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Les bureaux de change réautorisés à échanger les devises en Algérie

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  • Les bureaux de change réautorisés à échanger les devises en Algérie

    En mars dernier, devant l'APN, le gouverneur de la BA Mohamed Laksaci avait annoncé qu'un nouveau règlement relatif aux bureaux de change allait aider à "absorber les devises circulant dans le marché informel", annonçant qu'une nouvelle instruction suivra pour augmenter la marge bénéficiaire de ces bureaux et définir l'ensemble des conditions de leur agrément.

    Mais, deux questions restent à poser selon lui: quel sera le niveau de l'offre de la devise? et est-ce que les bureaux de change seront assez attractifs pour attirer les fonds circulant dans le marché informel?

    La Banque d'Algérie avait ainsi introduit un règlement en 2007, relatif aux comptes devises, qui limite l'exercice des opérations de change aux banques.

    Le nouveau règlement de la Banque centrale, publié au journal officiel, est venu modifier l'article 21 du règlement de 2007 pour réautoriser les bureaux de change à effectuer des changes de devises

    Source: APS
    "نحن قوم أعزنا الله بالإسلام ..." Omar Ibn El Khettab RA

  • #2
    C'est juste du brassage d'air!...
    Les bureaux seront ouvert (par qui?) pour récupérer la devise en circulation à quel taux? Et le change se fera à sens unique?
    "La chose la plus importante qu'on doit emporter au combat, c'est la raison d'y aller."

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    • #3
      Selon vous, quelle est la personne qui détient des devises et qui accepterait de les céder au taux officiel à un bureau de change, alors qu’elle peut s’adresser au marché informel et réaliser une plus-value qui peut atteindre 50% ou même 80% dans certains cas ?"
      "La chose la plus importante qu'on doit emporter au combat, c'est la raison d'y aller."

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      • #4
        Si tu ne régule pas l offre et la demande tu continueras à acheter l euro 50% plus cher. Y compris dans les bureaux de change. Et les 50 pc ne seront pas déclarés

        C est une question de offre et de demande.S ils commencent par assécher la demande sur le marché informel en augmentant les allocations touristiques pas exemple, tu verras que la demande informelle baissera. Et la valeur de l euro sur le marché informel aussi.
        « Great minds discuss ideas; average minds, events; small minds, people. » Eleanor ROOSEVELT

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        • #5
          Ce matin au Square:177/178 achat-vente.

          Garder vos euros.Il va atteindre 200 bientot.
          My will is strong,it's my won't that is weak.

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          • #6
            dans le monde ya que les gens des pays ex socialiste qui cherchent les devise pour se sauver c'etait la periode du communiste au pouvoir..tout le monde voulait sauter le mur pour aller vers l'occident..dans toutes les capitle du clan de L'est tu n'entendais que chénge Chenge'' y'a vait de pontalon djean qui etait interdit de le vendre parceque c'est capitaliste..
            maintenant cette habitude est resté ancrés chez nous..tout le monde croient que nous sommes encore en periode socialiste la periode de boumedienne pas de produit du capitalisme..
            mais je ne comprend pas pourquoi cette habitude reste sinon que le systeme lui meme fait du trafique c'est a dire ya un loobie d'interet qui sevient encore qui faiy sortir des devises des banque et le revend au marché noir..il est donc fort possible que les devise du marché noir en gros est sortie de nos banques..parceque c'est simple si la banque centrale voudra aneantir ce reseaux parrallel elle offre des primes de changement ..chaque etrangers qui change ces devises dans la banque la banque lui offre une prime c'est a dire le change reste au taux officiel avec les primes
            le taux de changes va etre un peu superieur au taux du marché noir..
            a condition d'augmenter l'allocation touristique a 2000 dollars sinon il y aura une ouverture du marché noir incontrobles au niveaux des frontieres terrestre et cela va aggrver la situation securitaire car pour avoir des devises les pays limitrophe vont s'addoner a l'offre et le reseaux de trafique va se reformer..
            pour diminuer la demande au devise la seule solutions des pays developpe c'est le recours au credit multiforme..l'etat va éponger tous l'argent des saairié surtout dans l'immobilier et l'autoconstruction..une fois l'argent dinars sera tout mis dans les banques il y aura plus de dianrs en circulation
            la demande au devise va se reduire seulement aux gens qui font de l'inductrie car meme les petits industriel vont fermer porte car l'argent manquera aussi pour la consommation donc le prodcuteur ne pourra plus se permettre d'acheter des matires premires de l'etranger faute de pouvoir liquider son stock
            les chose economqiue sont claires donc ce sont les loobie de l'ancien systeme sociliste qui perdure et qui bloque ..faudra donner un grand coup dans la fourmillieres..une fois le credit relancer pour l'immobiler le steme socialiste speculatif mafieux va chuter
            par imibilier faut entendre habitation personelle l'algerien n'investi jamais dans le batiments
            donc vendre les lots de terrains et voir la rué vers les credits comment ils vont bousculer..

