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Régime flexitarien : mincir en mangeant moins de viande

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  • Régime flexitarien : mincir en mangeant moins de viande

    Et si devenir végétarien à temps partiel était la clé pour mincir durablement ? En plus, cette nouvelle pratique alimentaire fait du bien à son organisme. On vous dit comment faire concrètement.

    Voici les cinq principes clés de ce régime, qui permet de s’alléger et de se détoxifier en faisant la part belle aux aliments issus du règne végétal.

    1. Le flexitarien accorde une place centrale aux fruits et aux légumes frais

    Ces aliments frais renferment des fibres qui captent les graisses et les toxines pour les éliminer dans les selles. Ils regorgent aussi de vitamines, minéraux et antioxydants indispensables au bon fonctionnement de l’organisme. Enfin, ils remplissent l’estomac et rassasient bien.

    En pratique :

    on consomme des légumes au déjeuner et au dîner, en entrée et/ou en plat principal, à satiété, en panachant cru et cuit pour profiter d’un maximum de micronutriments sans bousculer ses intestins ;
    les fruits contenant davantage de sucre, on se contente de deux portions (100 à 150 g selon le fruit) par jour, au petit déjeuner et à un des deux repas principaux. On privilégie ceux de saison qui apportent ce dont l’organisme a le plus besoin à cette période.


    2. Le flexitarien assure ses apports en protéines avec les céréales et les légumes secs

    On en trouve de bonnes quantités dans les légumineuses (pois chiches, haricots secs, lentilles...), les céréales et graines (blé complet, riz, sarrasin, quinoa...) et les algues.

    Hormis le soja et le quinoa, toutes ces sources n’apportent pas tous les acides aminés (constituants des protéines) essentiels à l’organisme : il est nécessaire de consommer des céréales et des légumineuses au cours d’un même repas ou d’une même journée pour assurer ses besoins.

    En pratique :

    en l’absence de viande, poisson ou œuf, on prévoit au moins une source de protéines végétale ;
    à l’un des deux repas, on consomme 150 g (poids cuit) d’un mélange légumineuses + céréale (riz + lentilles, pois chiche + semoule...). À l’autre, on prévoit 50 à 100 g de soja, algues ou quinoa (poids cuit). On y associe toujours des légumes.

    3. Le flexitarien complète avec des œufs et des laitages animaux et/ou végétaux

    Les œufs et les produits laitiers – surtout les fromages – sont riches en protéines de haute valeur biologique. Les jus végétaux (soja, amande, riz, avoine...) et leurs dérivés (yaourts, crèmes...) en renferment aussi des quantités non négligeables. En manger chaque jour en petites quantités permet de compléter les apports en protéines.

    En pratique :

    on prévoit des œufs deux à trois fois par semaine, pour réaliser des préparations (flans, tartes...) et/ou natures ;
    et on consomme un à deux laitages par jour, en privilégiant ceux issus de petits animaux (chèvre, brebis) ou les versions végétales (yaourt de soja...) si on tolère mal le lait de vache.

    4. Le flexitarien privilégie les graisses d’origine végétale

    Contrairement à ceux contenues dans les viandes grasses, la crème et le beurre, les huiles végétales et des oléagineux, polyinsaturés, sont peu stockés par l’organisme qui les utilise pour renouveler les membranes de ses cellules.

    En pratique :

    on consomme chaque jour 2 à 3 c. à soupe rases d’huiles végétales variées. Pour la cuisson, on privilégie l’olive, et pour l’assaisonnement, on opte pour le colza, la noix et la cameline ;
    on intègre aussi régulièrement des oléagineux à son alimentation : en plus d’être riches en bons acides gras, ils contiennent aussi des protéines ! Dans ce cas, on remplace 1 c. à soupe d’huile de la journée par 20 g d’amandes, noix, noisettes...

    5. Le flexitarien consomme de la viande et du poisson quand ça lui fait envie

    En manger en excès pouvant s’avérer potentiellement mauvais pour la santé, notamment en raison des substances toxiques qu’ils sont susceptibles de contenir (métaux lourds dans les gros poissons gras, hydrocarbures aromatiques polycycliques dans les viandes transformées...), plus question d’en mettre au menu midi et soir ! Mais on ne s’en prive pas si on apprécie, d’autant qu’ils contiennent aussi des nutriments indispensables à l’organisme (fer, zinc...).

    En pratique :

    deux à trois fois de poisson et une à deux fois de viande par semaine, c’est suffisant quand on équilibre son assiette à côté !
    on privilégie la qualité, en préférant les petites espèces de poissons (maquereau, sardine...) et les morceaux maigres de viandes labellisées d’animaux élevés en plein air.


    Santémag
    ❤️ ❤️ Two souls with but a single thought ❤️ Two hearts that beat as one❤️ ❤️

  • #2
    Il faut manger avec modération et puis c'est tout, j'aime pas ces programmes..et bouger bien-sûr..
    PEACE

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