Mirou
Deux journaux, The Age et the Huffington Post américain viennent de jeter un pavée dans la marre en publiant les résultats d’une enquête de grande envergure de corruption ayant entaché une nouvelle fois la prestigieuse société pétrolière algérienne (Sonatrach) au temps où Chakib Khelil était ministre de l’Energie.
Quelque 750 000 de dollars de pots de vins ont été versés à des responsables algériens qui, grâce à des combines mafieuses, ont facilité aux géants sud coréens Samsung; Hyundai) et l'italien Saipem (encore) de rafler des contrats d’une valeur globale de 1,8 milliard de dollars.
C’était grâce à une société établie à Monaco qui a servi de courroie de transmission entre les sud-coréens et les italiens d'une part et les pétroliers algériens d’autre part, que des contrats ont été cédés moyennant des dessous de table conséquent, précise-t-on.
La société monégasque du nom Unaoil avait sollicité une entreprise espagnole Tecnicas Reunidas pour tenir le rôle de figurant concurrentiel pour que les marchés puissent se faire en toute crédibilité, hors de tout soupçon, en contrepartie de quelque 16 millions de dollars.
Cette enquête a été rendue possible grâce aux fuites des échanges électroniques qui ont permis de découvrir les pot aux roses
Deux journaux, The Age et the Huffington Post américain viennent de jeter un pavée dans la marre en publiant les résultats d’une enquête de grande envergure de corruption ayant entaché une nouvelle fois la prestigieuse société pétrolière algérienne (Sonatrach) au temps où Chakib Khelil était ministre de l’Energie.
Quelque 750 000 de dollars de pots de vins ont été versés à des responsables algériens qui, grâce à des combines mafieuses, ont facilité aux géants sud coréens Samsung; Hyundai) et l'italien Saipem (encore) de rafler des contrats d’une valeur globale de 1,8 milliard de dollars.
C’était grâce à une société établie à Monaco qui a servi de courroie de transmission entre les sud-coréens et les italiens d'une part et les pétroliers algériens d’autre part, que des contrats ont été cédés moyennant des dessous de table conséquent, précise-t-on.
La société monégasque du nom Unaoil avait sollicité une entreprise espagnole Tecnicas Reunidas pour tenir le rôle de figurant concurrentiel pour que les marchés puissent se faire en toute crédibilité, hors de tout soupçon, en contrepartie de quelque 16 millions de dollars.
Cette enquête a été rendue possible grâce aux fuites des échanges électroniques qui ont permis de découvrir les pot aux roses
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