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Mirou
Pour avoir été cité dans le scandale des 'Panama-Papers' le ministre espagnol de l’Industrie Jose Manuel Soria, présente sa démission. Ce dernier reconnait le tort évident qu'il a causé au gouvernant et au parti qu'l représente, le Parti Populaire, en l'occurrence.
Contrairement au 1èr ministre islandais qui a été contraint à quitter son poste à la suite d'une manifestation massive de ses compatriotes qui ont investi les rues dès l'annonce du scandale, José Manuel Soria, n'a pas attendu à ce que les choses prennent une tournure similaire. Il jette l'éponge.
Chez nous, au lieu de reconnaitre ses torts, Abdeslam Bouchouareb, cité au même titre que ces deux ministres, lui aussi ministre de l'industrie, a eu des réactions pour le moins inattendues et ridicules. Il crie, à celui qui veut l'entendre, que cette affaire n'est qu'un complot visant sa personne et par ricochet, le président Bouteflika.
tfou !
Pour avoir été cité dans le scandale des 'Panama-Papers' le ministre espagnol de l’Industrie Jose Manuel Soria, présente sa démission. Ce dernier reconnait le tort évident qu'il a causé au gouvernant et au parti qu'l représente, le Parti Populaire, en l'occurrence.
Contrairement au 1èr ministre islandais qui a été contraint à quitter son poste à la suite d'une manifestation massive de ses compatriotes qui ont investi les rues dès l'annonce du scandale, José Manuel Soria, n'a pas attendu à ce que les choses prennent une tournure similaire. Il jette l'éponge.
Chez nous, au lieu de reconnaitre ses torts, Abdeslam Bouchouareb, cité au même titre que ces deux ministres, lui aussi ministre de l'industrie, a eu des réactions pour le moins inattendues et ridicules. Il crie, à celui qui veut l'entendre, que cette affaire n'est qu'un complot visant sa personne et par ricochet, le président Bouteflika.
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