Le Monde sera attaqué en justice par l’état Algérien.
Pourquoi le Maroc n'attaque pas Le Monde?
Le quotidien français Le Monde, qui a une façon tendancieuse de présenter les événements et en particulier lorsqu’il s’agit de l’Algérie, a tenté hier un mélange des genres très vicieux et qui en dit long sur ses accointances et son parti pris.
Le président de la république Abdelaziz Bouteflika n’ a rien à voir, ni de près ni de loin, avec le scandale des « Panama Papers », mais pour le journal français, il lui a suffi de divulguer deux ou trois noms d’algériens pour faire un raccourci dont il a le secret et publier une photo du président en compagnie de personnalités en relation avec ce scandale.
Après les protestations officielles algériennes, ce journal, pris en flagrant délit de détournement d’images, faisant fi de la déontologie journalistique, a, la queue entre les jambes, rectifié le tir sans toutefois présenter d’excuses au président de la République, Abdelaziz Bouteflika pour avoir illustré sa photo en Une dans son édition du lundi autour d’un scandale financier impliquant plusieurs chefs d’états et des personnalités politiques et sportives.
Le Monde a publié un article intitulé « Précision » dans son édition de ce mardi où il indique que « contrairement à ce que la photo en une du Monde du 5 avril a pu laisser croire, le nom du président algérien, Abdelaziz Bouteflika, n’apparaît pas dans les Panama papers. Ce sont des proches du chef de l’Etat qui sont soupçonnés d’avoir détourné une partie des ressources du pays, comme le relevait notre article sur l’affaire Sonatrach ».
On remarquera que ce journal qui voue une haine féroce à l’encontre de notre pays, a quand même placé une piqure en précisant qu’il s’agit de « proches du chef de l’Etat », tout comme il en peiersprofite pour remuer l’affaire dite « Sonatrach » en servant du réchauffé pour effectivement faire des raccourcis, tentant d’impliquer le président Abdelaziz Bouteflika.
Un dépôt de plainte en justice aurait été une bonne chose et une bonne manière de punir ce journal pour ses outrages.
Source"Algerie1
Pourquoi le Maroc n'attaque pas Le Monde?
Le quotidien français Le Monde, qui a une façon tendancieuse de présenter les événements et en particulier lorsqu’il s’agit de l’Algérie, a tenté hier un mélange des genres très vicieux et qui en dit long sur ses accointances et son parti pris.
Le président de la république Abdelaziz Bouteflika n’ a rien à voir, ni de près ni de loin, avec le scandale des « Panama Papers », mais pour le journal français, il lui a suffi de divulguer deux ou trois noms d’algériens pour faire un raccourci dont il a le secret et publier une photo du président en compagnie de personnalités en relation avec ce scandale.
Après les protestations officielles algériennes, ce journal, pris en flagrant délit de détournement d’images, faisant fi de la déontologie journalistique, a, la queue entre les jambes, rectifié le tir sans toutefois présenter d’excuses au président de la République, Abdelaziz Bouteflika pour avoir illustré sa photo en Une dans son édition du lundi autour d’un scandale financier impliquant plusieurs chefs d’états et des personnalités politiques et sportives.
Le Monde a publié un article intitulé « Précision » dans son édition de ce mardi où il indique que « contrairement à ce que la photo en une du Monde du 5 avril a pu laisser croire, le nom du président algérien, Abdelaziz Bouteflika, n’apparaît pas dans les Panama papers. Ce sont des proches du chef de l’Etat qui sont soupçonnés d’avoir détourné une partie des ressources du pays, comme le relevait notre article sur l’affaire Sonatrach ».
On remarquera que ce journal qui voue une haine féroce à l’encontre de notre pays, a quand même placé une piqure en précisant qu’il s’agit de « proches du chef de l’Etat », tout comme il en peiersprofite pour remuer l’affaire dite « Sonatrach » en servant du réchauffé pour effectivement faire des raccourcis, tentant d’impliquer le président Abdelaziz Bouteflika.
Un dépôt de plainte en justice aurait été une bonne chose et une bonne manière de punir ce journal pour ses outrages.
Source"Algerie1
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