Des pensées pansées
avril 2016 coronaria
Oh, que je suis triste aujourd’hui !
Telle une blessure qui ne veut guérir
Je me réveille aujourd’hui
Pour emprunter le chemin des temps
Je cherche ma peine à consoler
Avant que mes pleurs ne sèchent
Je me suis embarquée sur ces mots que j’écris
D’une encre qui ne veut sécher
Faites de ce cœur meurtri, qui cherche à sortir de soi
A travers mes écrits, je t’offre mes jours bercés de solitude
Des mots de tant d’ardeurs de mon cœur
Traduit en tendres chimères
Un souffle qui effleure la peau du chagrin
Des regards égarés
Pour libérer à jamais mes larmes asséchées
J’explore mon âme pour lui offre l’ultime délivrance
A l’ instant où ces mots qui, pour un moment
Nous réunis, maman
Se tariront pour que chacun de nous
Le cœur en chagrin, l'âme en peine
Reprenne sa solitude,mon cœur non, sans soucis
Ton souvenir sera mon compagnon de sommeil
Quand mes mots deviennent inutiles
Oh, cher maman
Sur cette voie où finit la raison
Mes yeux, ne distinguent que ton image
Mes oreilles n’entendent que le son de ta voix
Que ce bourdonnement de mes pas cheminant ce rêve là
Que de peurs, que de doutes, sur cette voie là
Tout n’est que rêve, même éphémère
Seul toi, mon cœur, peut emprunter cette voie
Tes pas t’y mènent, tu n’oublies jamais, le chemin
Qui te conduit là où tu peux retrouver ta joie
Tu reviens toujours, inconscient ou conscient
Bien que, souvent, tu as de la peine
Les larmes aux yeux, de t’avoir tant aimé maman
Et de ne l’avoir pas tant deviner
En voila un paradis fermé
Si je pouvais avoir quelques pouvoirs
J’aurais voulu une vie parsemé de rires de ma mère
De bout en bout, égayé par des anges
Ne plus être seule sur la promenade de la vie
N’être plus loin d’elle
Laissez partir le deuil
Et se réjouir simplement de la sentir revivre en moi
Avoir assez de bonheur pour rester moi
Et assez d’espoir, pour reproduire la joie
Ces mots de mon cœur sont un message
Pour pleurer ma mère
Telle une blessure qui ne veut guérir
Je me réveille aujourd’hui
Pour emprunter le chemin des temps
Je cherche ma peine à consoler
Avant que mes pleurs ne sèchent
Je me suis embarquée sur ces mots que j’écris
D’une encre qui ne veut sécher
Faites de ce cœur meurtri, qui cherche à sortir de soi
A travers mes écrits, je t’offre mes jours bercés de solitude
Des mots de tant d’ardeurs de mon cœur
Traduit en tendres chimères
Un souffle qui effleure la peau du chagrin
Des regards égarés
Pour libérer à jamais mes larmes asséchées
J’explore mon âme pour lui offre l’ultime délivrance
A l’ instant où ces mots qui, pour un moment
Nous réunis, maman
Se tariront pour que chacun de nous
Le cœur en chagrin, l'âme en peine
Reprenne sa solitude,mon cœur non, sans soucis
Ton souvenir sera mon compagnon de sommeil
Quand mes mots deviennent inutiles
Oh, cher maman
Sur cette voie où finit la raison
Mes yeux, ne distinguent que ton image
Mes oreilles n’entendent que le son de ta voix
Que ce bourdonnement de mes pas cheminant ce rêve là
Que de peurs, que de doutes, sur cette voie là
Tout n’est que rêve, même éphémère
Seul toi, mon cœur, peut emprunter cette voie
Tes pas t’y mènent, tu n’oublies jamais, le chemin
Qui te conduit là où tu peux retrouver ta joie
Tu reviens toujours, inconscient ou conscient
Bien que, souvent, tu as de la peine
Les larmes aux yeux, de t’avoir tant aimé maman
Et de ne l’avoir pas tant deviner
En voila un paradis fermé
Si je pouvais avoir quelques pouvoirs
J’aurais voulu une vie parsemé de rires de ma mère
De bout en bout, égayé par des anges
Ne plus être seule sur la promenade de la vie
N’être plus loin d’elle
Laissez partir le deuil
Et se réjouir simplement de la sentir revivre en moi
Avoir assez de bonheur pour rester moi
Et assez d’espoir, pour reproduire la joie
Ces mots de mon cœur sont un message
Pour pleurer ma mère
avril 2016 coronaria
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