Corruption : Bouteflika décrète l’amnistie des hauts cadres de l’Etat
Publié par The Algerian Speaker sur 29 Mars 2016
Le retour de Chakib Khelil ne sera pas le seul, mais plusieurs autres hauts cadres de l’Etat accusés de corruption sont invités à rentrer au pays selon le secrétaire général du Front de Libération National, qui défend ces derniers en accusant le Département des Renseignements et de la Sécurité (DRS).
Selon Amar Sâadani, puisque de lui qu’il s’agit, Bouteflika aurait décidé «d’accorder l’amnistie aux hauts cadres de l’Etat en dépénalisant la gestion» dans une déclaration au site internet de la chaîne Qatarie Al Jazeera.
Amar Saâdani, invite tous les cadres de l’Etat victimes de faux procès de rejoindre leur pays et assumer leur responsabilité «sans honte» car «le président Bouteflika est décidé à réhabiliter tous les cadres injustement écartés» indique-t-il dans une déclaration au journaliste d’El Jazeera.
L’homme ayant été le premier du système à s’attaquer ouvertement au général Toufik mis en retraite par Bouteflika, après un présumé bras de force, rappelle que Sonatrach vit une situation difficile depuis le départ de Chakib Khelil, rappelant aussi que «l’Algérie avait accepté la réconciliation avec les terroristes extrémistes, comment ne pas le faire avec ses cadres» conclut Amar Saâdani.
Le chef de l’exécutif de l’ancien parti unique et fervent défenseur de Chakib Khelil avant son retour, accuse le DRS d’avoir monté des dossiers de corruption contre les hommes du président Bouteflika, afin de le déstabiliser et nuire au «travail qu’il accomplie depuis 1999».
Publié par The Algerian Speaker sur 29 Mars 2016
Le retour de Chakib Khelil ne sera pas le seul, mais plusieurs autres hauts cadres de l’Etat accusés de corruption sont invités à rentrer au pays selon le secrétaire général du Front de Libération National, qui défend ces derniers en accusant le Département des Renseignements et de la Sécurité (DRS).
Selon Amar Sâadani, puisque de lui qu’il s’agit, Bouteflika aurait décidé «d’accorder l’amnistie aux hauts cadres de l’Etat en dépénalisant la gestion» dans une déclaration au site internet de la chaîne Qatarie Al Jazeera.
Amar Saâdani, invite tous les cadres de l’Etat victimes de faux procès de rejoindre leur pays et assumer leur responsabilité «sans honte» car «le président Bouteflika est décidé à réhabiliter tous les cadres injustement écartés» indique-t-il dans une déclaration au journaliste d’El Jazeera.
L’homme ayant été le premier du système à s’attaquer ouvertement au général Toufik mis en retraite par Bouteflika, après un présumé bras de force, rappelle que Sonatrach vit une situation difficile depuis le départ de Chakib Khelil, rappelant aussi que «l’Algérie avait accepté la réconciliation avec les terroristes extrémistes, comment ne pas le faire avec ses cadres» conclut Amar Saâdani.
Le chef de l’exécutif de l’ancien parti unique et fervent défenseur de Chakib Khelil avant son retour, accuse le DRS d’avoir monté des dossiers de corruption contre les hommes du président Bouteflika, afin de le déstabiliser et nuire au «travail qu’il accomplie depuis 1999».
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