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Pourquoi Lamamra s'en prend aux Français mais pas aux Russes? -Vidéo-

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  • Pourquoi Lamamra s'en prend aux Français mais pas aux Russes? -Vidéo-

    La photo publiée par Valls à propos de "l'absent" Bouteflika pendant leur rencontre n's pas plu à Lamamra. Et pourtant il n'a pas demandé ce respect mutuel aux Russes qui ont largement diffusé la vidéo du Boutef totalement absent pendant sa rencontre avec Sergëi Lavrov. À la 13 ème seconde on peut voir le MAE russe regarder vers sa droite se demandant ce que Boutef a vu de plus interessant avec ses yeux ouverts et fixés vers le même endroit, ignorant peut être la gravité de sa maladie.




    Pas à la tique ..

  • #2
    Par humanité, on ne peut qu'avoir pitié et compassion pour l’état de cet homme.

    Et penser qu'en 2016, cet homme en souffrance dirige un pays...

    Cela semblerait bizarre même pour un leader d'une tribu de pygmées dans l'Afrique Centrale.

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    • #3
      ça pourrait evoluer

      CAPACITÉ DU PRÉSIDENT À GOUVERNER

      Le Conseil constitutionnel interpellé

      © Archives/Yahia/Liberté
      15
      L’image de Bouteflika, twittée par le Premier ministre français Manuel Valls dès son retour d’Alger où il a séjourné samedi et dimanche, est parlante. Le chef de l’État, et cela d’aucuns l’ont noté, ne paraît pas disposer de toutes ses capacités à assumer ses charges et fonctions.
      Cette image d’un Président physiquement diminué a grandement interpellé les citoyens qui, sur les réseaux sociaux, s’en sont hautement indignés. Elle interpelle aussi les institutions de la République, le Conseil constitutionnel, en premier chef, qui sont constitutionnellement chargés de veiller à ce que les charges présidentielles soient pleinement exercées. La Constitution fraîchement amendée stipule en effet dans son article 102 que “lorsque le président de la République, pour cause de maladie grave et durable, se trouve dans l’impossibilité totale d’exercer ses fonctions, le Conseil constitutionnel se réunit de plein droit, et après avoir vérifié la réalité de cet empêchement par tous les moyens appropriés, propose, à l’unanimité, au Parlement de déclarer l’état d’empêchement. Le Parlement siégeant en chambres réunies déclare l’état d’empêchement du président de la République, à la majorité des 2/3 de ses membres et charge de l’intérim du chef de l’État, pour une période maximale de 45 jours, le président du Conseil de la nation, qui exerce ses prérogatives dans le respect des dispositions de l’article 104 de la Constitution (…)”. Il se trouve, en effet, après la diffusion des images en question, que l’institution présidée par Mourad Medelci est mise en devoir de se mêler de ce qui la regarde vraiment, en l’espèce la vérification du bon fonctionnement de la haute institution qu’est la présidence de la République. Car, cette fois-ci, il ne s’agit pas pour elle de faire écho à une demande de l’opposition, laquelle pourrait, dans l’absolu, procéder de la surenchère politicienne, mais de réagir à une image troublante et très expressive quant à l’état de santé visiblement dégradé du chef de l’État.
      L’état physique dans lequel est apparu le président Bouteflika repose, plus que jamais, la problématique de l’empêchement réclamé depuis 2013 déjà par l’opposition politique. Une réclamation confortée, il faut le dire, par la sortie plus tard du groupe dit des “dix-neuf” qui a publiquement douté des capacités de Bouteflika à gouverner. Un Bouteflika qui, de surcroît, ne s’est pas directement adressé à son peuple depuis 2012 et qui n’est pas présent à son bureau au siège de la présidence de la République depuis près de trois ans. Les rares fois où il s’est rendu à El-Mouradia, c’est lorsqu’il a eu à présider les rares Conseils des ministres. Pour combler ce déficit en discours et en activités physiques du chef de l’État, une stratégie de communication a été pensée et mise en application. Elle a consisté en la systématisation d’audiences aux hôtes étrangers et la diffusion des clichés pris à l’occasion. Or, une telle stratégie ne pouvait qu’être porteuse de risques, le plus grand étant celui de devoir agir de la sorte, parce que l’opinion y est habituée, alors que le chef de l’État n’est pas au mieux de sa forme. C’est arrivé avec Manuel Valls. L’audience ne pouvait être zappée, puisque des personnalités de moindre rang, des maires notamment, y ont eu droit. La zapper aurait immanquablement relancé les supputations sur la santé de Bouteflika. Ce qui ne serait pas moins embarrassant pour le pouvoir.

