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Taroudant, Kalaat Seraghna, Bejaad, Guercif et El Hajeb, sont les villes identifiées par l’agence marocaine pour l’énergie solaire (MASEN) pour accueillir les 5 nouveaux sites rentrant dans le cadre du plan solaire
Après avoir opté pour Ouarzazate, Midelt, Tata, Laâyoune et Boujdour, l’agence marocaine pour l’énergie solaire est entrain d’étudier les villes qui vont accueillir les 5 nouveaux sites s’inscrivant dans le cadre du plan solaire à savoir Taroudant, Kalaat Seraghna, Bejaad, Guercif et EL Hajeb. Quatre appels d’offres ont été lancés par MASEN dans ce sens, afin de réaliser des études topographiques, hydrologiques, géotechniques et sismiques en vue d’étudier la faisabilité des projets MASEN, et de s’assurer de la capacité de ces nouveaux sites à accueillir des centrales solaires selon les standards techniques exigés.
Se situant dans les communes rurales de Mchra El Ain (Taroudant), Laârarcha (Kalaat Seraghna), Oulad Gouaouch (Bejaad dans la province de Khouribga), Saka (Guercif) et Betit (El Hajeb), le lancement de ce chantier rentre dans le cadre de la stratégie globale visant à porter la part des énergies renouvelables dans le mix électrique nationale de 42% en 2020 à 52% en 2030 (avec 20% de solaire).
En effet, le détail de l’évolution du mix électrique national montre que la part détenu par le solaire, qui s’élève à 2% en 2015 (grâce à la centrale thermosolaire de Ain Beni Mathar de 472 MW), devrait passer à 14% en 2020 (principalement grâce aux complexes Noor de Ouarzazate, Midelt, Tata, Boujdour et Laâyoune), et à 16% en 2025 puis 20% en 2030, précise le quotidien Le Matin-Eco.
Dans ce sens, la capacité additionnelle de production d’électricité de sources renouvelables d’environ 10.100 MW qui sera réalisée sur la période 2016-2030, connaitra une contribution du solaire de l’ordre de 4.560.
En plus du développement de la technologie du solaire thermique à concentration (CSP), le Maroc prévoit également un programme pour le développement du photovoltaïque sur la base d’une feuille de route lancée en 2014. Ainsi, la mise en place de centrales solaires photovoltaïques de moyenne et grande capacités (environ 3.000 MW) est prévue à l’horizon 2030 et dont 40% soit 1.340 MW sera réalisée avant 2020.
Médias
Après avoir opté pour Ouarzazate, Midelt, Tata, Laâyoune et Boujdour, l’agence marocaine pour l’énergie solaire est entrain d’étudier les villes qui vont accueillir les 5 nouveaux sites s’inscrivant dans le cadre du plan solaire à savoir Taroudant, Kalaat Seraghna, Bejaad, Guercif et EL Hajeb. Quatre appels d’offres ont été lancés par MASEN dans ce sens, afin de réaliser des études topographiques, hydrologiques, géotechniques et sismiques en vue d’étudier la faisabilité des projets MASEN, et de s’assurer de la capacité de ces nouveaux sites à accueillir des centrales solaires selon les standards techniques exigés.
Se situant dans les communes rurales de Mchra El Ain (Taroudant), Laârarcha (Kalaat Seraghna), Oulad Gouaouch (Bejaad dans la province de Khouribga), Saka (Guercif) et Betit (El Hajeb), le lancement de ce chantier rentre dans le cadre de la stratégie globale visant à porter la part des énergies renouvelables dans le mix électrique nationale de 42% en 2020 à 52% en 2030 (avec 20% de solaire).
En effet, le détail de l’évolution du mix électrique national montre que la part détenu par le solaire, qui s’élève à 2% en 2015 (grâce à la centrale thermosolaire de Ain Beni Mathar de 472 MW), devrait passer à 14% en 2020 (principalement grâce aux complexes Noor de Ouarzazate, Midelt, Tata, Boujdour et Laâyoune), et à 16% en 2025 puis 20% en 2030, précise le quotidien Le Matin-Eco.
Dans ce sens, la capacité additionnelle de production d’électricité de sources renouvelables d’environ 10.100 MW qui sera réalisée sur la période 2016-2030, connaitra une contribution du solaire de l’ordre de 4.560.
En plus du développement de la technologie du solaire thermique à concentration (CSP), le Maroc prévoit également un programme pour le développement du photovoltaïque sur la base d’une feuille de route lancée en 2014. Ainsi, la mise en place de centrales solaires photovoltaïques de moyenne et grande capacités (environ 3.000 MW) est prévue à l’horizon 2030 et dont 40% soit 1.340 MW sera réalisée avant 2020.
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