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Je suis choquée par l’honnêteté et la gentillesse des gens
Pâques c’est pour bientôt,
Je n’aime pas le chocolat, les rites religieux, bon léger, mais vraiment léger, …
Et voilà que je me retrouve avec une grande quantité de chocolat spécial pâques, des œufs, des lapins, des petits sachets, des boites, … j’en fait quoi ?
Comme j’ai l’habitude de déposer les petits objets en bon état et dont je veux m’en débarrasser sur le trottoir en bas de chez moi, et que souvent ça part assez vite, je voulais faire de même avec les chocolats, sauf que c’est de la nourriture, je ne voulais donc pas la déposer par terre.
J’ai mis mes chocolats dans un joli sac bien ouvert bien à l’évidence et j’ai accroché une seule anse à la porte de l’immeuble, avant de partir faire ce j’avais à faire. Au retour (au bout de trois heures) je retrouve le sac soigneusement fermé, les deux onces accrochées à la porte !
J’avoue cela m’a choqué, je n’ai pas grandi dans des conditions pareils (Tirigo est une autre planète) ! Passé l’état de choque, vient ensuite un sentiment de satisfaction, finalement il y’a du bon dans les humains, et à la fin un sentiment d’extrême jalousie! Pourquoi diable, cela ne se passe pas comme ça à Tirigo !
Bon ceci ne dit pas ce que sont devenus mes chocolats, et bien j'ai fini par les déposer par terre, ils sont partis dans l’heure.
Je n’aime pas le chocolat, les rites religieux, bon léger, mais vraiment léger, …
Et voilà que je me retrouve avec une grande quantité de chocolat spécial pâques, des œufs, des lapins, des petits sachets, des boites, … j’en fait quoi ?
Comme j’ai l’habitude de déposer les petits objets en bon état et dont je veux m’en débarrasser sur le trottoir en bas de chez moi, et que souvent ça part assez vite, je voulais faire de même avec les chocolats, sauf que c’est de la nourriture, je ne voulais donc pas la déposer par terre.
J’ai mis mes chocolats dans un joli sac bien ouvert bien à l’évidence et j’ai accroché une seule anse à la porte de l’immeuble, avant de partir faire ce j’avais à faire. Au retour (au bout de trois heures) je retrouve le sac soigneusement fermé, les deux onces accrochées à la porte !
J’avoue cela m’a choqué, je n’ai pas grandi dans des conditions pareils (Tirigo est une autre planète) ! Passé l’état de choque, vient ensuite un sentiment de satisfaction, finalement il y’a du bon dans les humains, et à la fin un sentiment d’extrême jalousie! Pourquoi diable, cela ne se passe pas comme ça à Tirigo !
Bon ceci ne dit pas ce que sont devenus mes chocolats, et bien j'ai fini par les déposer par terre, ils sont partis dans l’heure.
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