            Commentaire


            • #7
              en augmentant les allocations touristiques pas exemple,
              Avec Khellil dans les parages! Oublie!oeilfermé
              "La chose la plus importante qu'on doit emporter au combat, c'est la raison d'y aller."

              Commentaire


              • #8
                Guediri,

                Es tu vraiment sur?
                La vie est belle
                ۰•●♡●•۰۰•●♡●•۰۰•●♡●۰•●♡●•۰۰•●♡●•۰۰•●♡●•۰

                Commentaire


                • #9
                  Maghreb émergent source aps 06 04 2016

                  "......Le nouveau règlement de la Banque centrale, publié au du journal officiel, est venu modifier l'article 21 du règlement de 2007 pour réautoriser les bureaux de change à effectuer des changes de devises.
                  Quant aux prérogatives de ces bureaux, elles restent inchangées, par rapport à l'instruction 03-97 du 16 avril 1997, régissant l'activité de ces opérateurs: acheter des devises contre des Dinars pour ce qui est des résidents et non résidents et vendre des devises contre des Dinars pour les non-résidents exclusivement.
                  Cette vente des devises reste cependant conditionnée: elle ne peut se faire qu'à "concurrence du reliquat des dinars en leur (les non résidents) possession à la fin de leur séjour en Algérie et provenant d'une cession de devises préalablement réalisée", stipule le nouveau règlement.
                  En dehors de cette exception, l'achat des dinars contre des devises reste interdit aux bureaux de change.
                  Sinon, une convertibilité totale du Dinar, c'est à dire le libre achat et de vente de la monnaie nationale contre des devises serait "un suicide" pour la balance des paiements algérienne, dira une source bancaire à l'APS.
                  "Aucun pays émergent, qui a des rentrées limitées en devises ou issues d'une seule ressource, comme les hydrocarbures pour l'Algérie, ne peut autoriser une convertibilité totale de sa monnaie! car une telle mesure se répercutera immédiatement par une sortie massive des devises vers l'étranger", explique la même source.
                  "Même les institutions internationales les plus libérales comme le FMI n'ont pas demandé, ni à l'Algérie ni à un autre pays émergent, de rendre totalement convertible sa monnaie", soutient-on en réponse à certains observateurs ayant prédit une telle mesure.
                  Augmentation de la marge bénéficiaire
                  Selon la même source, le succès des bureaux de change dépendra tout de même de l'attractivité des taux de change qui y seront pratiqués.
                  "Une marge bénéficiaire de 1%, comme c'est le cas actuellement, veut dire que le bureau de change peut acheter la devise à un prix inférieur à 1% par rapport au taux de change de la BA et la vendre à un prix supérieur de 1% de ce taux, et c'est infime comme gain, comparé aux gains réalisés sur le marché informel de la devise", note un banquier.
                  Il faudrait de ce fait augmenter ces marges bénéficiaires de manière "très significatives", dira la même source.
                  Au moment où l'Euro par exemple oscille entre 190 DA et 165 DA au square Port-Saïd, depuis octobre dernier, il est échangé dans une fourchette autour de 120 DA sur le marché officiel, soit un écart qui atteint parfois les 60%.
                  Mais pour d'autres observateurs, le relèvement de la marge bénéficiaire des bureaux de change apportera peu à la lutte contre le marché informel de la devise.
                  "Pour contenir le marché parallèle de la devise, il faut d'abord contenir le marché parallèle au sens large du terme, car ce sont deux face d'une même pièce...le problème est d'ordre macro-économique et n'est pas un problème de rémunération", estime l'économiste Chafir Ahmine dans une déclaration à l'APS.
                  En plus, si l'écart entre les taux pratiqués par les bureaux de change et ceux du marché parallèle demeure important "il est clair que les gens opteront systématiquement pour ce dernier...il faudrait alors que les taux de change officiels soit alignés sur les taux de l'informel", extrapole-t-il.
                  En mars dernier, devant l'APN, le gouverneur de la BA Mohamed Laksaci avait annoncé qu'un nouveau règlement relatif aux bureaux de change allait aider à "absorber les devises circulant dans le marché informel", annonçant qu'une nouvelle instruction suivra pour augmenter la marge bénéficiaire de ces bureaux et définir l'ensemble des conditions de leur agrément.
                  Mais, deux questions restent à poser selon lui: quel sera le niveau de l'offre de la devise? et est-ce que les bureaux de change seront assez attractifs pour attirer les fonds circulant dans le marché informel?" .
                  Dernière modification par panshir, 08 avril 2016, 09h56.

