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Nouvelle preuve des affinités pro israéliennes de l’opposition syrienne pro saoudienne : l’ancien dirigeant de la Coalition nationale syrienne, Ahmad Jarba a fait publier dans un journal israélien un message en hébreu appelant à soutenir l’opposition en Syrie. Et il ne serait pas contre une petite rencontre avec Benjamin Netanyahou.
Vu ses liens très étroits avec la dynastie des Saoud en Arabie, renforcés grâce à des parentés tribales, Jarba est considéré comme un poids lourd de l’opposition syrienne. Vivant en Egypte, il a lancé depuis quelques jours un nouveau mouvement, Tayyar al-Ghad al-Souri, (Le Courant du lendemain syrien).
Il semble avoir voulu sensibiliser le public israélien à son message politique, et lui a lancé « une opération séduction », estime le media russe Russia Today.
Il a fait rédiger son message en hébreu et l’a fait publier dans l’hebdomadaire israélien Ma’ariv Hashavua, affilié au Jerusalem Post, selon lequel le texte a été traduit par une « femme arabe israélienne vivant à Londres », en allusion aux palestiniens de territoires de 1948.
«Nous appelons toutes les forces nationales à chasser la tyrannie et seulement ensuite, nous choisirons la forme et le type d’Etat» syrien, explique notamment ce message.
Et l’opération séduction ne s’arrête pas là pour al-Ghad al-Souri, qui serait prêt à entamer des discussions publiques ou privées avec le gouvernement israélien, comme le rapporte une source proche du groupe.
Ma’ariv Hashavua révèle ainsi que le mouvement syrien a directement envoyé un message au Bureau du Premier ministre israélien Benjamin Netanyahou afin d’organiser une rencontre entre un haut responsable de l’Etat hébreu et Ahmad Jarba.
Comme cela est de coutume, avec les tentatives de rapprochement avec l’ennemi sioniste de la part de responsables arabes : la clandestinité est de mise. Le parti aurait conseillé aux opposants «d’envoyer leur message discrètement pour éviter de perdre leur crédibilité auprès du public syrien et parmi leurs soutiens potentiels dans le monde arabe».
Jarba qui vit actuellement en Egypte, a présidé entre juillet 2013 et juillet 2014, la Coalition nationale syrienne (CNS), une coalition de groupes d’opposition au président syrien Bachar el-Assad.
Le CNS comptait dès le début des personnalités syriennes prêtes à collaborer avec l’ennemi israélien, au cas où ils accèdent au pouvoir.
Renversant à 180 degrés le politique étrangère syrienne de mise depuis des décennies, et qui stipule la restitution de la totalité du plateau du Golan occupé comme condition préalable à tout accord, et constitue un pilier important dans l’axe de la Resistance au Moyen Orient.
La plus célèbre n’est autre que Bassma Kodmani connue pour ses relations avec des milieux sionistes en occident, et qui s’est rendu célèbre par son interview télévisée avec une télévision française avec des personnalités israéliennes auxquelles elle a exprimé toute son amitié et sa disposition à normaliser les relations de son pays avec Israël , une fois au pouvoir.
Avec Russia Today
axe de la résistance 27/03/2016
Vu ses liens très étroits avec la dynastie des Saoud en Arabie, renforcés grâce à des parentés tribales, Jarba est considéré comme un poids lourd de l’opposition syrienne. Vivant en Egypte, il a lancé depuis quelques jours un nouveau mouvement, Tayyar al-Ghad al-Souri, (Le Courant du lendemain syrien).
Il semble avoir voulu sensibiliser le public israélien à son message politique, et lui a lancé « une opération séduction », estime le media russe Russia Today.
Il a fait rédiger son message en hébreu et l’a fait publier dans l’hebdomadaire israélien Ma’ariv Hashavua, affilié au Jerusalem Post, selon lequel le texte a été traduit par une « femme arabe israélienne vivant à Londres », en allusion aux palestiniens de territoires de 1948.
«Nous appelons toutes les forces nationales à chasser la tyrannie et seulement ensuite, nous choisirons la forme et le type d’Etat» syrien, explique notamment ce message.
Et l’opération séduction ne s’arrête pas là pour al-Ghad al-Souri, qui serait prêt à entamer des discussions publiques ou privées avec le gouvernement israélien, comme le rapporte une source proche du groupe.
Ma’ariv Hashavua révèle ainsi que le mouvement syrien a directement envoyé un message au Bureau du Premier ministre israélien Benjamin Netanyahou afin d’organiser une rencontre entre un haut responsable de l’Etat hébreu et Ahmad Jarba.
Comme cela est de coutume, avec les tentatives de rapprochement avec l’ennemi sioniste de la part de responsables arabes : la clandestinité est de mise. Le parti aurait conseillé aux opposants «d’envoyer leur message discrètement pour éviter de perdre leur crédibilité auprès du public syrien et parmi leurs soutiens potentiels dans le monde arabe».
Jarba qui vit actuellement en Egypte, a présidé entre juillet 2013 et juillet 2014, la Coalition nationale syrienne (CNS), une coalition de groupes d’opposition au président syrien Bachar el-Assad.
Le CNS comptait dès le début des personnalités syriennes prêtes à collaborer avec l’ennemi israélien, au cas où ils accèdent au pouvoir.
Renversant à 180 degrés le politique étrangère syrienne de mise depuis des décennies, et qui stipule la restitution de la totalité du plateau du Golan occupé comme condition préalable à tout accord, et constitue un pilier important dans l’axe de la Resistance au Moyen Orient.
La plus célèbre n’est autre que Bassma Kodmani connue pour ses relations avec des milieux sionistes en occident, et qui s’est rendu célèbre par son interview télévisée avec une télévision française avec des personnalités israéliennes auxquelles elle a exprimé toute son amitié et sa disposition à normaliser les relations de son pays avec Israël , une fois au pouvoir.
Avec Russia Today
axe de la résistance 27/03/2016
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