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    Les détails de la nouvelle stratégie industrielle de l’Algérie seront dévoilés d’ici mi-janvier selon le ministre des Participations et de la Promotion des investissements, Abdelhamid Temmar.
    mardi 2 janvier 2007.
    A ce propos, le ministre a déclaré à la revue Eco News du Club des entrepreneurs et industriels de la Mitidja (CEIMI) que « l’Etat, compte tenu de la phase de transition dans laquelle se trouve l’économie algérienne, a décidé d’un choix d’entreprises industrielles publiques devant bénéficier du soutien et de l’aide nécessaires, en vue d’entreprendre des actions de partenariat ou de joint-venture avec d’autres partenaires sérieux ». Le travail mené en profondeur, depuis une année, « nous a persuadés que la nouvelle économie algérienne devrait reposer sur l’industrie, secteur en mesure d’assurer à l’Algérie une croissance durable », a souligné le ministre. Selon M. Temmar, l’étude en préparation sur la nouvelle stratégie devrait être achevée durant la première semaine de janvier pour pouvoir tenir, ensuite, une réunion nationale sur ce thème dont « dépend l’avenir de la nation ».

    La stratégie industrielle ambitionne, selon le ministre, « d’ériger l’Algérie en centre compétitif efficace et générateur d’une importante valeur ajoutée, à travers l’amendement du système économique, le développement des ressources humaines et un meilleur aménagement du territoire ». Il a également ajouté qu’il s’agit d’une restructuration profonde des infrastructures industrielles existantes et des potentialités que recèlent les opérateurs économiques en plus d’un cadre d’intervention efficace et flexible de l’Etat. En somme, la stratégie viserait à créer des sortes de pôles industriels ciblant des secteurs jugés intégrateurs (mécanique, électromécanique, matériaux de construction, pharmacie...) et pouvant avoir des effets d’entraînement importants sur le reste de l’activité économique.

    En septembre dernier, le ministre a fait savoir que certaines entreprises étaient gérées directement par son département. Il a signalé, dans ce sens, que le dossier d’ouverture du capital était ficelé pour la compagnie nationale de navigation Cnan et pour l’Entreprise nationale des gaz industriels (Engi). D’autres entreprises importantes, selon le ministre, procéderaient prochainement à l’ouverture de leur capital aux investisseurs privés. Il a cité, entre autres, Air Algérie, la SNTA (tabacs et allumettes), la SNVI (véhicules industriels) et Saïdal (pharmacie). Les derniers chiffres révélés par M. Temmar font état de 430 entreprises publiques privatisées sur les 1 200 privatisables et 300 autres éligibles à la privatisation dans l’immédiat. Il reste un millier d’entreprises à privatiser, selon M. Temmar. Sur ce chiffre, on compte quelque 140 grandes entreprises, alors que les entreprises de taille moyenne représentent environ 85 % du total et 160 entreprises ont été dissoutes.

    Synthèse de Billal, algerie-dz.com
    D’après le Jeune Indépendant

  • #2
    Soyons positifs

    C'est un début... gardons espoir et croyons que le liberalisme sera le vecteur de partage des richesses de l'algérie pour l'ensemble de sa population.

    Commentaire

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