      liberte algerie
      "Qui ne sait pas tirer les leçons de 3 000 ans, vit au jour le jour."
      Johann Wolfgang von Goethe

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      • #4
        mais bouteflika a pensé à tout

        Révision constitutionnelle : Bouteflika modifie l’article 88

        ACTUALITÉPOLITIQUE01.04.2015 16:56

        Le projet d’amendement de la Constitution comprend une série de mesures qui permettront à Abdelaziz Bouteflika, et surtout à ses proches, de garder le pouvoir encore très longtemps. La modification de l’article 88, qui permet de déclarer la vacance du pouvoir en cas de maladie du président, est sûrement l’acte le plus important pour la mise en œuvre de cette stratégie. Par Naziha Sadki




        Le texte portant amendement de la Constitution commence à livrer ses secrets. Mais ceux qui pensaient que la création du poste de vice-président serait la « mesure phare » de cette révision ont finalement fait preuve d’une grande naïveté.

        En effet, l’objectif majeur pour les tenants du pouvoir consiste à maintenir le plus longtemps possible Abdelaziz Bouteflika au sommet de la République. Victime d’un AVC en avril 2013, le président avait réussi à se faire « réélire » à un quatrième mandat une année plus tard. Mais une aggravation de son état de santé constitue une menace importante qui risque de mettre en péril les desseins du clan présidentiel. Cette menace porte le nom d’article 88 de la constitution.

        Cet article précise que : « lorsque le Président de la République, pour cause de maladie grave et durable, se trouve dans l’impossibilité totale d’exercer ses fonctions, le Conseil Constitutionnel, se réunit de plein droit, et après avoir vérifié la réalité de cet empêchement par tous moyens appropriés, propose, à l’unanimité, au Parlement de déclarer l’état d’empêchement.

        Le Parlement siégeant en chambres réunies déclare l’état d’empêchement du Président de la République, à la majorité des deux tiers (2/3) de ses membres et charge de l’intérim du Chef de l’Etat, pour une période maximale de quarante-cinq (45) jours, le Président du Conseil de la Nation, qui exerce ses prérogatives dans le respect des dispositions de l’article 90 de la Constitution.

        En cas de continuation de l’empêchement à l’expiration du délai de quarante-cinq (45) jours, il est procédé à une déclaration de vacance par démission de plein droit, selon la procédure visée aux aliénas ci-dessus et selon les dispositions des alinéas suivants du présent article ».

        Toute la partie traitant d’une vacance de pouvoir pour cause de maladie a été supprimée dans la nouvelle constitution. Les rédacteurs du texte n’ont gardé que les dispositions qui traitent de l’éventualité d’une démission ou du décès du président de la République. Voici l’article 88 reformulé : « en cas de démission ou de décès du Président de la République, le Conseil Constitutionnel se réunit de plein droit et constate la vacance définitive de la Présidence de la République ».

        Une nouvelle mesure a cependant été rajoutée à l’article 88, et c’est précisément là qu’intervient le Vice-président, poste créé à la faveur de cette nouvelle constitution : « en cas de décès ou de démission du Président de la République, le Vice-Président, immédiatement après le constat de la vacance du pouvoir par le Conseil constitutionnel, assume la fonction de Président de la République pour un mandat de cinq ans. Il jouit, dès sa prise de fonction, des pouvoirs que lui confèrent les articles 77, 78 et 79 de la constitution ».

        Dès adoption de la nouvelle constitution par voie parlementaire, qui devrait intervenir à la fin de ce mois, Abdelaziz Bouteflika désignera son Vice-Président. Pour l’heure, plusieurs personnalités sont pressenties à ce poste. Toutes ont un dénominateur commun : la fidélité à la famille Bouteflika.

        Reste maintenant à savoir comment réagira l’opposition. Les partis et les personnalités membres de la Coordination Nationale pour les libertés et la transition démocratique (CNLTD) et du Pôle des forces du changement qui considèrent que le président Abdelaziz Bouteflika est dans l’incapacité de gouverner, qu’il nécessaire de déclarer la vacance du pouvoir et d’organiser des élections présidentielles anticipées ?

