prix estimé à deux millions de dinars algériens (2.000.000 DA) a été attribué à Belaaloui Ghania, de l’Université Hadj Lakhdar de Batna pour son travail intitulé "ADRA2A germline gene polymorphism is associated to the severity, but not to the risk, of breast cancer". Une étude sur le gène responsable du cancer du sein qui a touché un échantillon de 240 femmes atteintes et saines.
    La spécialiste a évoqué les difficultés qui entravent la recherche scientifique en Algérie, saluant les acteurs économiques et sociaux des secteurs publique et privé qui ont contribué à la concrétisation de son œuvre à travers la mobilisation des moyens nécessaires.
    Le deuxième prix d'un montant d’un million (1.000.000) de dinars algériens a été décerné à El Mecherfi Kamel Eddine, de l’Université des Sciences et Technologie Ahmed Ben Bella d’Oran pour son travail intitulé "Intérêts des biopuces à allergènes dans le diagnostic de l'allergie aux protéines du lait de vache". L'étude traite des allergies aux protéines de lait de vache chez les enfants.
    M. El Mecherfi a exprimé le souhait que cette recherche puisse permettre d'établir un partenariat avec le secteur privé en vue de la prise en charge des enfants prédisposés aux allergies aux protéines de lait de vache, d'une part, et à la lutte contre le cancer, d'autre part.
    Le troisième prix d'un montant de cinq cents mille (500.000) dinars algériens a été attribué à Zebboudj Abderezak de l’Université des Sciences et Technologie Houari Boumediene d’Alger pour son travail intitulé "Etude comparative des effets antinéoplasiques de l'As2O3 et du NaAsO2 sur les tumeurs associées à l'EBV".
    Le chercheur a saisi cette occasion pour saluer l'équipe médicale qui a concouru à la concrétisation de son étude, exprimant le souhait que cette étude puisse contribuer au développement de la recherche scientifique, notamment dans le domaine de la santé.

    Ce prix a été lancé en 2013 par le Dr. Elias Zerhouni, président de Monde de la Recherche et du Développement de Sanofi, lors de sa visite en Algérie à l'occasion de la pose de la première pierre de l'unité de Sidi Abdellah qui sera gérée par des compétences algériennes.
    Le prix Sanofi Algérie de la Recherche en Santé de la précédente édition a été attribué à une chercheuse de l'Université Abou Bekr Belkaid "de Tlemcen pour son étude sur les effets des pesticides sur la pomme de terre.

    huffpost maghreb
    Lorsque vous changez votre manière de voir les choses, les choses que vous voyez changent !

    Ne cédez donc plus à la tentation de victimisation, si vous voulez êtes l’acteur principal de votre vie.

  • #2
    Encourageante Initiative
    On commence a s intéresser aux travaux des chercheurs
    A quelque chose malheur est bon dit l adage
    أصبحنا أمة طاردة للعلماء مطبلة للزعماء

    Commentaire


    • #3
      Encourageante Initiative
      On commence a s intéresser aux travaux des chercheurs
      A quelque chose malheur est bon dit l adage
      effectivement !

      si on commence à faire ainsi, et surtout sponsoriser les travaux de recherches pour répondre à des besoins/préoccupations d'entreprises privés et publics, nos universités et nos écoles de formations sortiront de leurs torpeurs, et les profils de formation colleront mieux à la demande du marché.
      Lorsque vous changez votre manière de voir les choses, les choses que vous voyez changent !

      Ne cédez donc plus à la tentation de victimisation, si vous voulez êtes l’acteur principal de votre vie.

      Commentaire


      • #4
        Pour mieux comprendre la situation de la non recherche des Universités algériennes , les forumeurs intéressés sont priés de lire l'article paru dane le Quotidien d'Oran. Je laisse Pomaria s'exclamer et applaudir les pseudo scientiques et leur mentors assassins.


        QO 19 mars 2016


        Recherches en santé: Deuxième édition du prix Sanofi Algérie
        par M. Aziza

        Les chercheurs algériens continuent en dépit de leur volonté à galérer pour monter un projet de recherche, en raison du manque de moyens et l'absence de l'appui de la part des acteurs socioéconomiques. Sous-estimés, ils trouvent beaucoup de difficultés pour publier les résultats de leurs recherches dans les revues et journaux scientifiques internationaux.

