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13.04.16
La France Agricole
L’extrême sécheresse que subit le Maroc depuis plusieurs mois soutient les exportations d’orge françaises et permettrait peut-être d’écouler une partie du stock de blé, d’après FranceAgriMer.
FranceAgriMer a présenté ses bilans céréaliers réévalués pour le mois d’avril à la suite de son conseil spécialisé des céréales du 13 avril 2016. L’épisode de sécheresse subie par le Maroc le fait passer aux achats plus tôt que prévu et en quantité très importante. Une aubaine pour les céréales françaises à la recherche de débouchés aussi bien pour l’orge que pour le blé.
FranceAgriMer a rappelé la bonne dynamique des embarquements d’orge vers les pays tiers, notamment grâce à la Chine au début de la campagne. Des exportations en hausse de 63 % par rapport à l’année 2015 à la même date. Aujourd’hui, le débouché chinois reste majoritaire mais se ralentit peu à peu.
C’est le Maroc qui reprend les achats avec déjà 160 000 t d’orges fourragères françaises embarquées depuis la fin de mars. Au 12 avril, 94 000 tonnes s’ajoutent déjà à ce bilan qui devrait encore s’accroître. FranceAgriMer a ainsi revalorisé le poste exportation vers les pays tiers à 4,5 millions de tonnes (Mt).
« Fenêtre d’importation pour le blé »
Même constat en blé, qui voit son poste des exportations vers les pays tiers augmenter à 11,5 Mt (contre 11 Mt en mars) dans l’espoir d’une « fenêtre d’importation à droits réduits prolongée à la fin de mai » du Maroc, explique la chef de l’unité des grandes cultures, Olivia Le Lamer. Les importations à droits réduits sont habituellement clôturées au début de mai et rouvertes au début d’août.
La possible ouverture avancée de leurs importations atteste du besoin important du Maroc en céréales. Une aubaine pour la France qui s’achemine vers un stock final de blé de 5,4 Mt, d’après FranceAgriMer.
La France Agricole
L’extrême sécheresse que subit le Maroc depuis plusieurs mois soutient les exportations d’orge françaises et permettrait peut-être d’écouler une partie du stock de blé, d’après FranceAgriMer.
FranceAgriMer a présenté ses bilans céréaliers réévalués pour le mois d’avril à la suite de son conseil spécialisé des céréales du 13 avril 2016. L’épisode de sécheresse subie par le Maroc le fait passer aux achats plus tôt que prévu et en quantité très importante. Une aubaine pour les céréales françaises à la recherche de débouchés aussi bien pour l’orge que pour le blé.
FranceAgriMer a rappelé la bonne dynamique des embarquements d’orge vers les pays tiers, notamment grâce à la Chine au début de la campagne. Des exportations en hausse de 63 % par rapport à l’année 2015 à la même date. Aujourd’hui, le débouché chinois reste majoritaire mais se ralentit peu à peu.
C’est le Maroc qui reprend les achats avec déjà 160 000 t d’orges fourragères françaises embarquées depuis la fin de mars. Au 12 avril, 94 000 tonnes s’ajoutent déjà à ce bilan qui devrait encore s’accroître. FranceAgriMer a ainsi revalorisé le poste exportation vers les pays tiers à 4,5 millions de tonnes (Mt).
« Fenêtre d’importation pour le blé »
Même constat en blé, qui voit son poste des exportations vers les pays tiers augmenter à 11,5 Mt (contre 11 Mt en mars) dans l’espoir d’une « fenêtre d’importation à droits réduits prolongée à la fin de mai » du Maroc, explique la chef de l’unité des grandes cultures, Olivia Le Lamer. Les importations à droits réduits sont habituellement clôturées au début de mai et rouvertes au début d’août.
La possible ouverture avancée de leurs importations atteste du besoin important du Maroc en céréales. Une aubaine pour la France qui s’achemine vers un stock final de blé de 5,4 Mt, d’après FranceAgriMer.
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