C'est absolument hallucinant qu'un journal marocain puisse émettre une telle hypothèse en considération des conditions esclavagistes édictées par le Canada!
Après la honte d'El Ejido au tour du Canada?
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Montréal: Après l’Espagne, la France ou l’Italie, les ouvriers agricoles marocains traverseraient-ils l‘atlantique pour aller travailler comme saisonniers sur les champs canadiens?
En effet, le Canada serait demandeur d’une main-d’œuvre bon marché, qui travaillerait sous contrats temporaires sur ses champs agricoles.
Selon la Fondation des Entreprises en Recrutement de Main-d’œuvre agricole Étrangère (FERME), citée par le site canadien, Les Affaires, l’industrie agricole primaire canadienne risque l’effondrement s’il n’y avait pas en urgence, des recrutements de TET : travailleurs étrangers temporaires.
Nombreux ouvriers agricoles saisonniers étrangers sont annuellement recrutés par les exploitants agricoles canadiens et parmi ceux-ci, les saisonniers marocains qui sont, indique le site canadien, parmi les plus actifs à adresser leur demandes de recrutements, aux bureaux d’emplois agricoles canadiens.
Selon Les Affaires, l’Etat canadien, craignant que le recrutement des saisonniers agricoles étrangers ne devienne un moyen pour ceux-ci d’immigrer définitivement au Canada, il a compliqué les procédures d’entrée de ces travailleurs étrangers, ce qui a provoqué la colère des exploitants agricoles canadiens, qui avancent un chiffre de perte avoisinant les 50 millions de dollars, causé par les complications administratives voulues par l’Etat canadien, comme mesures pour dissuader les TET qui cherchent à immigrer pour de bon au Canada.
Les agriculteurs canadiens feraient ainsi un fort lobbying pour que l’Etat facilite l’arrivé des travailleurs agricoles étrangers, ce qui pourrait être une aubaine pour les ouvrier agricoles marocains.
Source: Lemag/ma
Après la honte d'El Ejido au tour du Canada?
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Montréal: Après l’Espagne, la France ou l’Italie, les ouvriers agricoles marocains traverseraient-ils l‘atlantique pour aller travailler comme saisonniers sur les champs canadiens?
En effet, le Canada serait demandeur d’une main-d’œuvre bon marché, qui travaillerait sous contrats temporaires sur ses champs agricoles.
Selon la Fondation des Entreprises en Recrutement de Main-d’œuvre agricole Étrangère (FERME), citée par le site canadien, Les Affaires, l’industrie agricole primaire canadienne risque l’effondrement s’il n’y avait pas en urgence, des recrutements de TET : travailleurs étrangers temporaires.
Nombreux ouvriers agricoles saisonniers étrangers sont annuellement recrutés par les exploitants agricoles canadiens et parmi ceux-ci, les saisonniers marocains qui sont, indique le site canadien, parmi les plus actifs à adresser leur demandes de recrutements, aux bureaux d’emplois agricoles canadiens.
Selon Les Affaires, l’Etat canadien, craignant que le recrutement des saisonniers agricoles étrangers ne devienne un moyen pour ceux-ci d’immigrer définitivement au Canada, il a compliqué les procédures d’entrée de ces travailleurs étrangers, ce qui a provoqué la colère des exploitants agricoles canadiens, qui avancent un chiffre de perte avoisinant les 50 millions de dollars, causé par les complications administratives voulues par l’Etat canadien, comme mesures pour dissuader les TET qui cherchent à immigrer pour de bon au Canada.
Les agriculteurs canadiens feraient ainsi un fort lobbying pour que l’Etat facilite l’arrivé des travailleurs agricoles étrangers, ce qui pourrait être une aubaine pour les ouvrier agricoles marocains.
Source: Lemag/ma
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