        Telles sont les contraintes soulevées par Mme Bellaaloui Ghania de l'université de Hadj-Lakhdar de Batna, ayant remporté le 1er prix de la deuxième édition du prix Sanofi de la recherche en santé, lors d'une cérémonie ce jeudi à l'hôtel Mercure. Cette chercheuse algérienne, qui a travaillé durant quatre ans pour réaliser son projet de recherche sur « le rôle d'un génotype dans le cancer du sein et la possibilité d'utiliser un traitement adjuvant pour le traiter », a affirmé que la recherche clinique est très compliquée en Algérie. Et d'indiquer que ce genre de recherches est soumis à des barrières et des contraintes empêchant son développement. Elle cite la difficulté d'expérimenter des nouveaux médicaments sur des patients. Bellaaloui Ghania a précisé que les projets de recherches existent, plutôt l'idée existe, mais ce qui manque, ce sont l'encadrement, le financement et l'éthique.

        L'autre problème soulevé par la chercheuse, c'est la difficulté pour la publication des résultats de recherche dans les revues ou journaux scientifiques internationaux. La 1ère lauréate du prix Sanofi a affirmé que certains journaux scientifiques de renommée refusent la publication, avant même de jeter un coup d'œil sur les résultats du projet de recherche « surtout quand ça provient de l'Algérie et notamment quand ils voient le nom des universités qu'ils ne connaissent pas
        ». «Ils sous-estiment les travaux de recherche qui proviennent des pays comme l'Algérie». Elle a affirmé que ces journaux refusent parfois la publication sous prétexte de manque d'espace en demandant aux chercheurs algériens de patienter. La chercheuse a souligné que dans son cas, elle était obligée de publier vite les résultats de son projet de recherche, car l'intitulé du projet était déjà sur Internet. Et ce, par le fait que ce projet a été effectué dans le cadre des projets de recherche internationaux. journaux, mais la majorité ont refusé en citant un journal américain très connu. Mais apBellaaloui Ghania a affirmé qu'elle était sous pression et qu'elle avait contacté plusieursrès insistance, elle a pu enfin publier les résultats de son projet de recherches, le premier du genre dans le monde, sur le journal international des Pays-Bas édité par Springer.

        Le 2e lauréat, M. El Mecherfi Kamel Eddine de l'Université d'Oran et le 3e lauréat M. Zebboudj Abderezak de l'université d'Alger, ont estimé que le prix Sanofi est une excellente occasion aux chercheurs algériens pour montrer qu'il y a des jeunes qui font tout de même de la recherche, dans les universités algériennes.

        Le président de l'Agence thématique de recherche en science de la santé, le[B] Pr. Mohamed [/B]Bouziane, a affirmé, pour sa part, que la recherche en Algérie n'est pas l'affaire de l'université à elle seule, « mais c'est l'affaire de tous ». Et d'annoncer l'installation prochaine d'une commission interministérielle qui va, à son tour, définir les programmes de recherches nationaux prioritaires dans le domaine de la santé.

        Le directeur général de la recherche scientifique et du développement technologique, M. Abdelhafid Aourag, a évoqué la réalisation prochaine d'une étude sur le classement des gènes et des prédispositions génétiques chez les Algériens. Il précise que cette étude devra concerner 7 gènes qui augmentent les risques du cancer, en général, du cancer du sein en particulier, du diabète et de l'hypertension. Cette étude, précise-t-il, sera menée par le centre de recherche de Constantine, une fois validée par un conseil interministériel.

        L'engagement de Sanofi

        Le PDG de Sanofi Algérie, Pierre Labbé, a affirmé que son entreprise « compte 900 collaborateurs algériens dont 450 docteurs en pharmacie, en médecine et en biologie ». Pierre Labbé a également cité le collaborateur Dr Elias Zerhouni, président du Monde de la recherche et de développement de Sanofi, qui a lancé lui-même ce prix, lors de sa visite en Algérie en 2013. Le premier responsable de Sanofi Algérie a affirmé que ce prix permettra à stimuler et à encourager la recherche en Algérie, autour de la problématique de santé algérienne, pour transférer cette expertise de recherche vers les praticiens et pour des applications pratiques.

        A noter que cette deuxième édition a connu cette année un engouement avec 31 candidatures de très haut niveau, contre 11 candidatures pour la première édition.
        Dernière modification par KHORE, 23 mars 2016, 15h51.

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        • #5
          A quelque chose malheur est bon dit l adage
          Pas compris ce que tu veux dire ?

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          • #6
            Pour ma part je me demande ce que vaut réellement le prix SANOFI dans le monde scientifique?
            Est ce que cela équivaut à une publications dans une grande conférence par exemple?
            Hope is the little voice you hear whisper "maybe" when it seems the entire world is shouting "no!"

            Commentaire


            • #7
              Ce prix Sanofi existe en France également, les lauréats font partie de plusieurs catégories selon leurs travaux de recherche, et sont récompensés... C'est plutôt motivant

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              • #8
                Lonelyne tant mieux alors.