        La modification de l’article 88 met donc fin à leurs revendications. Et transformera bientôt l’Algérie en « monarchie républicaine ».

        N.S
        impact24
        comme disait hollande : "rare de rencontrer un chef d'Etat qui a cette alacrité"
        Dernière modification par m.rico, 18 avril 2016, 11h49.
        "Qui ne sait pas tirer les leçons de 3 000 ans, vit au jour le jour."
        Johann Wolfgang von Goethe

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        • #5
          Une nouvelle mesure a cependant été rajoutée à l’article 88, et c’est précisément là qu’intervient le Vice-président, poste créé à la faveur de cette nouvelle constitution : « en cas de décès ou de démission du Président de la République, le Vice-Président, immédiatement après le constat de la vacance du pouvoir par le Conseil constitutionnel, assume la fonction de Président de la République pour un mandat de cinq ans. Il jouit, dès sa prise de fonction, des pouvoirs que lui confèrent les articles 77, 78 et 79 de la constitution ».
          Et c'est qui le vice president de l'Algerie maintenant ?

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          • #6
            pas encore désigné mais said garde ses chances intactes
            "Qui ne sait pas tirer les leçons de 3 000 ans, vit au jour le jour."
            Johann Wolfgang von Goethe

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            • #7
              Il me semble que l'article 88 a simplement changer de n° pour devenir 102 donc est faux ce qu'est avancé ,voilà on s'enthousiasme des qu'il s'agit de denigrer sans verifier ???????

              Alors le moyen de destituer le President existe toujours ,il s'agit de trouver ceux qui la mettrait en execution ????
              une pensée n’existe vraiment que si elle est comprise.

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              • #8
                Une nouvelle mesure a cependant été rajoutée à l’article 88, et c’est précisément là qu’intervient le Vice-président, poste créé à la faveur de cette nouvelle constitution : « en cas de décès ou de démission du Président de la République, le Vice-Président, immédiatement après le constat de la vacance du pouvoir par le Conseil constitutionnel, assume la fonction de Président de la République pour un mandat de cinq ans. Il jouit, dès sa prise de fonction, des pouvoirs que lui confèrent les articles 77, 78 et 79 de la constitution ».


                C'est d'office un mandat de 5 ans pour le vice-président !!!!!

                Pas pour une période de transitions de quelques mois comme dans la grande majorité de démocraties.!!!

                Il l'a fait fort la momie.

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                • #9
                  comme le frère de Castro
                  La haine aveugle

                  Commentaire


                  • #10
                    Si c'est Said Bouteflika qui l'a alors..... chapeau!! Entubage à l'italienne.

                    Commentaire


                    • #11
                      Il me semble que l'article 88 a simplement changer de n° pour devenir 102
                      Tout à fait. D'ailleurs, le texte de la Constitution révisée est disponible en ligne et n'importe qui peut aller le vérifier (voir Journal officiel). Tout ce qui a été posté en haut sont des supputations de journalistes basées sur des rumeurs. On exhibe des articles remontant à avril 2015, alors que la révision constitutionnelle n'a été adoptée qu'en février 2016 !
                      Fortuna nimium quem fovet, stultum facit.

                      Commentaire


                      • #12
                        Envoyé par fortuna Voir le message
                        On exhibe des articles remontant à avril 2015, alors que la révision constitutionnelle n'a été adoptée qu'en février 2016 !
                        tu as raison, c'est de ma faute et je viens de m'en rendre compte

                        mes excuses les gars
                        "Qui ne sait pas tirer les leçons de 3 000 ans, vit au jour le jour."
                        Johann Wolfgang von Goethe

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                        • #13
                          Pas grave, m.rico.
                          Allez, on va dire cette fois : Faute avouée, entièrement pardonnée.
                          Fortuna nimium quem fovet, stultum facit.

                          Commentaire


                          • #14
                            il a fallu un twwet venant de France pour qu'on se bouge lol, vivement d'autre tweet alors...
                            "Le patriotisme c'est l'amour des siens. Le nationalisme c'est la haine des autres". Romain Gary

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                            • #15
                              fortuna

                              tu es gentille, je craignais la corde
                              "Qui ne sait pas tirer les leçons de 3 000 ans, vit au jour le jour."
                              Johann Wolfgang von Goethe

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