                  Commentaire


                  • #10
                    la seule solution c'est de fixer le cours du change sur celui du marché parallele meme 10% en dessous il y aura un impact significatif-autrement cela ne sert strictement a rien puisque les banques font deja tout ça .

                    Commentaire


                    • #11
                      as de coeur
                      la seule solution c'est de fixer le cours du change sur celui du marché parallele meme 10% en dessous il y aura un impact significatif-autrement cela ne sert strictement a rien puisque les banques font deja tout ça .
                      tu n'as rien compris au fonctionnement du marché parallèle et à sa raison d'être.

                      même en fixant les cours des devises à x % plus que la valeur du cours parallèle, çà ne marchera absolument pas. Au contraire, le marché parallèle va encore et encore flamber...

                      pourquoi ?

                      la réponse est déjà dans l'article de panchir. car c'est le marché informel qui en la cause, et vue qu'il n'y a aucun controle de l'état sur ce dernier, c'est toujours ce marché qui décide et décidera. Pas du tout la banque d'Algérie.

                      il faut d'abord commencer à ramener l'économie informelle à la sphère formelle. Long, difficile, fastidieux travail de l'état algérien en perspective, et pour +sieurs années malheureusement.... et ceci, et si seulement si, elle s'en donne tous les moyens.

                      un potentiel phénoménal de plusieurs milliards de dinars/devises, de plusieurs millions d'employés/artisans, et de plusieurs centaines de milliers d'entreprises qui travaillent dans l'informel et dans le noir, qu'il faut sensibiliser, rassurer, rendre confiance dans les banques, offrir des garanties, des plus values...etc ...etc ...etc pour qu'ils rentrent dans la sphère formelle.
                      ce n'est qu'après que le gouverneur de la banque d'algérie peut avoir les moyens d'agir.

                      donc, toute autre tentative de la banque d'algérie dans l'état actuel des choses, n'est que perte de temps, d'argent et d'énergie pour rien.

                      full stop.
                      Dernière modification par Pomaria, 08 avril 2016, 11h02.
                      Lorsque vous changez votre manière de voir les choses, les choses que vous voyez changent !

                      Ne cédez donc plus à la tentation de victimisation, si vous voulez êtes l’acteur principal de votre vie.

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                      • #12
                        faux pommaria -il ne s'agit pas de supprimer le marché parallele -il existe partout y compris au panama et dans les capitales les plus surveillés du monde ...le probleme en algerie c'est qu'il est le systeme financier du pays et que tout le monde y a acces ,il n'est plus parallele ,il est la regle ...la ils viennent de reguler les transactions des importateurs -du moins c'est ce que benkhalfa raconte -les transactions sont electroniques depuis le debut du mois d'avril -on sait qui importe pour combien et ce qui rentre en douane ...cela va supprimer la surfacturation qui alimente en realité le marche parallele des devises...il reste a orienter l'argent des migrants algeriens dans le monde vers les bureaux de change -pour cela il suffit que le taux corresponde a celui du marché ...l'etat aurait un double taux de change -celui des banques pour les transactions controlées et un taux de change pour les transactions privés calqué sur le marché parallele...de toute façon l'etat se fiche du prix qu'il paie pour les devises puisqu'il imprimera -en revanche il ramasse la devise qui est precieuse pour ses caisses .Au venezuela il y a un taux differencié pour les medicaments par exemple et un taux pour le reste bien plus elevé.


                        l'offre et la demande fera le reste et l'objectif a terme c'est que le taux parallele rejoigne le taux bancaire mais pour cela il faut remettre les algeriens au boulot donc dans 5 a 10 ans.