                Je n'ai pas une brillante image des labo pharmaceutiques mais si c'est un prix reconnu dans le milieu scientifique, je suis contente pour ces chercheurs algériens.
                Hope is the little voice you hear whisper "maybe" when it seems the entire world is shouting "no!"

                Commentaire


                • #9
                  Pour mieux comprendre la situation de la non recherche des Universités algériennes
                  On aimerait aussi comprendre ce qui gangrène ton cerveau !!!

                  Commentaire


                  • #10
                    Bonsoir Megane

                    Oui, les travaux ne portent pas seulement sur l'expérimentation des médicaments, ça peut être pour mieux comprendre les parasites par exemple, la génétique et tout

                    Commentaire


                    • #11
                      Bonsoir Lonelyne

                      Merci pour les précisions, j'avoue que c'est un domaine qui m'est complètement inconnu.
                      Hope is the little voice you hear whisper "maybe" when it seems the entire world is shouting "no!"

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                      • #12
                        khore
                        Pour mieux comprendre la situation de la non recherche des Universités algériennes , les forumeurs intéressés sont priés de lire l'article paru dane le Quotidien d'Oran. Je laisse Pomaria s'exclamer et applaudir les pseudo scientiques et leur mentors assassins.
                        je connais que trop bien le problème de la recherche en algérie, et ce mieux que quiconque. ok khore ???
                        j'y ai galéré pendant 8 longues années de ma vie. et je suis très fière de ce que j'ai pu faire, et ceci face à tous les obstacles et à tous les moins que rien que j'ai eu à subir.

                        de plus, la réponse à ton interrogation tu l'as dans ton propre article que tu postés. donc, si tu as un problème avec le système, ne tire pas surtout à boulet rouge sur ceux qui le subissent.

                        malheureusement, j'ai remarqué que tu es foncièrement contre tout algérien qui réussit, et pas seulement contre le système.

                        ta haine te perdras.
                        Dernière modification par Pomaria, 23 mars 2016, 17h07.
                        Lorsque vous changez votre manière de voir les choses, les choses que vous voyez changent !

                        Ne cédez donc plus à la tentation de victimisation, si vous voulez êtes l’acteur principal de votre vie.

                        Commentaire


                        • #13
                          Ce prix Sanofi existe en France également, les lauréats font partie de plusieurs catégories selon leurs travaux de recherche, et sont récompensés... C'est plutôt motivant
                          Il existe bien un Prix Sanofi -Pasteur . Sur le site de l'Institut on peut lire

                          Créés en 2012, les Prix Sanofi – Institut Pasteur sont le fruit d’une collaboration historique et privilégiée entre deux partenaires, Sanofi et l’Institut Pasteur, pour encourager et soutenir l’excellence et l’innovation scientifique au service de la santé. Ils constituent les premiers prix scientifiques internationaux honorant des chercheurs reconnus, à la fois par un centre de recherche académique international et un leader de l’industrie pharmaceutique. La dotation globale des Prix s’élève à 300 000 euros. - See more at:

                          http://www.pasteur.fr/fr/institut-pa....lG4TjtJ9.dpuf


                          Je n'ai pas trouvé trace du Prix Sanofi tout court. As tu d'autres renseignements à nous communiquer ?

                          S'il s'agit d'un prix uniquement algérien , nous serions en présence d'une double heffa . Un prix de circonstance accordée par une multinationale avec la complicité de la famille des importateurs algériens et le suivisme des ministères concernés gangrénés par la gente du même acabit.

                          Commentaire


                          • #14
                            je connais que trop bien le problème de la recherche en algérie, et ce mieux que quiconque. ok khore ???
                            j'y ai galéré pendant 8 longues années de ma vie. et je suis très fière de ce que j'ai pu faire, et ceci face à tous les obstacles et à tous les moins que rien que j'ai eu à subir
                            Na3tina ya Lella khat yadik

                            Cite nous l'intitulé d'une de tes publications ou plus prosaïquement ta collaboration à un travail scientifique en Algérie

                            n'hésite surtout pas à aborder le plus scientifiquement que tu peux les sujets qui t'ont retenu et en quoi les système t'a freiné.
                            Dernière modification par KHORE, 23 mars 2016, 17h48.

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                            • #15

                              de plus, la réponse à ton interrogation tu l'as dans ton propre article que tu postés. donc, si tu as un problème avec le système, ne tire pas surtout à boulet rouge sur ceux qui le subissent.
                              ceux qui le subissent ?

                              je ne m'arrête que sur le cas des collaborateurs du système. Les résidus des éradicateurs qui dorent la pilule du cha3b

                              en matière de boulets rouges , les miens sentent plutôt le réchaufé

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