Rachid Nekaz offre 1 milliard de récompense pour 'coincer' Chekib Khelil
Mirou
Insolite dans les annales de l'histoire algérienne. Du jamais vu, du jamais entendu qu'un politique algérien offre une prime aussi mirobolante pour trainer en justice un autre politique. Rachid Nekaz ose et se dit disposé à offrir une somme de 1 milliard à toute personne qui lui fournirait des preuves sur l'implication de Chakib Khelil dans les affaires pas très propres ayant entaché la prestigieuse société pétrolière algérienne, Sonatrach, en l'occurrence.
Ce dernier est toujours au centre d'une gigantesque affaire de corruption alors qu'il était ministre de l'Énergie à l'époque et dirigeait, d'une main de fer, Sonatrach. 'Le pourboire' issu des contrats gaziers entre Sonatrach et le géant pétrolier italien Saipem s'élève à 197 millions de dollars qu'il aurait empochés et placés sur son compte personnel, selon les indiscrétions faites par le patron du Drs à un parlementaire
Chakib Khelil qui a été quelque peu inquiété, avait quitté dans la précipitation le pays dès le début de l'instruction en se réfugiant aux Usa après avoir liquidé ses bien immobiliers ; un long séjour qui allait durer 3 ans, considéré pour certains, comme une traversée du désert. Alors que chacun croyait qu'il allait être inculpé, ce dernier revient par la grande porte et avec les honneurs dignes d'un chef d'État.
Le garde des sceaux, le procureur général et le juge d'instruction qui avaient osé s'intéresser de près à son dossier ont été tout simplement 'remerciés' et poussés à la porte, sans la moindre explication.
Chakib Khelil qui est l'ami d'enfance de Bouteflika, se considère, comme il l'avait reconnu publiquement, du clan présidentiel, ce qui lui aurait donné le privilège des gens intouchables.
Mirou
Insolite dans les annales de l'histoire algérienne. Du jamais vu, du jamais entendu qu'un politique algérien offre une prime aussi mirobolante pour trainer en justice un autre politique. Rachid Nekaz ose et se dit disposé à offrir une somme de 1 milliard à toute personne qui lui fournirait des preuves sur l'implication de Chakib Khelil dans les affaires pas très propres ayant entaché la prestigieuse société pétrolière algérienne, Sonatrach, en l'occurrence.
Ce dernier est toujours au centre d'une gigantesque affaire de corruption alors qu'il était ministre de l'Énergie à l'époque et dirigeait, d'une main de fer, Sonatrach. 'Le pourboire' issu des contrats gaziers entre Sonatrach et le géant pétrolier italien Saipem s'élève à 197 millions de dollars qu'il aurait empochés et placés sur son compte personnel, selon les indiscrétions faites par le patron du Drs à un parlementaire
Chakib Khelil qui a été quelque peu inquiété, avait quitté dans la précipitation le pays dès le début de l'instruction en se réfugiant aux Usa après avoir liquidé ses bien immobiliers ; un long séjour qui allait durer 3 ans, considéré pour certains, comme une traversée du désert. Alors que chacun croyait qu'il allait être inculpé, ce dernier revient par la grande porte et avec les honneurs dignes d'un chef d'État.
Le garde des sceaux, le procureur général et le juge d'instruction qui avaient osé s'intéresser de près à son dossier ont été tout simplement 'remerciés' et poussés à la porte, sans la moindre explication.
Chakib Khelil qui est l'ami d'enfance de Bouteflika, se considère, comme il l'avait reconnu publiquement, du clan présidentiel, ce qui lui aurait donné le privilège des gens intouchables.
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