                        Commentaire


                        • #13
                          as de coeur
                          pour cela il suffit que le taux corresponde a celui du marché ...
                          ha ha ha !

                          ca aurait été génial si c'était aussi facile.
                          la banque d'algérie aurait opté pour cette solution simpliste, il y a bien longtemps. malheureusement, ce n'est pas aussi simple que tu le penses.

                          car la banque d'algérie aura beau s'aligner sur le change parallèle, ce dernier et comme par miracle, augmentera .... encore et encore ...

                          un cycle infernale en somme...:22:

                          donc, décidement, tu n'as rien compris de la difficulté du contrôle du taux de change par la banque d'algérie, alors que c'est la sphère informelle qui le fait.

                          pas grave en tout cas. tu comprendras un jour ...
                          Dernière modification par Pomaria, 08 avril 2016, 11h13.
                          Lorsque vous changez votre manière de voir les choses, les choses que vous voyez changent !

                          Ne cédez donc plus à la tentation de victimisation, si vous voulez êtes l’acteur principal de votre vie.

                          Commentaire


                          • #14
                            Guediri,

                            Es tu vraiment sur?
                            Certain.

                            La Banque d’Algérie (BA) autorise désormais les bureaux de change à effectuer des opérations de change de dinars contre des devises étrangères, sous certaines conditions, en faveur « des personnes physiques non résidentes ». Le nouveau règlement, entré en vigueur ce mardi 5 avril, rappelle les conditions de cette cession de devise.
                            En réalité, cette mesure n’apporte rien de nouveau : il s’agit simplement d’une modification du règlement 07-01 de la Banque d’Algérie qui limitait ce type d’opérations aux intermédiaires agréés (banques commerciales) et la BA. Le nouveau texte vient donc simplement inclure les bureaux de change.
                            Touristes et hommes d’affaires étrangers
                            Désormais, les bureaux de change en Algérie pourront procéder à la « vente contre monnaie nationale de billets de banques libellés en monnaies étrangères librement convertibles, au profit des personnes physiques non-résidentes, à concurrence du reliquat des dinars en leur possession à la fin de leur séjour en Algérie et provenant d’une cession de devises préalablement réalisée », selon le texte. Il ne sera plus obligé de réaliser cette opération en banque ou au niveau de la BA.
                            Comprendre : lorsqu’un touriste ou un homme d’affaires ou toute personne ne résidant pas en Algérie, arrive dans le pays avec des devises, celui-ci peut, à la fin de séjour et après avoir converti cette monnaie en dinars, rechanger les dinars restants contre des devises. Ceci s’applique uniquement pour les non-résidents, c’est-à-dire ne vivant pas en Algérie. Surtout, ces dinars doivent provenir d’une opération de change de devises réalisée en Algérie et dans le circuit officiel, avec une preuve (un bordereau, par exemple) fournie par les bureaux de change.
                            Achat de devises auprès des résidents
                            La Banque d’Algérie autorise aussi les opérations de change « d’achat contre la monnaie nationale, de billets de banque et de chèques de voyages libellés en monnaie étrangères librement convertibles auprès des personnes physiques résidentes et non-résidentes (…) », précise le texte.
                            La mention des « résidents » indique que les personnes résidant en Algérie pourront également obtenir des dinars contre des devises auprès des bureaux de change. Une tentative de capter le maximum de devises et faire en sorte qu’elles ne s’orientent pas vers le marché parallèle.
                            Limiter le recours au marché noir : une mesure faible.
                            Ces mesures visent à encourager les visiteurs temporaires en Algérie à recourir au marché officiel. En effet, en autorisant les bureaux de change à mener ce genre d’opérations, après avoir encouragé leur multiplication en augmentant leurs marges, la Banque d’Algérie souhaite faciliter les opérations de change dans le circuit officiel.
                            Cela dit, le problème reste le même et cette mesure paraît faible : tant que les taux de change sur le marché parallèle seront largement plus élevés et donc attrayants, les Algériens comme les étrangers y auront toujours recours, pour des raisons évidentes de gain pécuniaire.

                            Ensuite il ne faut pas oublier que la saison du Hadj approche et comme chaque annee l'euro grimpe quoi qu'il arrive.
                            My will is strong,it's my won't that is weak.

                            Commentaire


                            • #15
                              Le ministre algérien des finances serait bien inspiré de venir jeter un coup d'oeil, il résoudrait l'équation...

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