Ce sont les Marocains qui l’affirment : les quantités de carburant introduites de manière illégale depuis la frontière algérienne sont en baisse continue, affirme Les Echo Maroc, ce mardi 19 avril.
« Est-ce le début de la fin de la contrebande de carburant à partir de l’Algérie ? », s’interroge le journal. Les acteurs marocains de la distribution de carburants sont enthousiastes. Ils évoquent une reprise de l’activité dans la région est du royaume, frontalière avec l’Algérie. Une trentaine de stations devraient ouvrir en 2016 et 2017, s’ajoutant ainsi aux quinze stations existantes à Oujda.
« De nouvelles stations devront ouvrir dans les prochains mois. L’ensemble de la région est redevenu un axe de croissance pour le secteur », affirme Adil Ziyadi, président du Groupement des pétroliers marocains (GPM), cité par le même journal.
Selon la même source, durant une décennie, plus de quarante stations ont dû mettre fin à leurs activités à cause de la concurrence de l’informel. « Le nouveau contexte devrait nous permettre de pérenniser l’activité du secteur dans la région. On s’attend à un doublement du chiffre d’affaires dans la région », s’enthousiasme le même responsable.
Conséquence de la baisse de la contrebande depuis l’Algérie, les stations de Oujda sont prises d’assaut, « ce qui a nécessité une intervention de la wilaya de ladite région pour débloquer la situation », précise le média marocain.
TSA 19 avril 2016
« Est-ce le début de la fin de la contrebande de carburant à partir de l’Algérie ? », s’interroge le journal. Les acteurs marocains de la distribution de carburants sont enthousiastes. Ils évoquent une reprise de l’activité dans la région est du royaume, frontalière avec l’Algérie. Une trentaine de stations devraient ouvrir en 2016 et 2017, s’ajoutant ainsi aux quinze stations existantes à Oujda.
« De nouvelles stations devront ouvrir dans les prochains mois. L’ensemble de la région est redevenu un axe de croissance pour le secteur », affirme Adil Ziyadi, président du Groupement des pétroliers marocains (GPM), cité par le même journal.
Selon la même source, durant une décennie, plus de quarante stations ont dû mettre fin à leurs activités à cause de la concurrence de l’informel. « Le nouveau contexte devrait nous permettre de pérenniser l’activité du secteur dans la région. On s’attend à un doublement du chiffre d’affaires dans la région », s’enthousiasme le même responsable.
Conséquence de la baisse de la contrebande depuis l’Algérie, les stations de Oujda sont prises d’assaut, « ce qui a nécessité une intervention de la wilaya de ladite région pour débloquer la situation », précise le média marocain.
TSA 19 avril 2016
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